Champs Lexical De La Folie

Berlin." Cette phrase utilise une métaphore pour décrire l'état émotionnel de Tania. Le champ lexical de la passion amoureuse est introduit avec "en fièvre". Tania est passionnée par un petit employé quadragénaire de banque qu'elle connaissait à Berlin, cette passion la consume et explique ses actions ultérieures. "Elle voulait y retourner dans son Berlin et l'aimer malgré tout et à tout prix." Le champ lexical de l'amour est renforcé par "aimer malgré tout et à tout prix", montrant que Tania est

provoqué par la mort de sa fille. Retour sur les premiers moments après son décès. 2. Lire le texte : Attention au respect des syllabes et du ton 3. Présentation des axes d’analyse : I. L’expression de sa souffrance II. La révolte du père III. La folie 4. Analyse Le poème de Victor Hugo est le cinquième poème du livre Iv des Contemplations, nommé Pauca Meae, consacré à la mort de sa fille. Ce poème est écrit le jour anniversaire de la mort de sa fille. L’auteur exprime sa peine, pas encore surmontée

qu’éprouve Thérèse lors de ces soirées monotones, avec le champ lexical de l'ennui : (l.1) « indifférence », (l.7-8) « oisive, à moitié endormie. Un coude sur la table ». Et avec l'utilisation de l'imparfait qui traduit la répétition et l'habitude de ses soirées, de plus des phrases longues et complexes, sans ponctuation forte. Ensuite nous évoquerons l'angoisse de Thérèse après l'ennui, avec des hyperboles, des métaphores et le champ lexical de la souffrance : (l.6) « se plaignait d'un malaise »,

la transfigure dans une contrée imaginaire où le desepoir et la beauté se confondent. Il s'évade dans les paradis artificiels du haschisch, de l'opium et du vin, ceux de la luxure et du vice. L'ennui, la mort et la pourriture le hantent, jusqu'à la folie. Ce poème exprime comme d’autres poèmes (l’Albatros, la Musique) la fascination de l’auteur pour la mer qu’il croit à notre image. Pour nous le faire sentir il a organisé le poème selon une structure en miroir où l’homme regarde son double comme un

Laurent accroche lors de leur mariage leur rappelle toujours leur terrible crime. On prouvera que la cicatrice de Camille est un symbole du meurtre et de leur culpabilité tout au long du texte qui suit à l’aide d’exemples, de figures de style, de champs lexicaux et on appuiera le tout à l’aide d’éléments de forme ou de citations pertinentes. Le rappel du meurtre Premièrement, il y a les dents de Camille (celles-ci gravées dans le cou de Laurent rappelle aux meurtriers la bouche de leur

peut aussi remarquer dans les trois premières strophes le champs lexicale du déplacement avec par exemple « Je m’en allais » ou encore « course, route » Enfin la métaphore « mon auberge était à la grande Ourse » fait allusion à une nuit à la belle étoile ce qui souligne l’aspect vagabond de ce sonnet. Tout vagabond étant en quelque sorte opposé à la société on retrouve de se poème un auteur qui s’y oppose . On voit par exemple le champs lexicale de la pauvreté « souliers blessés », « poche crevée » qui

IA1 : Origine et structure grammaticale 3 propositions subordonnées de temps (crée un effet d’attente)  Répétition du « quand » semble retarder l’arrivée du 4ème quatrain Gradation qui recentre sur un élément précis=prison =rétrécissement du champ de vision=enfermement de plus en plus présent « couvercle » « prison » « cachot » plus on avance, plus le malaise s’agrandit IA2 : Vocabulaire utilisé Lexique fait apparaitre notion d’étouffement, de claustration « bas et lourd » « peser

tyrannique. Nous évoquerons d’abord le tableau d’un coup de foudre, pour ensuite nous intéresser à la révélation d’un monstre naissant. Dans une tirade, Néron raconte à son conseiller Narcisse, l’entrée de Junie au palais. D’entrée, on remarque un champ lexical de la vue ; ainsi, Néron raconte l’arrivée de Junie du moment où il l’a vue arriver : « je l’ai vue », dès le deuxième vers de la tirade, puis v.6 « yeux mouillés de larmes », v.13 « relevaient de ses yeux », v.14 « ravi d’une si belle vue », v

montre bien que René parle de lui.  De plus, la présence d'un champ lexical des sentiments, comprenant des mots tels que "tourmenté", "sentiments d’ennui", "transports", met en lumière la mélancolie engendrée par son état d'insatisfaction. -L'extrait nous place donc en présence d'un héros qui exprime le mal de vivre qui l'accable. D'autre part, on peut sentir aussi que René est exalté. Ainsi, la présence d'un autre champ lexical comprenant des sentiments totalement opposés, tels "désirs", "prosterné"

le dernier stade de l’expérience de Victor, Mary Shelley crée un climat lugubre. Elle annonce dès les premières lignes de l’extrait que nous allons étudier. On relève en effet, le champ lexical de l’horreur et de l’angoisse aux lignes : 1 « sinistre », 7 « lugubrement », 9 « créature », 23 « blafardes »… Ce réseau lexical est présent tout au long de l’extrait et provoque une certaine angoisse chez le lecteur. Nous constatons que l’imparfait est le temps dominant dans cet extrait que nous relevons