Champ Lexical De La Mer

empreinte de sensualité, le poète parvient-il à créer une vison paradisiaque ? I) Une évocation parfumée A) Rôle du parfum - Titre et champ lexical de l’exotisme dans tout le poème = Invitation au voyage sensoriel - « Je respire l’odeur » = métaphore sensorielle = le parfum est comparé à l’oxygène = vital - Champ lexical de l’odorat + chaque évocation de « l’odeur » est couplée à une réaction immédiate : je respire = je vois = L’odorat provoque la vision

aussi douloureux ou dangereux. Ainsi, le champ lexical de l’amour qui se développe par les nombreuses occurrences des termes « amour » et « cœur », est souvent associé au champ lexical de la souffrance. Par exemple, dans son poème, Du Bellay exprime une attirance inévitable malgré la souffrance que celle-ci peut apporter « qui me transperce l'âme » (v.4) ou encore « cette plaie » (v.10). De la même manière, à travers plusieurs métaphores, Marboeuf compare la mer à l'amour et nous retrouvons donc ce même

charrettes, des boutiques (v.10), des cloches (v.11) ? Personnificat° (caractérist. humaines à 1 inanimé) des objets « les charrettes courir » (v.9), « les boutiques s’ouvrir » (v.10), « cloches émues » (v.11) Tout est vivant. Champ lexical dominant au début du texte ? Champ lexical du bruit « ramage » v.3, « cris aigus » v.4, « gd bruit » v.7, « cloches »v.11,« concert », « retentir » v.12, « bruit grêle/vent » v.13, « aboyer » v.26, « mugit » v.43 Impression d’un vacarme assourdissant. Correction

!Comme d'autres esprits voguent sur la musique,Le mien, ô mon amour ! nage sur ton parfum.J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève,Se pâment longuement sous l'ardeur des climats ;Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève !Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêveDe voiles, de rameurs, de flammes et de mâts :Un port retentissant où mon âme peut boireA grands flots le parfum, le son et la couleur ;Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire,Ouvrent leurs vastes bras pour

contredit en quelque sorte lorsqu'il parle de « torrent », qui est violent, « vital », qui est essentiel ; mais aussi lorsqu'il parle de « conglomérat », qui désigne quelque chose de rangé, « confus », qui est désordonné. Enfin, on peux noter un champ lexical de la réflexion assez présent avec des mots comme « pensait » l.4 ; « connaître » l.6 ; « cherchait » l.12 ; « réfléchissait » l.16 et « conscience » l.23 ; ce qui nous montre qu'Adamsberg est confus et perdu car il raisonne et s'interroge ensuite

un verbe : ressembler à, paraître,… → un adjectif : pareil, semblable,… → un adverbe : comme, ainsi que,… → une locution comparative : faire l’effet de, donner l’impression de,… « Le sable rouge est comme une mer sans limite » (Leconte de Lisle) comparé : le sable ; comparant : une mer ; outil de comparaison : comme Métaphore Plus condensée que la comparaison et se caractérise par la suppression possible de trois éléments de la comparaison : → la marque grammaticale : le comparé et le comparant

redondant avec le début du paragraphe précédent.*« honte »(l.1), « dégoûtant »(l.2), « méprise »(l.7), champ lexical de l’ humiliation, du rejet→cette rue est très repoussante puisque le poète a besoin de le souligner à de nombreuses reprises* « rage écumante de la mer »(l.11) : personnification de la mer→elle est puissante et enragée, ce qui donne un coté hostile à la mer habituellement apaisante*Champ lexical du lugubre : « détresse »(l.12), « ordures »(l.13), « noir »(l.15), « funèbre »(l.14)→on ressent

façon l'auteur détourne le sujet principal et essaie de nous faire parvenir un nouveau message. La chevelure évoquée par l’animalité nous transporte ensuite dans une comparaison entre la nature et la chevelure. Ce procédé peut être observé par le champ lexical de la nature « forêt aromatique » v.9, « l'arbre » v.11, « sève » v.11, « mère d'ébène » v.14, « l'huile de coco » v.30, « oasis » v.34. Par ces figures de style, Baudelaire tente de nous faire revenir dans le passé, à l'origine de la vie humaine

dans ces poèmes sont : - le champ lexical de la mort : LXXVIII « corbillards » v. 17, « gémissant » v. 2, LXXVII « mourant » v. 6, « cadavre » v. 17, LXXVI « morts » v. 10, « cimetière » v. 8, LXXV « défunts » v. 14, « fantôme » v. 8 - le champ lexical de la maladie : LXXV « enrhumée » v. 10, « galeux » v. 6, LXXVI « boiteuses » v.15, « l’ennui » v. 17, LXXVII « très-vieux » v. 2, « malade » v. 8, LXXVIII « geindre » v. 16 - le champ lexical de la souffrance : LXXV « se lamente »

→ un verbe : ressembler à, paraître,… → un adjectif : pareil, semblable,… → un adverbe : comme, ainsi que,… → une locution comparative : faire l’effet de, donner l’impression de,… « Le sable rouge est comme une mer sans limite » (Leconte de Lisle) comparé : le sable ; comparant : une mer ; outil de comparaison : comme Métaphore Plus condensée que la comparaison et se caractérise par la suppression possible de trois éléments de la comparaison : → la marque grammaticale : le comparé et le comparant