Champ Lexicale De La Correspondance

puis l'enfer L’étouffement qui est un étouffement intérieur Le mal être physique et moral Les comparaisons avec le réel Les l'isotopies et champs lexicaux Les adjectifs qui la caractérisent et leur signification [humidité = lieu qui transpire humidité qui imprègne les murs tel le mal qui imprègne le poète et humide rime avec timide] Correspondance entre physique et moral Moyens de comparaison « imite » qui donne les araignées donc transition physique vers morale ; aussi métaphores, comparaisons

fonction de journaliste qui couvre le procès. Ainsi, il fait référence à des termes qu’il a employés dans ces articles pour décrire Jean Claude Romand, tel le « Damné » pour Libération. Il puise dans ses écrits journalistiques, mais aussi dans la correspondance qu’il a entretenue avec l’accusé. On peut ainsi parler d’intratextualité. 3) Ce passage se situe à la fin du livre, plus précisément à la fin du procès de Romand, lorsque la parole est donnée à l’accusé. 4) Cet extrait est le plaidoyer

quatre poèmes intitulés Spleen. Le chagrin est le responsable de l’état médiocre de Baudelaire. Tout d’abord, nous observons le champ lexical de la mort qui montre le désespoir et l’état d’esprit sinistre dans lequel se trouve le poète. Par exemple dans  « Le mauvais moine », les mots qui se rapportent à ce champ lexical sont « les pieuses entrailles », « champ des funérailles », « mon âme est un tombeau » « triste misère » et « Mort » qui a une majuscule ce qui indique une personnification.

assisté à la bataille.Après avoir montré le sens descriptif des mots, nous analyserons le sens stylistique des expressions. Partie I:Le sens descriptif a .Champs lexicaux de la nature et du personnage La nature ,présentée dans ce poème ,est une entité extrêmement vivante et active .Rimbaud décrit cette nature animée par le champ lexical du paysage ,,,,,,,et celui de la lumière ,,,.Par la lecture de ce poème ,on peut imaginer une scène pleine de vie et de gaieté:dans un petit val ,couvert d’herbes

1915, Guillaume Apollinaire, après s'être fait naturalisé, est parti au front. "Poèmes à Lou" est un recueil dans lequel se trouve une partie de la correspondance que l'auteur eu avec Louise de Coligny-Chatillon. Celle qu'il appelait encore avec tendresse, et amour, "Mon Lou" était pourtant son ancienne maitresse. Leur rupture avait précédé son départ pour le front. Ainsi, lorsqu'il ne parle pas de son retour, il évoque la Mort, qu'il cotoie chaque jour. Le poème est-il une preuve d'amour, une

nous aide à prendre la même haleine que Julien. Ce premier plan nous présente une description économique du paysage et de la relation avec la nature, un symbole typique pour un roman. Les mots ,,immense’’, ,,montagne’’, et ,, élevé’’ forment le champs lexical de l’altitude pour décrire la supériorité de Julien, et l’adjectif ,,immense’’ renforce l’idée de difficulté que l’on peut se faire de ces obstacle. On découvre aussi une instabilité émotionnelle qui est plutôt évité a les décrire. Lorsqu’il est

temps. Les qualificatifs de 1er quatrain sont une anaphore de l’idée de vieillesse (v.3). Allitération en v = Insistance. Asyndète du vers 5, donne l’impression d’une chute brutale au sommet de l’ascension. Champs lexical du néant. Les images de fuites annoncé : s’enfuit et fuit. Le mot rien (v.2) annonce le néant mis en valeur par sa position et son inversion. Le Lyrisme est à la fois, la célébration et la déploration ; ici c’est une lamentation

amateur du jazz, il publia en 1937 "Pigments" Recueil de poèmes dans lequel il écrit en 1962 " il est des nuits" la poésie que nous allons étudier. Dans ce poème Damas exprime une douloureuse expérience personnel. La musique qu'il écoute rentre en correspondance avec un sentiment d'angoisse qui s'intensifie jusqu'à lui faire la tentation de suicide. Etudes du texte: - Le texte est en vers et en prose. - On remarque que le poème est en forme de trompette, vers hétérométriques. - Registre lyrique

Guillaume Apollinaire, on peut retrouver 4 champs lexicaux : * Le champ lexical de la pluie et du beau temps : « pluie » ; « il pleut » (fois3) ; « rafales » ; « froid ». * Le champ lexical du soleil : « en rayon d’or » ; « beau soleil victorieux » ; « couronne ». * Le champ lexical de la guerre : « victoire » ; « victorieux » ; « vainqueurs » ; « pluie d’acier » ; « pluie de fer » ; « rafales » ; « éclatez » ; « fanfares ». * Le champ lexical de la souffrance et de la mort : « mon cœur

comprend que le narrateur est accompagné par une femme : "Je respire l'odeur de ton sein chaleureux ». L'épithète "chaleureux" qui complète le nom commun "sein" peut témoigner de la relation intime entre le poète et sa bien-aimée. Par ailleurs, le champ lexical de la chaleur que l'on retrouve tout au long du premier quatrain inspire la sensualité. Elle est intensifiée par l'évocation des sens : "yeux » (V.1), « je respire » (V.2). Cette sensualité semble être liée à la femme aimée. Vers 3 : Au vers