Champs Lexical De La Religion

Le roi de France I / Les critiques 1 ) Gradation entre les trois paragraphes. 1er para. => Le roi et les Français l.10. 2eme para. => le roi est un grand magicien => il a un pouvoir sur les esprits. 3eme para. => Le pape et la religion. 2 ) Les Français ne sont pas épargnée. 1er para => l'auteur leur reproche leur vanité l.6, leur orgueil, l.10. 3eme para => les Français sont crédules, ils croient tout ce qu'on leur dit l.14. Mais ce ne sont pas les français qui sont visés

Devoir facultatif Vers le commentaire… (L’action se passe à la fin du XVIe siècle, au temps de guerres de religion, au moment de la Saint-Barthélemy, quand des protestants furent massacrés par des catholiques. Ici le héros Boniface de la Môle est poursuivi par des ennemis ; il tente de se réfugier au palais royal…) 15101520253035 | 
« Tuez ! tuez ! » crièrent les assassins en voyant leur victime prête à leur échapper. 
L'homme se releva en ramassant son épée, qui, dans sa chute, lui était

 Chapitre 3 Candide 1 UNE VISION IRONIQUE DE LA GUERRE A UN VERITABLE SPECTACLE spectacle pour les yeux : champ lexical de la beauté de l esthétique  « si beau » « harmonie » « bien ordonne » : tonalite admirative de l auteur spectacle auditif musical : procède d accumulation « les trompettes, les fifres les hauts bois, les tambours » : scène d épopée , progression dans l harmonie récit dynamique : forme emphatique « rien n était si

jusqu’à « par le fondement », montre les conséquences de la résistance face à Frère Jean, tout en faisant une satire de la religion.Le troisième mouvement allant de « Si quelque vieille connaissance » jusqu’à la fin de texte poursuit la satire de la religion par le personnage de Frère Jean, tout en exprimant la plainte des ennemis picrocholins. Explication linéaire  : Le premier mouvement débute par les pronoms « Aux uns » et « aux autres » pour montrer que le sujet « il » est tout

tout est voué à l’échec ( v301). L’expression, « avec tout le ciel sur son dos » insinue qu’il y a une présence obsédante des dieux, donc toujours une présence d’un destin. Celle-ci est montré avec une présence d’Artémise avec la présence du champs lexical de la forêt et des armes de chasse : «  dans le fond des forêts »(v443), « les bois » ( v551),  «  mon arc, mes javelots »(v540),  «  le troi »(v540) .On y voit aussi Neptune ( Poséidon), en rapport des 3 vœux pour Thésée, dans les ver 550 « 

malade 1)La description de la rousse: - champs lexicaux raccordés grace à la rime plate «  pauvreté » et « beauté » champs lexical de la pauvreté : «  les lourds sabots » « troués » …. Le champs lexical de la beauté : «  superbe habitt » « reluit encor » 2)la lien entre le poète et sa muse -Une relation charnelle entre l'auteur et le destinataire du poème «  beaux seins radieux » mais il sait que cela n'est pas autorisé par la religion « péché » -Une liaison dans la maladie quand

moque des croyants. Pour lui s'est la nature qui a tout crée. On va parler dans une première partie de la critique Politique, avec deux sous partie, la critique de la Guerre, et la critique du Roi. Dans la deuxième grande partie la critique de la Religion et la troisième grande partie, la critique de Dieu. Ainsi la lecture de ce sonnet fait immédiatement apparaître une très violente critique de la guerre. De fait, il faut bien rappeler que le jeune garçon a été traumatisé par la guerre de 1870

superstition tel que le décrit la Folie en mettant en avant l’impraticabilité de la religion chrétienne face à de tels agissements. On se penchera ensuite sur l’ironie mordante de la Folie en remarquant que le ton de cette ironie change et devient amer en fin d’extrait : la Folie elle-même se sentira dépassé par la folie des humains. I) Un état des lieux de la superstition a) Des pratiques qui mêlent paganisme, fantastique et religion. Dès le début de l’extrait, la Folie nous présente le public dont elle

nettement deux parties dans le sonnet, reliées par la transition des vers 7 et 8. d) L’organisation thématique L’observation des champs lexicaux (moyen privilégié de repérage des thèmes) suffit à révéler la bipolarisation du poème entre deux thèmes : la guerre (mitraille, bataillons, folie épouvantable, croulent, broient, morts, etc…) et la religion ( Dieu, autel, encens, calices, hosannah, etc…). On constate en outre entre ces deux parties du poème un jeu subtil de parallélismes et d'oppositions

et la leçon d'humanité. Développement : I- L’art du discours. 1°- Le rôle de la structure argumentative. ● l.1 à 3 : L’exemple : Montaigne a assisté à un spectacle curieux. Un enfant était mené par les siens, présents par le champ lexical de la famille : « Nourrice (l.1), père, oncle tante » (l.2) » afin qu’il soit livré en pâture à la curiosité d’autrui, comme un phénomène de foire, ce qui est souligné par un connecteur logique de cause « A cause » (l.3), et de but « Pour ».