Champs Lexical De La Religion

mondiale, période de résistance. "Pater Noster" est un poème datant de 1946, tiré de son recueil de poèmes Paroles. Ce poème appartient au mouvement de la littérature engagée. Ce poème commence comme une prière le pater noster. Il semble respecter la religion. Ce poème se compose de plusieurs longueurs, on parle d'hétérométrie. Problématique : Qu'est-ce que Prévert souhaite dénoncer à travers ce poème ? I- Les merveilles du monde... Le poète énumère des lieux qui ne semblent pas avoir de rapport les

distorsion, décalage entre notion de plaisir en Europe et vie inhumaine pour les esclaves. e) Insistance sur l'hypocrisie des prêtres. Le mot "fétiche" est une impropriété de terme afin d'éviter la censure. Voltaire veut dire les représentants de la religion. Voltaire met en évidence la contradiction " nous sommes tous enfants… " alors qu'on pratique l'esclavage. Cette contradiction trahit l'hypocrisie des prêtres. III - Les différents éléments de la dénonciation L'émotion de Candide souligne

3ème personne du singulier, il, on parle de récit. Donc ici c’est surement du discours. * Champs lexicaux : * La lumière (Villa Jaune, dorée, les ors, lumière, limpidité, pâleur, éclatante, irradiait, meringue, blanc éblouissant d’œufs montés en neige, aube, or) * La religion (Par ailleurs : la lumière et la religion sont très souvent associées ensemble, la lumière symbolise la religion mais on peut aussi les distinguer l’un de l’autre) : la célébration catholique (messe), missel en

issu de famille diplomate. Il rencontre Ronsard → [ Humanisme : « On ne touche pas au corps, c'est sacré, il faut l'entretenir » → Utopiste : plus de torture (= Habeas Corpus ). Libre Arbitre=( liberté de culte , accepter le chois des autres sur la religion, liberté de confiance. C'est nouveau. Éducation : Étudie un peu de tout. L'équilibre de l'être humain par l'apprentissage de plusieurs chose → humain polyvalent== humaniste]. DB appartient au groupe de la Pléiade ( constellation de 7 étoiles ] Son

  ouvrage.   Dans   ce   chapitre   il   utilise   le   sexe,   le   voyage   et  de  la  religion  même       Tout   d’abord   l’auteur   utilise   souvent   le   terme   de   la   sexualité   pour   ridiculiser   l’autorité   des   curés.   Dans   la   religion   chrétienne,   les   membres   du   clergé   doivent   se   soumettre   aux   règles   de   chasteté

que les « rimes » qui sont remplacés par de simple assonances. On a dans se poème une véritable envie de rompre avec les formes traditionnelles qui est paradoxale avec la célébration de la religion. Proposition 1 : Ancien : v. 1-4 = rejet de l'ancien Nouveau : v. 5-10 = célébration de la modernité, de la religion v. 11-14 = voit dans les affiches et les journaux la nouvelle littérature v. 15-24 = description rue Proposition 2 : Rupture avec le lyrisme grâce à la mise a distance :

le sais, a eu ses guerres de religion, et les flammes en ont été souvent funestes aux sociétés : cela prouve qu'il n'y a rien de si bon dont la malignité humaine ne puisse abuser. Le fanatisme est une peste qui reproduit de temps en temps des germes capables d'infecter la terre ; mais c'est le vice des particuliers et non du christianisme, qui par sa nature est également éloigné des fureurs outrées du fanatisme et des craintes imbéciles de la superstition. La religion rend le païen superstitieux et

tel que «l'» (V1605,1610) ou encore «inquiète», «égarée» ( V1606).Quand Pylade raconte la mort d'Hermione on pourrait croire être spectateur de la scène. Il utilise le champs lexical de l'épouvante «inquiète», «égarée» (V1606)pour montrer qu'Hermione s'affole apprenant la mort de son amoureux, Pyrrhus. Il emploi aussi le chang lexical de la mort et de la vengeance «sang», «venger»,«trépas»(V1608) pour expliquer qu'Hermione était animer par la vengance et aussi la haine voyant Pyrrhus mort. Pylade dit

croit que c’est un jeu comme c’est noté dans le texte « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armée ». « Rien n’était que » est une hyperbole. Pour candide la guerre est comme une sorte de spectacle. Il y a un champ lexical d’instrument de musique comme c’est noté « Les trompettes, les hautbois, les tambours et les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en a jamais eu en enfer », cela montre plutôt un côté de joyeux, alors que c’est la guerre. La vision

battent « sans avoir aucun intérêt au procès, mais sans savoir même de quoi il s'agit. » (l15-16) . On peut aussi voir une critique de la religion lorsqu’elle bénit la guerre : « Chaque chef de meurtriers fait bénir ses drapeaux et invoque Dieu solennellement avant d'aller exterminer son prochain. » (l.23-24), faire la guerre, tuer, n'est pas l'image que la religion devrait donner d'elle même. Dans Candide, Voltaire se cache derrière la vision de Candide un personnage éponyme et naïf qui commence