Champ Lexical De La Mer

raison de la puissance de son parfum qui engendre une vision imaginaire et idéaliste PB+Plan I/ Évocation parfumée a) Rôle du parfum  Titre et champ lexical de l’exotisme dans tous le poème = invitation au voyage sensoriel   « Je respire l’odeur » (V2) est une métaphore sensorielle qui compare le parfum à l’oxygène, il est donc vital Le champ lexical de l’odorat et chaque évocation de « l’odeur »( V2) est couplée à une reaction immédiate : je respire= je vois = l’odorat provoque la vision b)

« les  rues  avoisinantes  s’écartaient »  personnification des astres qui donne un sentiment d’accueil à la course. Vers 5: « aurait fallu » conditionnel passé qui montre que la course est inarrêtable. Vers 8: métaphore le ciel devient semblable à la mer, confusion des espaces. Vers 9: « les fenêtres » renvoie aux personnes qui regardent la course, « l’ombre de  leur clarté » oxymore la fenêtre rompt l’obscurité de la nuit. Vers 11 et 12: « fers  lunaires »;  « croissants  de  leurs  pieds » donne une

temps. Les qualificatifs de 1er quatrain sont une anaphore de l’idée de vieillesse (v.3). Allitération en v = Insistance. Asyndète du vers 5, donne l’impression d’une chute brutale au sommet de l’ascension. Champs lexical du néant. Les images de fuites annoncé : s’enfuit et fuit. Le mot rien (v.2) annonce le néant mis en valeur par sa position et son inversion. Le Lyrisme est à la fois, la célébration et la déploration ; ici c’est une lamentation

il refuse de rester passif car ce serait être lâche. Nox section VII: lorsque par son mouvement berceur la mer essaye d'endormir la conscience politique d'Hugo, lorsque la mer essaye d'envelopper le poète dans son propre fatalisme, le poète se récrie et lui répond violemment par le sursaut d'une conscience révolté qui ne veut pas jeter l'éponge. Hugo résiste au discours lénifiant de la mer, ce dialogue met en abyme les deux tentions qui s'ouvrent au poète: le silence, passivité et celle de la colère

La mère de l’amour eut la mère pour berceau ». En effet, la déesse naquit dans l’écume grâce aux semences de Cronos dispersées dans la mer. Voilà une première métaphore entre l’histoire du poète et une histoire mythologique. Dans un second temps, la comparaison entre « la mer » et « l’amour » nous explique le danger de s’aventurer dans les deux : « la mer et l’amour ne sont point sans orage ». Le poète met en garde celui qui ne veut pas souffrir dans la deuxième strophe en utilisant le subjonctif

du passée de Napoléon Ier et comme une prophétie annonce celle de Napoléon III il est frappant de remarquer que le poète réussi à transformer la chute de Napoléon Ier en éléments positif qui viennes encore agrandir son image. Tout d'abord le champ lexicale de la chute envahit toute la strophe, on trouve (il tombe, sa chute, plongea, engloutit) on peut voir dans cette chute l'échec de napoléon Ier qui fini par perdre le pouvoir, son empire et fini sa vie sur l'île de St Hélène ou il fut exilé, la

nature Quand le soleil se couche la lumière est rouge La fin du jour => fin du bonheur, fin des amours -> vision horrible de la guerre : « sanglante mer » (métaphore) Poème bien construit, perte successive, le poète se retrouve seul. 3) L'ELEGIE ET LA GUERRE : * Elégie : parle que de « moi », souffrance : lyrique Champs lexical : souvenirs (v.8 et 220), mélancoliquement (v.12), se mélancolisent Opposition : « naguère » à « maintenant » -> avant c'était mieux maintenant je regrette

d'un incipit *temps : imparfait de description "voyait" , "suivait" *point de vue :exterrne« pleine rase »,  « nuit sans étoiles » *figure de style : « une rafales de vent comme sur une mer » → comparaison de fumée,une seule voix montrait,la respiration grosse ..» =Personnification *champ lexical : sentiments « crainte », « l'espoir » de l'usine : « masse lourde », « écrasé de construction » , « cheminée d'usine » ..

Langeais, on remarque une description détaillée du lieu où se trouve le couvent : « Ce monastère a été construit à l’extrémité de l’île, au point culminant du rocher, qui, par un effet de la grande révolution du globe, est cassé net du côté de la mer, où, sur tous les points, il présente les vives arêtes de ses tables légèrement rongées à la hauteur de l’eau, mais infranchissable. Ce roc est protégé de toute atteinte par des écueils dangereux qui se prolongent au loin et dans lesquels se joue le

violentes Je suis pris au filet des étoiles filantes Comme un marin qui meurt en mer en plein mois d'août J'ai retiré ce radium de la pechblende Et j'ai brûlé mes doigts à ce feu défendu Ô paradis cent fois retrouvé reperdu Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes Il advint qu'un beau soir l'univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa les yeux d'Elsa Louis Aragon ANALYSE