Chambre Commercial 12 Mars 1985

mêmes d’ailleurs) exercent à la fois dans le public et dans le privé. A priori, les règles applicables ne seraient pas les mêmes, même si les problèmes sont les mêmes, posant un problème d’équité. Le législateur a dû intervenir par la Loi Kouchner du 4 mars 2002, loi sur les droits des malades et la qualité du système de santé. L’apport de cette loi : elle a unifié les règles applicables à la responsabilité médicale. En revanche, elle n’est pas allée jusqu’à concentrer le contentieux dans un seul ordre

être causé par un fait juridique : le responsable d’un accident devant verser des dommages et intérêts à sa victime s’appauvrit indiscutablement, mais cet appauvrissement se trouve causé par une faute qu’il a commise. Cour de cassation – chambre commerciale – 23 octobre 2012 Dalloz 2012 p2598 (Légitime du fait d’un acte juridique) Cour de cassation – Civile 1ere - 25 novembre 2008 Dalloz 2009 p128 (Légitime du fait d’un délit) VERIFIER §2-Les effets de l’enrichissement sans cause. L’action

rapport restait simple. Cela a été probablement vrai jusque dans les années 50. Le concubinage était surtout prolétarien. Le statut patrimonial ne posait plus de problème. Les concubins et les pacsés posent aujourd’hui des problèmes importants. La loi du 12 Mai 2009 a décidé de confier les liquidations du concubinage aux Juges aux Affaires Familiales. C’est le même juge qui va liquider les régimes matrimoniaux et les concubinages, qui étaient jusqu’alors liquidation par le tribunal de grande instance.

Droit commercial C'est une matière qui a dérivé du droit civil. Introduction: Le droit commercial fait parti du droit privé relatif aux opérations juridiques effectuées par les commerçants soit entre eux soit avec leurs clients. Ce qui nous intéresse ce sont les agents économique. On peut appeler cela le droit de la circulation. La notion de droit commercial a évolué et s'est agrandi. Il concerne une large part de l'activité économique: la distribution et la production. On

Droit pénal général, 2 e éd., 2007, PUF, n os 268 et s. R. MERLE et A. VITU, Traité de droit criminel, t. 1, 7 e éd., 1997, Cujas, n o 493. - J. PRADEL, Droit pénal général, 17 e éd., 2008, Cujas, n os 378 et s. - A. PROTHAIS, Tentative et attentat, 1985, LGDJ. - M. PUECH, Droit pénal général, 1988, Litec, n os 626 et s. - J.-H. ROBERT, Droit pénal général, 4 e éd., 1999, coll. Thémis, PUF, p. 210. M. BERNARD, Notes sur le crime impossible, Rev. pénit. 1902. 1006. - A. BESSON, Le délit impossible

les règles de compétence territoriales → règles ratione loci. Ces deux ypes de règles répondent à deux questions qui sont différentes et complémentaires. Ratione materiae dis dans quel domaine une juridiction est compétente pour agir. (droit commercial, droit du travail doirt pénal, droit civil. Il faut donc déterminer ensuitre quelle est la juridiction territorialement compétente. En effet, elles sont réparties partout sur le territoire. A.La compétence matérielle ou d'attribution. Chapitre

Loi n°2007- 69 du 27 décembre 2007, relative à l'i nitiative économique (1). Au nom du peuple, La chambre des députés et la chambre des conseillers ayant adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit : CHAPITRE PREMIER DISPOSITIONS GENERALES ARTICLE PREMIER: L'initiative économique constitue une priorité nationale à la consécration de laquelle oeuvrent tous les acteurs économiques et sociaux dans le cadre de la garantie du principe d'égalité des chances et sur la base

C.E., 28 mars 1955, Effimieff (Mme Lagarde, rapp. ; M. Guionin, c. du g. ; Me Jolly, av.) Le tribunal des conflits Vu l'ordonnance du 1er juin 1828 ; les règlements d'administration publique des 26 octobre 1849 et 5 décembre 1952 et la loi du 24 mai 1872 ; *1* Considérant que le litige qui oppose le sieur Effimieff à l'Association syndicale de reconstruction de Toulon porte sur l'exécution d'un marché de travaux, passé par celle-ci avec cet entrepreneur de maçonnerie ; que l'article 17 de

contractant du mandataire a lui-même ignoré la fin du mandat, le mandant est engagé envers lui. Cependant, en reconnaissant, des questions importantes, concernant notamment l’engagement du mandataire à l’égard des tiers, se posent. Un arrêt de la Chambre commerciale de la Cour de cassation en date du 29 janvier 2008 semble apporter des précisions. En l’espèce, une SCI représentée par des personnes physiques et agissant en tant que mandataire apparent signe une convention avec un tiers en vue de la réalisation

les parties s’engagent à l’avance de recourir à l’arbitrage en cas de litige éventuel. La clause compromissoire est nulle en matière civile, ce qui n’empêche pas que l’on puisse valablement signer un compromis lorsqu’un litige surgira, en matière commerciale elle est licite mais elle n’est pas fréquente dans les contrats internes. La procédure arbitrale trouve son épilogue après le prononcé de la sentence arbitrale qui est la décision rendue par les arbitres généralement à huis clos après