Champ Lexical Du Regard

de l’histoire : le Duc de Nemour Nous verrons tout d’abord comment Mme de Lafayette met en scène la rencontre à travers un jeu de regards I - Une société d'apparences (le jeu des regards) a) le champ lexical de la vue On a un champ lexical de la vue très important : par exemple, le verbe avoir est employé six fois. On remarque que cette société est fondée sur le regard car c'est une société de cour : la beauté et la richesse sont les deux choses primordiales. C'est l'apparence qui révèle les privilèges

françaises et les voitures lentes d’Asie " Ligne 13-14. " ils arrivent, ils volent ". La brutalité des Parisiens l’hyperbole : " Je suis plus brisé que si j’avais fait 10 lieues " Lignes 21, " un homme qui vient " Ligne 18. Le roi => pouvoir : Champ lexical de la magie, du miracle : "la force et la puissance qu’il a sur les esprits " Ligne 38… Le pape => pouvoir : " encore plus fort " Ligne 40 " pas moins maître de son esprit " Ligne 32. Pouvoirs : " il lui fait croire que trois ne sont qu’un "

travers le champ lexical de la beauté qu'on dresse un portrait physique : "regard suprême" vers 5, "beauté" vers 6, "la belle folâtre" vers 11, "la belle fille" vers 15. c) La répétition du mot "regard" insiste sur le jeu de regard qui s'installe entre les deux personnages : "je cru voir" vers 3, "elle me regarda" vers 5, "elle me regarda pour la seconde fois" vers 10, "je vis venir" vers 14. De plus nous avons un pléonasme vers 5 "elle me regarda de ce regard suprême" + champ lexical de la vue

nous verrons qu’il s’agit d’un début de roman dynamique qui annonce l’action future. I)Un incipit réaliste : Le nom du personnage ,un nom non aristocrate apparaît dès les premières lignes. « Georges Duroy » (l.2)  est caractérisé par un champ lexical de la beauté « il portait beau » (l. 3) ; « de jolie garçon » (l.6) ; « de beau soldat » (l.29) ; « bien fait » (l32) « belle mine » (l.53).Sa beauté se rapporte au titre de l’œuvre Bel-Ami. On comprend ainsi qu’il s’agit du personnage principal

: en quoi cet incipit répond-t- il aux caractéristiques d'un début du roman? Lignes 1à 16-le narrateur pose le cadre de l'action et les éléments de compréhension de la situation lignes 16 à 31 : Gervaise seule regarde la chambre et la décrit. lignes 31 à 42 : Gervaise regarde à l'éxtérieur Enonciation : présentation du personnage dès le premier mot du texte "Gervaise" suivi de "Lantier" COD de "avait attendu" : déjà la relation entre les deux protagonistes est envisagée. Récit à la 3è personne

produit « Hélas ! Que ne le marquais-je un jour plus tôt ! Interjection « Hélas » + phrase exclamative + tournure solennelle. Des Grieux commente son expérience avec un regard rétrospectif, témoignant du remords éprouvé. Sentiment d’avoir commis une faute. « j’aurais porté » Emploi du conditionnel passé Regard rétrospectif et souhait d’un avenir différent  fait apparaitre la rencontre avec Manon comme une sorte de fatalité contre laquelle il n’a pas pu lutter. Lignes 2 à 4 Phrase

et à l'action 2ème axe : L'écriture d'un article politique Champs lexical du journal : Ministère actuel, plan d'article, guerre entre politique et journaux Presse et politique → le texte insiste sur l'imbrication du monde politico- financier et de la presse Dès le 1er paragraphe, Madeleine associe travail et Laroche Mathieu L15, l'article grâce à Duroy devient '' un plan de campagne contre le ministère actuel '' Champs lexical de la guerre par un vocabulaire militaire montrant les objectifs

devant lui si l'avidité le prend. Monsieur Valentin est alors très malade et vis une vie recluse dans sa richesse, ne sortant que peu et vivant sa maladie seul. Dès la première lecture l'on est à même de remarquer une utilisation poussée de champs lexicaux traitant principalement de fatigue, et des aspects de sa maladie. Le premier recoupement englobant les lignes 1 à 14, l'on prend garde à l'aspect observateur du professeur qui analyse extérieurement son ancien élève. C'est ainsi que les termes

un épisode scopique (= « regardé ou être regardé ») remarquable dans le roman. A) l’enchâssement des regards : une mise en abyme symbolique.      Mise en abyme : mari→ espion→ Nemours→ Princesse→ tableau de De Nemours. Verbes de perception visuelle L’addition des regards La restriction du champ lexical Une scène qui dure : séquences temporelles/verbe d’état et son imparfait duratif « il demeurait… » ˃ Le lecteur est sensible au polyptote (=champ lexical) de la vue qui est déployé

voyeurisme, un épisode scopique (= « regardé ou être regardé ») remarquable dans le roman. A) l’enchâssement des regards : une mise en abyme symbolique. Mise en abyme : mari→ espion→ Nemours→ Princesse→ tableau de De Nemours. Verbes de perception visuelle L’addition des regards La restriction du champ lexical Une scène qui dure : séquences temporelles/verbe d’état et son imparfait duratif « il demeurait… » ˃ Le lecteur est sensible au polyptote (=champ lexical) de la vue qui est déployé dans