Champ Lexical Du Regard

rencontre avec Mr De Nemours I - Une société d'apparences (le jeu des regards) a) l'intérêt de la préparation Les deux personnages principaux se sont parés : " Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer ", " le soin qu'il avait pris de se parer ". Ils ont une parure similaire car dans cette société les hommes se maquillent, ont autant de bijoux et de parures que les femmes. b) le champ lexical de la vue On a un champ lexical de la vue très important : par exemple, le verbe voir est employé

de la masse, l’avancée du peuple révolté. - le champ lexical de la violence : "gorges gonflées de guerrières" (hyperbole) l.10, « vengeance », « brandissaient des bâtons », « hérissement des barres de fer » l.19 « couperet de guillotine » l22. « une hache passa »l19. Le peuple a une grande volonté, il semble invincible, il est armé et veut sa vengeance, de plus l’évocation de la guillotine est une référence à la révolution de 1789. Ce champ lexical s’associe à celui du sang avec les mots « rouge »

( ne + “personne”) imparfait duratif ; tournure impersonnelle Cette négation dès le début de passage illustre la sensation de vide et de solitude que ressent Boule de Suif , et suscite la compassion du lecteur ; la protagoniste est isolée , aucun regard n’est échangé , c’est un huis-clos 1 “ noyée dans le mépris” métaphore de la noyade + focalisation interne Nous avons accès au ressenti de Boule de Suif : elle se sent dépassée par le mépris et l’indifférence dont elle est l’objet . Le lecteur est

destinataire b) Le narrateur face à un groupe → Champ lexical du groupe , du regard et de la curiosité → Tout le texte tourne autour du regard (admirer) → utilisation de l'imparfait c)Une observation mutuelle permanente Imparfait répétitive, tourne autour du regard. Cette insistance sur l'omniprésence de ces regards donne une satire. II. Une expérience qui donnera lieu à une satire a) Une admiration exagérée → Champ lexical de la vie important qui donnera lieu à une hyperbole

Morte amoureuse). Le nom de Gautier est associé à la pensée de l’art pour l’art, cet amour exclusif du beau ; ses contes fantastiques se nourrissent de cette attitude devant le réel et devant la vie et nous proposent de poser un autre regard sur les choses, un regard souriant et nostalgique, à la fois désabusé et enchanté, sur des apparences toujours suceptibles de se déchirer pour faire place à la magie. Théophile Gautier 2. Le titre : Le titre la Morte amoureuse oppose la mort à l‘amour

avec jordan le basketeur par le biais du parfum acheté. - Le quatrième couplet nous montre qu’il n’est plus question d’apparence mais de non réflexion sur soi-même. En effet, les phrases s’enchainent rapidement pour éviter l’angoisse et ne pas regarder la réalité en phase. - Le cinquième couplet nous montre que plus sa va plus les gens veulent se montrer et qu’il n’y a plus de vie privée. - Le dernier couplet nous montre que seule l’image qu’on reflète importe et le besoin d’être comme tout

complice qu’un espace aquatique, en l’occurrence une rivière pour taire les secrets, cacher des scènes, accueillir des corps et effacer des preuves. De plus dans ce passage nos trois personnages se sont éloignés de la rive et sont à présent loin des regards. La scène pourrait avoir des airs d’une balade en barque sans l’intervention des précisions du narrateur « la barque allait s’engager dans un petit bras sombre et étroit s’enfonçant entre deux iles » et par l’éloignement de l’ « équipe de canotiers

Paris Quoi ? De sa pauvreté, de sa difficulté à assurer sa subsistance. Le 4ème paragraphe de ce passage est le plus long, et c'est celui dans lequel sont développés tout les calculs approbatiques, auxquels se livre Georges DUROY. Le champ lexical de l'argent domine, il est annoncé d'ailleurs dès la première phrase : " Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous, Georges DUROY sortit du restaurant. " et est surtout présent dans le 4ème paragraphe : "3 Francs 40

«  Je ne puis décrire l'émoi qui s'empara de moi : tout ce que je sais, c'est que mes jambes devinrent molles et que mon cœur se mit à sauter avec une telle violence que ma vue se troubla » (l.9 à 12) 3) Relevez quatre mots appartenant au champ lexical du regard. (1 point) « beauté » ; « admirablement » ; « vue » ; « apparaître » ; « yeux » … 0,25 par mot. 4) a) Pourquoi le narrateur lève-t-il les yeux vers le soleil ? Justifiez votre réponse en citant le texte. (1 point) Pour montrer la beauté

gentilhomme ( = un noble ), rencontre à un bal la princesse de Clèves, une très belle jeune fille récemment mariée. I - Une société d'apparences (le jeu des regards) a) le champ lexical de la vueOn a un champ lexical de la vue très important : par exemple, le verbe avoir est employé six fois. On remarque que cette société est fondée sur le regard car c'est une société de cour : la beauté et la richesse sont les deux choses primordiales. C'est l'apparence qui révèle les privilèges. Les valeurs sont