Chambre Criminelle 16 Octobre 2007

TD DROIT PENAL contrôle de légalité Analyse juridique des arrêts et questions de droit : *Cour de Cassation, Chambre Criminelle, 20 février 2001 : sanction pénale, principe de légalité Dans cet arrêt, la Chambre criminelle de la Cour de cassation prime l'interprétation stricte du principe de la légalité criminelle sur l'imprévisibilité de la sanction pénale, appréciation subjective de la définition de l'élément légal de la sanction, en privilégiant les dispositions de la CEDH sur celle

Cela signifie que seul une infraction prévue par un texte est répréhensible, et donc en conséquence qu’est irrégulière une poursuite qui applique aux faits une qualification supérieure ou inférieure à celle prévue par le législateur. La chambre criminelle de la Cour de Cassation, en date du 31 mai 2005 a rendu dans une décision solennelle un arrêt de cassation relatif à la détermination de la qualification d’un fait. En l’espèce, un certain nombre de denrées animales dépourvues d’indication

 Maurice Papon 1-Le parcours de Maurice papon Maurice Papon est né le 3 septembre 1910, il est mort le 17 février 2007. Maurice Papon était un homme politique et haut fonctionnaire français.Maurice Papon est fils de notable, son père, premier clerc à l’étude deMaître Aulagnier puis ensuite devenu Maire de Gretz  conseiller général de canton et Président de conseil, membre du parti radical (centre-gauche). il  fait ses études secondaires à Paris, puis des études de droit et de lettres et il milite

comme la détention, pendant une durée limitée, d'une personne dans les locaux de la police ou de la gendarmerie pour les nécessités de l'enquête. Jusqu’en 1958, la mesure ne faisait l'objet d'aucune disposition législative dans le code d’instruction criminelle, alors même qu'elle était couramment pratiquée par la police. C'est le législateur de 1958, qui, à l’occasion de l’élaboration du Code de procédure pénale, lui donna sa première expression légale. Réformée depuis lors à de nombreuses reprises, la

CIVILL’intégrité de la personne Physique (Indisponibilité du corps humain, dignité humaine) - Arrêt du 16 Septembre 2010, « Our Body » - Conseil d'Etat, Assemblée, du 27 octobre 1995, 136727, publié au recueil Lebon (Lancer de nain —> dignité humaine) - Cour de cassation, Assemblée plénière, 31 mai 1991, n° 90-20.105 (Indisponibilité du corps humain) - Cour de cassation, 1e Chambre civile, 23 février 1972, n° 70-12.490 - Cour européenne des droits de l’Homme, 1e Section, K.A. et A.D. contre

le droit pénal s’est éloigné du droit civil. En effet, le législateur a déclaré en l’article 121-1 du Code pénal que « nul n’est responsable pénalement que de son propre fait », principe qui avait été reconnu pour la première fois par la chambre criminelle, le 16 décembre 1948. Ce principe a, de plus, valeur constitutionnelle. Il faut que la personne ait joué un rôle, direct ou indirect, dans la commission de l’infraction, pour que sa responsabilité soit retenue. Il apparaît donc à première vue qu’il

de conjoint ou concubin de la victime « Dans les cas respectivement prévus par la loi ou le règlement, les peines encourues pour un crime, un délit ou une contravention sont aggravées… ». Á ce propos, on peut citer un arrêt récent de la Chambre criminelle (Crim 16 décembre 2009) qui considère que : « L'extension, plus sévère, de la circonstance aggravante prévue à l'alinéa 2 de l'article 132-80 à une contravention reviendrait à rajouter à la loi ». La Cour de cassation confirme donc l’exclusion de

adjoint Article Arrêt de l’Assemblée plénière de la Cour de cassation Bulletin des arrêts des chambres civiles de la Cour de cassation Bulletin des arrêts de la chambre criminelle de la Cour de cassation Code de l’aviation civile Code Civil Code de Commerce Code de la consommation Code des douanes Cour d’appel Cour européenne des droits de l’Homme Chronique Code d’instruction criminelle Circulaire Arrêt de la chambre civile de la Cour de cassation Commentaire Commission européenne des droits de l’Homme

concentrations). - Qui sont les victimes ? Les juifs déportés dans des camps de concentrations de 1942 à 1944. - L'accusé? Maurice Papon. Date et circonstances de l'arrestation ? Le procès : à quelle date et quelle durée ? 8 Octobre 1997 ouverture du procès devant la cour d'assise, après 17 ans de batailles juridiques. Le procès à durée 6 mois. Quels éléments de l'enquête sont utilisés par l'avocat de la défense ? Papon était un simple fonctionnaire du régime de Vichy

Thème n°2: I Application dans le temps Arrêt de la chambre Criminelle de la Cour de Cassation du 25 mai 1977 Mr Jacques Henry a été poursuivi pour avoir émis de mauvaise foi deux chèques sans provisions suffisantes, l’un d’un montant de 17403, 76 Francs à l’ordre de la société Sauer France le 25 novembre 1975 et l’autre d’un montant de 390 Francs à l’ordre du Trésor Public en date du 25 novembre 1975. Un premier jugement a été rendu en première instance puis l’émetteur des chèques a