Champs Lexical De La Folie

de vue de Christine est adopté : c’est elle qui voit la scène, comme le montre dès le début de l’extrait les termes « elle voyait enfin ». Or cette épouse assiste à l’« accouplement brutal » de son mari avec la « Femme nue » de son tableau. Le champ lexical de l’accouplement est largement développé, avec les expressions suivantes : « le geste éperdu de caresse », « le va-et-vient passionné de son bras », « une étreinte mêlée de membres ». Les précisions anatomiques sont toutes sensuelles (deux occurrences

symptômes essentiellement physiques : le corps parle (voir début de la page : “sa conscience n’entrait pour rien dans ses frayeurs” / fin : “l’âme restait absente”). Pas de remords psychologique. - sensible aux hallucinations, et victime de crises de folie depuis la nuit de noces. 3) Bilan Consigne : Ecrivez votre réponse rédigée sur votre cahier. - Au contact de Thérèse, métamorphose : on passe d’un tempérament sanguin à un tempérament nerveux. Laurent subit l’influence de Thérèse et développe

connaissent depuis suffisamment longtemps, pour être arrivés à s’apprécier, comme le montre le champ lexical de l’amour : « Plaisez (l.3), aimez, embrassez (l.4) », ils doivent donc s’embrasser. ● l.6 à 10 : Les exemples et leur explication : l.6 à 7 : Premier exemple : Il ne faut que Pierre hésite. l.7 à 9 : Explication du premier exemple : Il ne faut pas laisser le temps, représenté par son champ lexical : « Minute, mois, années » (l.8), se glisser entre ceux qui s’aiment. l.9 : Deuxième exemple :

une héroïne tragique. Elle semble faire les mauvais choix et subit la fatalité. (Citation/ Justification par la forme) En effet, son portrait est teinté de culpabilité et de faiblesse par les champs lexicaux vus précédemment. Ces caractères sont amplifiés lorsque plus tard dans la scène, elle est prise de folie : son instabilité achève son portrait tragique. (Explication) Cette fragilité la rend suicidaire et désespérée. Cela l'amène à énoncer à la fin de la scène : « Crois-moi, ce monstre affreux

probant et fort si Zola n’avait utilisé le discours indirect libre, à travers lequel se joue l’évolution psychique de Jacques car c’est la première fois dans le roman que le personnage prend conscience de son mal. II – La bête humaine A – Les champs lexicaux 1 – de la sensualité « la fièvre grandissante » l.7-8, « affolante du désir » l.8, « cette chair, cette gorge, chaude et blanche » l.13-14, « pour le plaisir » l.15, « envie » l.15 2 – de la bestialité « enragé » l.10, « galopant »

glorieux) et imagine qu’elle est soit heureuse (retrouvée) soit hors d’elle-même (perdue). AXE 2 : LA FATALITE, LA MONSTRUOSITE ET LA VIOLENCE Phèdre va, comme dans l’aveu face à Oenone, montrer qu’elle est le jouet du destin. Racine utilise le champ lexical de la divinité (vengeances célestes, les Dieux (3 fois) et par opposition « faible mortelle ») pour situer Phèdre dans la souffrance d’une lutte. Mais elle ne doit pas seulement lutter contre les Dieux, elle doit lutter contre elle-même, et surtout

non seulement au paysage en tant que décor. La vie des paysans, les travaux des champs, les villages et leurs fermes qui deviennent des sujets à part entière pr la littérature. La Haute-Normandie, en particulier, inspire certains peintres impressionnistes (Claude Monet, …) et des écrivains (Guy de Maupassant, …), originaires de cette région. II/ La Nouvelle Fantastique a) Un thème privilégié : la folie. La folie constitue un des thèmes privilégiés de la littérature fantastique européenne

début de vers exprime les sentiments et met en lumière les états d’âmes du poète, c’est le « je lyrique ». De plus le champ lexical de l’amour avec notamment « bien-aimée » v2, « amour inouï » v19, « amant » v20, « ardente du bonheur » v 24 ou encore « amour unique » v26 permet d’inscrire ce poème dans le registre lyrique. Ce poème est lyrique puisqu’on retrouve également le champ lexical de la nature avec par exemple « mimosas en fleur » V5, « la mer les monts les vals » v8, « soleil » v17 ou « fleurs »

montre-t-elle que le geste de lorenzo sera incompris ? En quoi cette scène de meurtre est-elle décevante ? Problématique :   AXE 1 : UN MEURTRE HABILEMENT PREPARE / UNE SCENE ETONNANTE /L’ATTITUDE DU DUC / J’énonce l’idée directrice : 1.Champs lexicaux de la nourriture et du froid / la parole ⇒ Le duc se montre grossier, vulgaire / il ne pense qu’à son bien-être / il se plaint / il décrit la femme telle qu’il ne l’aime pas / il n’aime pas être dérangé 2. Ironie / répliques courtes, phrases

affronte beaucoup d’interlocuteurs « unanimes » sur sa culpabilité) : la folie, la mort. D’où la forte présence de la passivation. On découvre dans La ficelle une isolation systématique vis-à-vis de Maître Hauchecorne qui a l’idée fixe de prouver son innocence quoiqu’il n’y ait plus de chance. A la fin, il perd la raison jusqu’à ce qu’il meure. L’ennemi du personnage principal se venge alors de manière rusée en le poussant dans la folie. En conséquence, Maupassant critique la brutalité affreuse des hommes