Champs Lexical De La Lumière

Gouges, DDFC, 1791 Postambule, du début à « vous n’avez qu’à le vouloir »Introduction : · La carrière littéraire d'Olympe de Gouges débutée avant la Révolution et notamment ses œuvres dramatiques témoignent de son implication dans les débats des Lumières et tout particulièrement dans la lutte contre l'esclavage et la question du statut de la femme.· Lorsque la Révolution qu'elle épouse éclate, son engagement se fait plus proprement politique. · Constatant que, malgré la participation

couleuvre : Livre X, fable 1. Problématique soulevée : Les mots ont-ils le pouvoir ? → Champs lexical de la Justice : aucun termes dans le premier discours de l'♂ = Fi de la Justice, dans les propos du Fabuliste en 1ier = dénonce l'attitude de l'homme. Il prend donc parti du serpent. Discours du serpent : parle de "justice", anaphore de "ton" = Égoïsme de l'♂. Par l'utilisation du champs lexical = l'♂ est désigné de coupable à la {text:soft-page-break} place du Serpent. → Vache, bœuf &

et... » INSISTANCE SUR SON POUVOIR. Champ lexical de la lumière les camps d'ombre ne quittaient pas la route du bois La narration suit une progression logique, marquée par une extension de la lumière : d'abord, la nuit domine, puis faible, inerte. apparition des premières (et de l’obscurité) blêmes éclats cimes argentées je levai un à un les voiles coq midi lueurs du jour ; ensuite, la lumière de l'aube atteint les parties hautes du paysage, la lumière s'étale progressivement sur toute

effet de surprise. Comment l’écriture poétique permet-elle ici de dénoncer les effets de la guerre ? Tout d’abord, nous nous intéresserons à l’aspect idyllique du cadre présenté comme un lieu semblant s’offrir aux sens. Ensuite, nous mettrons en lumière l’ambiguïté du personnage. Enfin, nous verrons en quoi le poème constitue une dénonciation indirecte de la guerre. Plan 1. La représentation du cadre : un lieu idyllique qui semble s’offrir aux sens A. La diversité de la nature, riche et variée

la date du 9 septembre 1848 est considérée par Hugo comme partageant sa vie en deux tel qu’il l’explique dans la préface "Autrefois, Aujourd’hui : un abîme les sépare, le tombeau” · termes “pleurs”, »criais » , “plaie”, “saignée” composent un champ lexical de souffrance=> témoigne donc de la douleur ressentie par Hugo · exclamatives “quoi donc ! je ne l’ai plus !”=> expriment encore la soudaineté de la disparition se répétant dans son jaillissement le premier cri --------------------------

| | |Champs lexicaux |verdure, rivière, herbe, soleil montagne fière, rayons, |États opposés | |Nature |vert, val, rayons, lit vert, lumière pleut, frais cresson |Ce champ lexical exprime l’apaisement du soldat en contact avec| | |bleu, nue

LA CIVILISATION Destruction et immoralité des colons : Diderot qualifie les hommes civilisés de « méchants ». Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme « enchaîner », « égorger », « assujettir », « se haïr », « asservir »… Ce champ lexical renforce l'attitude des Européens envers les Tahitiens et Diderot développe le champ lexical de la violence : « funeste avenir », « fureurs inconnues », « folles », « féroces », « esclaves » et « teintes de sang ». Les

civilisation : Destruction et immoralité des colons : Diderot qualifie les hommes civilisés de " méchants " (l.8). Il utilise un champ lexical fort pour souligner cette cruauté avec des verbes comme " enchaîner ", " égorger ", " assujettir ", " se haïr ", " asservir "… Ce champ lexical renforce l'attitude des européens envers les Tahitiens et Diderot développe le champ lexical de la violence : " funeste avenir ", " fureurs inconnues ", " folles ", " féroces ", " esclaves " et " teintes de sang ". Les

disent animer d'un idéal généreux de civilisation, le vieillard dénonce ces inutiles apports Il utilise leur langage (troquer ce que tu appelles notre ignorance) Nouveau renversement : ignorance - inutiles lumières Il insiste sur l'absence d'authenticité de ces apports : inutiles lumières besoins superflus, biens imaginaires, besoins factices, vertus chimériques à la paix, au calme il oppose : t'agiter, te tourmenter Il oppose les conceptions de vie naturelle : limitation des besoins au nécessaire

la comparaison entre le temps et un vampire qui se nourrit de la vie du poète et de la vie en général est renforcée par l’emploi du champ lexical de la nourriture: « Le Temps mange la vie » (vers 12) ; « aliment » ( vers 11) et « ronge » (vers 13). De plus, la notion que le temps se fortifie en prenant la vie d’autrui est renforcée à travers l’emploi du champs lexicale de la vitalité et de la force : « vigueur » ; « vermeils » ; «cœur » ; « croit et se fortifie » ( vers 14) Ainsi, le temps est