Champ Lexical Du Regard

d’Oreste puis dans un second de l’hallucination a la folie.Après avoir appris la mort de Hermione il s’est tourné vers les dieux en employant le champ lexical du ciel:  « O ciel,grâce au ciel ».il se dechaine sur les dieux,il compare même sa vie avec sa destiné « j’étais né pour servir d’exemple a ta colère »il est au comble de sa douleur,il utilise le chap lexicale de la souffrance pour exprimer son injustice « malheur,misère... ».il sous-entend qu’il est né pour servir d’exemple a la colère de dieux.

et caractères. Enfin, ces descriptions on plusieurs effets sur le lecteur. Dans un premier temps, l’omniprésence du détail dans ce passage renseigne le lecteur sur le contexte de vie des personnages. Flaubert ouvre un regard sur la classe paysanne. En effet, le champ lexical de la campagne est présent : « odeur d’iris » ; « sacs de blé », « grenier ». Emma et son père vivent dans une maison typique de la campagne Normande, « armoire en bois de chêne », « par terre, dans les angles, étaient rangés

lui, et qui le rendra « incompréhensible » en retour aux acteurs ? L’importance de ce jeu de regards croisés est souligné par un champ lexical qui sous-tend tout le texte et vient bouleverser l’ordre étymologique des choses : en effet, le théâtre vient du « thea» grec, qui est « l’action de regarder », quant au « spectacle », c’est « ce qui est offert à voir », or ici ce n’est pas la salle qui regarde la scène, mais le contraire. Tous les verbes concernant l’acte de voir ont pour sujets les acteurs

Jeanne, s'établit le lien entre le père et sa fille et le réalisme pessimiste de Maupassant. Axes : I – Le père et sa fille a) Un père pygmalion b) Confiance dans la nature c) Tendresse et complicité II – Le portrait de Jeanne a) Le regard du narrateur b) Une beauté fade c) Vitalité et spontanéité --------------------------------------------------------------------- I – Le père et sa fille a) Un père pygmalion Le baron souhaite modelé sa fille exemple ligne 2 → pronoms

main, pour qu'il puisse vous suivre. La nuit produit l'erreur et l'erreur l'attentat. Faute d'enseignement, on jette dans l'état2 Des hommes animaux, têtes inachevées, Tristes instincts qui vont les prunelles crevées, Aveugles effrayants, au regard sépulcral3, Qui marchent à tâtons dans le monde moral. Allumons les esprits, c'est notre loi première, Et du suif 4 le plus vil faisons une lumière. L'intelligence veut être ouverte ici-bas ; Le germe a droit d'éclore ; et qui ne pense pas Ne

constitueront notre étude, le premier : La révolte de Meursault et le second, le regard de Meursault « l'homme absurde » sur la vie. Commentaire I. La révolte de Meursault Meursault a toujours fait preuve d'impassibilité, là, dès le premier paragraphe, la colère l'a envahit sans qu'il ne sache réellement pourquoi « alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque chose qui a crevé en moi ». On remarque le champ lexical de la colère qui peint l'atmosphère dans la cellule, citons « je me suis mis

constitueront notre étude, le premier : La révolte de Meursault et le second, le regard de Meursault « l'homme absurde » sur la vie. Commentaire I. La révolte de Meursault      Meursault a toujours fait preuve d'impassibilité, là, dès le premier paragraphe, la colère l'a envahit sans qu'il ne sache réellement pourquoi « alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque chose qui a crevé en moi ». On remarque le champ lexical de la colère qui peint l'atmosphère dans la cellule, citons « je me suis mis

, être empereur )nous allons étudier le vers 382 jusqu'à 398 un aspect de Néron par lui même thématique du passage que l'on étudie est l'amour la tragédie mais en scène les plus forte passions humaine . Liste des procédés textuel : champs lexicale + analyse registre + analyse figure de style + analyse temps et mode + analyse discours rapporté (3) + analyse point de vue (3) + analyse procéder analyse Néron parle de lui as la troisième personne comme une personne étrangère

ville" (l.29, 30, 31) afin de mettre en exergue le centre de ses pensées dans ce passage. Notons également l’énumération reflétant les pensées du narrateur, dévoré par l’aspect sauvage, isolé et inhabité du cadre Spatio-temporel, et use d’un champ lexical approprié: "pierre" (l.31); "qui n’ont plus de cœur à rien" (l31), "désertée" (l30); "vide et silencieuse" (l29). Ce lieu décrit ainsi par le narrateur, est également une personnification de l’ennui du personnage Bérénice au centre de l’extrait

victor hugo décrit simplement une fin de journée en automne! il voit le soleil sous la pluie d'automne, il regarde par la fenêtre et devant la magie de l'instant, ce que vois ses yeux le transporte aileurs, il imagine d'autres endroits en voyant un mervilleux tableau automnal se déssiner devant sa vue! de chez lui il vois la forêt et les effets d'habillages proccurée par les rayons colorées ( rouge,) de l'astre couchant( du soleil)! en fait en voyant ce spectacle éphémère d'un couché de soleil