Champ Lexical Du Regard

après que l’auteur décrit la situation de Mme de Clèves. Par ce procédé, Mme de La Fayette veut donc nous montrer que Nemours est d’abord comme éblouit par la beauté et le corps de sa bien-aimée, avant de remarquer ce qu’elle fait. La restriction du champs dans cette scène sert à nous faire entrer progressivement dans l’intimité de l’héroïne, mais si profondément qu’on la trouve à demi nue et faisant quelque chose à connotation presque sexuelle. En effet, la princesse est en train de nouer des rubans

L’importance de ce champ lexical de la lumière est nettement marquée par le triple travail métaphorique, et par la mise en relief systématique par la versification (mise en rejet de « d’argent » et « luit » (v.3 et 4) ; localisation à la rime et en fin de quatrains pour « mousse de rayons » (v.4) et « la lumière pleut » (v.8). Les deux quatrains s'achèvent donc sur des notations convergentes et parallèles, qui sont des notations de lumière. 2) Le soldat a) Champ lexical du corps et organisation

bête " il y a donc le champs lexical de la modestie . Ce champs lexical démontre donc que malgrès sont apparence il a un bon fond. Ensuite nous pouvons dégager une seconde marque d'humanité chez la bête : la bonté En effet , elle se montre bonne et indulgente envers la Belle car malgrès sa peine la Bête ne lui montre aucune hostilité l.24 - 25 " car la bête lui ayant dit tristement adieu la Belle , sortit de la chambre , en se retournant de temps en temps pour la regarder encore " Elle également

I. L'ELOGE DU VOYAGE1) Champ lexical du voyage.    Les verbes "partir" et "quitter" sont répétés à plusieurs reprises dans le poème, ce qui renforce le désir d'évasion de l'auteur. Le nom "monde" ouvre l'espace du voyage, le lieu est encore vague, la destination inconnue. Au vers 24, la gradation croissante "marche part va-t-en" est de plus en plus violente. Ce champ lexical est très riche en verbes, surtout à l'impératif, ce qui donne une tonalité injonctive à ce poème. Le poète s'adresse à son

désespérée, s'exclame et s'adresse à Claude, en introduisant ainsi le champ lexical de l'amour. Elle lui dit qu'elle l'aime de tout son coeur, "Je t'aime, que je t'adore!" (l.2), est très significative car c'est un indice de l'auteur, ce fait que Christine veuille à tout prix que Claude en soit persuadé, comme s'il n'était pas au courant. Le troisième paragraphe relate le thème du désespoir, allant parfois jusqu'au champ lexical de la mort, qui est voisin de celui du désespoir, du sombre. En effet

pluie d’automne , il regarde par la fenêtre et devant la magie de l’instant ce que vois ses yeux le transporte ailleurs, il imagine d’autres endroits . Il y a un désir de solitude de la part du poète , qui est une caractéristique du romantisme . Dans l’injonction au vers 1 «  Oh! Laissez-moi » , on ne sait pas àqui il s’adresse . Le complément circonstanciel de lieu «  la fenêtre » permet donc une projection totale , ( le dedans n’existe pas) du poète solitaire . Le champ lexical du rêve fait partie

propre car il ne riait pas. « Sa face riait, sa pensée non » (L.2), montre que les rires de Gwynplaine sont faux. Il cite la pensée comme une personne pour faire part au lecteur de son mal-être vis-à-vis de son rire. L’auteur met en avant un champ lexical de l’apparence qui fait comprendre que son rire n’était montré ni sur « son front » (l.5), ni sur « ses joues » (l.5), ni sur « ses sourcils » (l.5) ou bien même sur « sa bouche » (l.5). Bien que le rire de Gwynplaine fût un « rire automatique »

moment stupéfait » jusqu’à « le secret de ma situation »), puis répondez aux questions suivantes : COMPRÉHENSION 1. Relevez les expressions du texte qui désignent la misère de Chabert. 2. Relevez tous les termes du texte qui appartiennent au champ lexical de la mort. Expliquez en quoi Chabert est un revenant. Commentez le dialogue qui conclut ce passage de l’œuvre. 3. Pourquoi le narrateur compare-t-il le personnage à un portrait de Rembrandt, à la dernière ligne de la page 23 ? À quelles autres

Les animaux encornent les hommes. Nous avons une alternance de récit et de discours directs pour les personnages importants. Les registres sont divers, ironique, tragique. Le cadre de la scène est le procès au tribunal ainsi qu’en témoigne le champ lexical de la justice. La prise de parole se fait par ordre hiérarchique du plus puissant au plus faible. Les différents animaux ont leurs caractéristiques propres: le lion est tel le roi, il représente le pouvoir, la puissance, l’habileté, le renard

05 septembre 1803. I)__Le récit d'une éducation. 1)__Une éducation avant tout personnelle. - Le champ lexical de l'éducation est toujours accompagné d'une marque de la 1° personne : « règles » ____suivi de « me » (l.3), « mes principes » (l.4), « m'instruire » (l.16), « m'apprit » (l.17). - Elle fonctionne en autonomie : à la fois sujet et objet des verbes appartenant au champ lexical de la ____formation : « je me suis prescrites » (sujet et COI ; elle s'est fixée ses propres règles) (l