Champ Lexical Du Regard

et réflexion philosophique sous une forme dissimulé pour éviter la censure. Dans l'extrait que nous allons étudier, l'un des Persans raconte une aventure personnelle. Il nous importe de voir comment au travers le genre épistolaire et le thème du regard, en quoi cette lettre persane propose une réflexion philosophique ?. a. les indices d'énonciation - locuteur et destinataire " Rica à Ibben, à Smyrne " - pas d'entête - lieu d'énonciation, date (dans le calendrier persan) + année - remarque : fiction

-rythme rapide -présent, imparfait (regarder : dominant) « un jeudi »l.1 « Mme Raquin se souvient »l.15, « puis elle s’oublia »l.41, « regarda » l.6, « regardait le nouveau venu » l.35, La venue de Laurent est « un jeudi » soir, le soir où Mme Raquin reçoit ses amis d’antan. « Mme Raquin se souvient », chacun raconte une histoire passée. C’est aussi cette soirée-là où Thérèse regarde Laurent et l’examine « regardait le nouveau venu », « ses regards sur son cou ». II/ Construction des

de foudre de Frédéric. Une bonne partie de la beauté du texte repose sur le point de vue interne choisi par l’auteur, qui donne au lecteur l’impression de voir la scène à travers les yeux émerveillés de Frédéric. Tout d’abord, on observe le champ lexical de la vue avec des verbes comme : « distingua », « lui envoyèrent ses yeux » (l2) et « regarda » (l6) qui l’impression de découvrir la scène soudainement. Le point de vue interne est mis en évidence dès le premier paragraphe où le lecteur à l’impression

trouvons un champ lexical des qualités du métier de forgeron : « il ne se pressa pas », « avec une science réfléchie », « à grandes volées régulières ». Cela nous montre la maitrise des gestes soignés mais aussi une régularité dans ces mouvements. On peut comprendre qu’il aime ce métier et qu’il y consacre énormément de temps : « il avait le jeu classique, correct, balancé et souple ». On peut aussi supposer que se défie pour lui et très simple car il a une grande métrise de ce métier : « un regard plein

description de la femme. Les champs lexicaux nous prouve bien à quel point, il est difficile pour le poète de faire une description de cette femme. Nous pouvons relever le champ lexical du mystère avec les termes « ce rêve étrange » (V.1), « femme inconnue » (V.2) , le champ lexical du corps accentue l’effet de flou, comme nous le montrent ces termes « mon cœur » (V.8), « Son regard » (V.12), « front » (V.7). Une antithèse se rattache particulièrement au champ lexical du corps « ni tout à fait la

roi : " affolé de joie " et " un roi qu'un peuple venait acclamer ". Métaphore préparée par les jeux de mots sur son nom " Georges Du Roy "  - La sortie de l'Eglise = procession royale (cf. 3ème paragraphe avant la fin). La foule est immense. Champ lexical de la foule Elle est comparée à une masse.  => c'est une masse anonyme qui n'existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là pour l'acclamer. Dans l'incipit Bel-Ami est dans la foule, ici il en est détaché. Pour Bel-Ami la foule existe en fonction

définit le chemin de «difficile». On peut dire que ce chemin est en autre une sorte de parcours. On peut constater aussi un champ lexical de l’ouïe et de la vue, comme nous montre les ligne 1 «entendit», ligne 2 «reconnut», ligne 2 «vit», ligne 3 «écouter», ligne 3 «entendrait», ligne 8 «vit», ligne 11 «pour voir», ce qui accentue que les personnages se cherchent du regard. Mr de Nemours était déjà décrit comme un personnage virile car dans le texte où ils se rencontrent avec madame de Clèves il

Chartres A) un effet d’attente - les premières phrases créent un effet d’attente, madame de Lafayette ne révèle pas tout de suite son identité, on l’apprend par le regard intrigué et admiratif des courtisans - formule impersonnelle « il parut » -article indéfini « un » qui prolonge le mystère -la convergence de tous les regards -+ une pause pour parler de son éducation -l’héroïne n’est dévoilée qu’a la fin. Elle met ainsi ses qualités en valeurs une par une B) un modèle de perfection Elle

pouvoir rester debout. On relève le champ lexical de la mollesse, « lentement » (l.8), « mollement » (l.15), « mou » (l.20), « terne » (l.20), « marche traînante » (l. 20-21), qui permet d’insister sur la somnolence du personnage. Et la laideur de l’empereur est exprimé par les oppositions « … son nez seul restait osseux dans toute sa face dissoute» (l. 16). De plus, on remarque dans cette description un personnage vicieux et malsain, qui ne peut s’empêcher de « regarder les dames inclinées » (l.18)

«foudroyée» : Les éclairs et la tempête symbolisent la punition des dieu. Toutefois, Séverine est présenté, tout de suite après le meurtre, comme une victime innocente des pulsions meurtrières de Jacques. On observe par exemple la présence du champ lexical de l'innocence : «Fatalité du meurtre» «En inconsciente» «tendre et innocente». Tout ces mots connotent le caractère innocent de Séverine, qui s'oppose à la violence du meurtre, qui évoque une vendetta. D'ailleurs, Jacques semble, lui aussi,