Champ Lexical Du Mot Pitié

désagréable la « douleur »(v.1). Le mot « intensité » (v.2) renforce la même idée. L’allitération en [s] de « sensations délicieuses » (v.2) traduit cet effet agréable à l’écoute. Le mot « vague » met en lumière la complexité du monde et le fait qu’il n’apparaît pas si clair au poète. L’expression « pas de pointe plus acérée que l’Infinie » (v.3) est une métaphore représentant un couteau aiguisé, blessant le poète, qui n’arrive en réalité pas à déchiffrer le monde et mot « Infinie » (v.3) avec une majuscule

nous est décrit de façon réaliste. Puis, dans la seconde partie, nous montrerons que c'est un personnage est émouvant. Dès le début, ce roman nous est présenté de manière réaliste. D'abord, il nous parle des personnages. En effet, le premier mot de ce roman commence par « Gervaise » qui est le nom du personnage principal, il est suivit un peu plus loin sur la même ligne de « Lantier », nom de son compagnon. Zola n'appelle l'héroïne que par son prénom pour qu'elle paraisse plus familière au

: Humour, portrait, caricature, parodie -> Dénoncer Ironique (XVIII) Epique : acte de guerre, chevaleresque, héroïque Tragique : Homme face à la mort, à la fatalité. Lexique du désespoir. Pathétique : Lexique de la souffrance pour susciter la pitié Polémique : Dialogue, discours agressif -> sujet d’actualité Didactique : Instruire, conseil au lecteur Fantastique : Réalité qui bascule dans l’étranger Réaliste : Dominante descriptive, précisions spatio-temporelles Lyrique : Exaltation des

beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique. Il cherchait à choquer les bourgeois. Le titre « Les Fleurs du mal » est un mélange détonant, cadeau empoisonné. Les fleurs viennent du mal, cela la signifie qu’il va parler du mal alors que le mot fleur signifie qu’à partir du mal, il va rechercher, cultiver quelque chose de bon. En choisissant les 5 poèmes suivant ; « Les métamorphoses du vampire », «  Le Reniement de St pierre », « Abel et Caïn », « Litanie de Satan », « Le vin de l'assassin »

poème, Victor Hugo rappelle au lecteur que malgré la beauté de l'île de Chio en Orient, la guerre est parvenue jusqu'à ce lieu qui a jadis été un havre de paix. Dans presque chaque strophe l'écrivain a inséré une ou plusieurs expressions du champ lexical de la guerre et du massacre pour ne pas l'oublier. Ainsi on trouve « ruine et deuil » au premier vers, « murs noircis [...]grand ravage » dans les vers 7 et 12 de la deuxième strophe, « pleurs » v.14, « qui du fer n'ont pas subi l'affront » v.22

narrateur ajoute davantage à l’authenticité car l’erreur n’est pas corrigée. II. Un monde chaotique 1. La violence et la mort *La violence Les deux champs lexicaux apparaissent : la violence (v. 1, 3, 8, 14…) ; la mort (v.9, 11, 13, 15, 16, 19, 21…). La violence v.1 à 3  violence météorologique  champ lexical du cataclysme (« foudroyer », « tempête », « emporter », « ravager »). Noter les verbes « emporter » et « ravager », au début de chaque hémistiche ; de même, sonorités

"des gens de vertu singulière" en raison de "tous ses déportements". Ceci est ironique car, Arsinoé, étant elle-même une ancienne coquette, condamne ses propres agissements passés. Elle n'est point pour autant moins sarcastique lorsqu'elle emploie le mot "galanterie", qui est volontairement impropre. En effet, les portraits satirique de Célimène ne sont guère galants. Arsinoé soutient qu'elle était du même "parti" que Célimène, ce qui est nécessairement faux. Elle affirme l'avoir défendu, mais nous

I.B. Les lieux. Un univers de conte Les levantins (v1) renvoient à l'Orient: LF situe son histoire en Orient pour être plus à l'aise dans la critique qu'il veut faire de la société de son temps. Cela renforce le côté exotique propre au conte. Le mot "légende" (v1) transporte également le lecteur dans l'athmosphère des 1000 et 1 nuits. Toutefois, on trouve un mélange des lieux, puisque ratopolis au v18 transporte le lecteur en Grèce. Ce nom est inventé par LF et désigne "la ville des rats" étimologiquement

Candide après son renvoi du château de Thunder-Ten-Tronckh et l’extrait à commenter se situe au chapitre XIX ; il s’intitule « le nègre de Surinam ». Candide et son ami Cacambo rencontrent un esclave très mal en point, nommé Martin, qui va susciter leur pitié. A travers ce texte, Voltaire, écrivain engagé, dénonce l’esclavage. Il convient donc de se demander quelles sont les démarches argumentatives de ce philosophe des Lumières qui dénonce l’esclavage à travers un conte philosophique ? Dans un premier

aspect mélancolique. « Coupe-gorge » évoque qu’on y risque sa vie (Camille sera assassiné, mais ailleurs) et l’idée de la mort est confirmée par la comparaison avec une « galerie souterraine », et des « lampes funéraires ». On distingue aussi un champ lexical inquiétant annonçant l’image récurrente de la fosse : « au fond », « trous », « trouent l’ombre », « au fond » (répété ), « s’enfonçaient » et « profondes ». Ces dernières notations peuvent déjà annoncer la noyade de Camille, surtout si l’on considère