Champs Lexical De La Religion

Lecture analytique « l’amour-propre » Les Pensées de Pascal Cette œuvre s’apparente à l’essaie car c’est une fragmentaire à l’état d’ébauche, cette œuvre a été constitué à partir des notes de Pascal après sa mot. -Il voulait écrire l’apologie de la religion chrétienne. Il a un gout pour la logique et le raisonnement quasi mathématique afin d’exprimer une pensée claire et organisée… Ces idées maîtresse; il veut montrer la misère de l’homme sans Dieu, l’homme est égaré par des puissances trompeuses comme

parallélisme « j’entend …., j’ entend »donne aussi une impression réaliste. De plus les observations du poète montre bien la vitesse de la vie quotidienne (ex : « il entend tout en meme temps » v 21 , 22 ), diversités des bruits , des métiers : champ lexical du métier: « serrurier », « maçon », « laquais », « paveur », « couvreur »., les autres corps de métiers sont qualifié par un pluriel pour insister sur le nombre b. expérience des embarras de la ville par le poète « chez moi , je … » poète

enfers». Le sentiment qu'éprouve Phèdre pour son beau fils est tellement fort et passionné que l'on peut croire que à ses yeux c'est ainsi dire une religion. On y trouve même son champ lexical: «âme, dieux, enfers, adorateur». Cette passion est décrite en terme religieux alors qu'il s'agit d'un amour interdit. La douleur de cette femme relève des champ lexical de la souffrance «douleur, larmes, cri, souffrir, offense, peine». D’ailleurs, le discourt de Phèdre est composé d’antiphrase, elle ne le dit pas

poème aborde des thèmes comme la mort, le péché, la religion, etc. Composé de dix quatrains, les deux premiers montrent la faiblesse de l’homme, sa faiblesse physique et morale, les 5 prochains démontrent l’influence de Satan et les 3 derniers montrent la place importante qu’occupe le spleen. Tout d’abord la faiblesse de l’homme mit en avant par un champ lexical très riche. Baudelaire nous montre un homme faible a travers le champ lexical des péchés qui est omniprésent : « péchés », « lâches »

où le potage est servi, M. Follenvie dit: « L’officier prussien fait demander à Mlle Élisabeth Rousset si elle n’a point encore changé d’avis. » Boule de Suif décline encore l’invitation, alors la comtesse décide de cité un exemple en mettant la religion en avant. Elle interroge alors la plus âgée des deux sœurs sur le pardon de Dieu quand le motif est pur. La sœur répond en disant que Dieu pardonne toujours quand il s’agit d’un motif pur et continue à exprimer les volontés de Dieu. Boule de Suif

avec le courant réaliste, celui de Balzac, entretient avec la réalité ; - effet de suspense car l’île reste anonyme volonté de l’auteur d’entretenir un phénomène de questionnement ; - accroche du lecteur. 2. L’univers monastique. - champ lexical de la religion : « religieuses » (l.7 et l.28), « saintes filles » (l.19), « catholique » (l.22), « Dieu » (l.26 et l.36) ; - présentation des carmélites → topos/cliché : « saintes filles agenouillées dans le cloitre » (l.19) → représente la prière ;

très pieux, la religion est « toute neuve » puisqu’elle n’a pas changé depuis tout ce temps, elle est comme immortelle. Cependant en tant que lecteur cela semble assez étrange d’assimiler la religion qui pour nous est ancienne puisqu’elle existe depuis des siècles à quelque chose de nouveau. V6 : on a une comparaison surprenante puisque la religion est assimilée aux “ hangars de port aviation”. V7 : on a une personnification avec le pronom personnel “tu” qui désigne la religion chrétienne. V8

bon successeur,et en lui ordonnant de faire de vastes études, pour lesquelles il a prévu tout un programme, plutôt que de la santé ou de la vie privée de son fils. -l.7 : Rythme ternaire  il doit tout apprendre en même temps -l.14 à 17 : champ lexical de la nature, ce qui relève la quantité astronomique de chose qu’il a à connaitre sur ce sujet + -l.15 à 17 : Anaphore de « tous » et « tout »  cela confirme qu’il doit absolument TOUT savoir à ce sujet

poésie lyrique, en tant que poème de longueur et de formes variables caractérisé par son ton plaintif particulièrement adapté à l’évocation d’un mort ou à l’expression d’une souffrance amoureuse due à un abandon ou à une absence. On peut relever un champ lexical de l’amour avec « Mon cœur » ; « détache ton amour» et on a plusieurs anaphores telles que : « trop vu, trop senti, trop aimé » ; « sans bruits, sans nom, sans retour ». Cette figure de style apporte du rythme au poème. D’ailleurs, il y a présence

esclavagiste. Mais, ce n'est pas seulement une critique morale, c'est aussi une critique philosophique. Tout d'abord, Voltaire incite la pitié du lecteur en dressant le portrait pathétique de l'esclave. On peut remarquer la présence du champs lexical de la commisération. Les adjectifs ''pauvre'' et ''horrible'' ainsi que l'injonction ''Ô'', exprimée par Candide, reflètent la tragédie. Lors de leur rencontre, l'esclave est dans un état déplorable: ''n'ayant plus que la moitié de son habit''