Champ Lexical Mélioratif

pour finir sur la vengeance de Mme Raquin. On remarque dans ce passage le rapprochement des deux meurtriers contrairement au reste du roman. En effet, on relève un champ lexical du regard : « dernier regard », « regard de remerciement » qui montre l‘insistance de Zola sur le regard de ses personnages. On remarque aussi un champ lexical de verbes de pensées et de sentiments où Thérèse et Laurent sont tous deux sujets : « songeant », « ils se sentirent », « ils éprouvèrent ». On comprend donc que Thérèse

I. La solitude tragique de Bérenger a) Il se retrouve seul suite au départ de Daisy. Utilisation d’un miroir, car plus d’interlocuteur, d’où le choix d’un monologue. b) Thème : éloge des rhinocéros. Importance du corps pour Bérenger (champ lexical du corps très présent). Il a tendance à mettre en opposition certains points du corps humain avec les rhinocéros : comparaison de la voix. Eloge chez le rhino, « leur chant ont du charme », idée d’envoutement, de magie, lié à la voix. Référence

d’un pouvoir surnaturel : front // vents ténébreux (2), panse // couchant rougeoie (5), sourcils // orage menaçant (13), cheveux // tempêtes voltigent (15), poing // obscurité (17) • • 2. La gradation de la violence Elle s’orchestre à partir du champ lexical d’un bruit de plus en plus intense : sons de cloches innombrables (8), sonore, le vacarme de millions d’habitants (9), grondant (20) Elle se lit dans la structure du poème lui-même : Première strophe : le dieu « se carre », mention de la « rage

semble se référer à la bien aimée tant par les expressions qui appartiennent au champ lexical de l’amour et de la passion (« aimer, charme, vivre ensemble ») ; que par les pronoms possessifs qui renvoient à l’affinité entre le poète et le destinataire. Le deuxième vers place le poème sous le signe du rêve et de l’évasion, notamment grâce au verbe « songer », et s’achève sur le sommeil « le monde s’endort ». Le champ lexical du rêve (« songe, mystérieux, dormir, s’endort… ») est dominant et le verbe

litote: «va je ne te hais point» vers 963 ce qui permet a Chimène de révéler, avec pudeur, son amour. Aussi d'autre négation ponctuent son discour «je ne puis» qui met fin au vers 963 et le vers 984 «Mon unique souhait et de ne rien pouvoir», le champ lexical de l'amour est très présent: par la métaphore du feu :Rodrigue «ta flamme» vers 965 ou encore «des feux si beau» etc... Cependant si l'amour est réciproque il s'accompagne de douleur. -Amour et douleur culminent dans l'échange de stichomythies

des mortels……………………… b- Le condamné est analphabète…………………………….. c- Le narrateur est maltraité par les gardiens………………………….. d- Ce qui le touche le plus c’est la sous alimentation…………………….. 6) -relevez du passage quatre mots relatifs au champ lexical de la prison. …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 7) -Quels sont les registres dominants dans l’œuvre ?............................... ; ................................. 8) -Dans quelle phrase du texte

symbolique Si la nature est sacrée, elle est également énigmatique puisque qu'on arrive pas à saisir son sens facilement. Nous sommes, par exemple, obligés de décryptés cette nature qui s’exprime à travers «des forêts de symboles».On remarque ainsi un champ lexical de la confusion dans les deux premiers quatrains par les citations suivantes: «confuses», «se confondent», «ténébreuse et profonde» et «nuit». Le «on», qui se trouve dans le deuxième quatrain avec «longs», «sons», «confondent», «profonde» et «répondent»

meilleur Aragon est sensible au sacrifice de ces hommes qui, étrangers, ont agi pour la France Le rappel des évènements - Indications de temps : « onze ans »(v.3) « fin février » (v.17) - Champ lexical de la guerre :« armes » (v.4), « couvre-feu » (v.13) et « fusils » (v.31) - Champ lexical de la mort « agonisants » (v.2), « mort » (v.5), « tache de sang » (v.8) III- Un poème de l’émotion a) La lettre de Manouchian Aragon va insérer une paraphrase poétique de la lettre écrite

description de l’espace théâtral par Lechy Elbernon s’avère être une réflexion sur l’art du théâtre en général. En effet, Lechy Elbernon fait une description très élaborée d’une salle de représentation théâtrale que l’on note grâce à l’omniprésence du champ lexical du théâtre : « scène l ;5, salle l ;5, rideau l ;9 » L’auteur y évoque également les spectateurs, qu’il considère comme part entière d’une représentation. On observe cette allusion aux spectateurs grâce à la comparaison : « Ils garnissent les

couleur uniforme du givre à la fin février pour vos derniers moments », évoque un hiver dur, mais aussi la violence de l’époque, le poème est aussi composé de mots tel que  « agonisants, mort, tache de sang, derniers moments, mourir .. . » est un champ lexical qui nous rappel les massacres de la guerre. Avec son poème, Louis Aragon tente de raviver le souvenir d’hommes qui ont donné leur vie pour la liberté, des résistants, afin qu'ils ne tombent pas dans l’oubli, et de nous remémorer cette guerre.