Chantage

¾ ¾ ¾ ¾ ¾ ¾ ¾ ¾ ¾ Agression en douceur Conditionnement Utilise besoin d ’affection & d ’attention Graduelle Gagnant & renforcer pouvoir Confusion Manipulation, chantage Secret 15% garçons : violente, intense, temporaire, séquelles importantes Le cadeau Rend complice Force la victime Chantage Le secret Culpabilité Honte Menaces Briser le silence c’est le 1er pas pour mettre fin à l’agression Si on veut mettre fin aux agressions, il faut se questionner

l’argent. Il s’exprime avec arrogance et sarcasme. Il est athée, nous le savons depuis la scène précédente, et après avoir été un athée en paroles (« Je crois que deux et deux sont quatre… ») nous voyons ici en Dom Juan un athée en actes. Il fait du chantage au pauvre, en essayant de le tenter, pour prouver à Sganarelle, au pauvre (et à lui-même ?) que la foi n’est qu’hypocrisie et qu’elle ne tient pas devant les nécessités de la vie. • Le pauvre représente la foi et le fidélité en Dieu : il résiste

d'emploi, donc de revenus. Elles aboutissent dans certaines régions à des désertifications industrielles, à des taux de chômage importants et à une misère économique et sociale croissante. D'autre part, elles sont de plus en plus à l'origine d'un odieux chantage à l'emploi, aboutissant à une dégradation des conditions de travail des salariés. La production délocalisée s'effectuant en dehors du territoire national, elle offre ses emplois aux résidents des pays d'accueil. C'est pourquoi les délocalisations

La scène du Pauvre I. Le jeu tentateur II. Le duel symbolique III. Dénouement ambigu I. Le jeu tentateur a) Les trois temps de la scène . Demande de renseignement .Dom Juan veut insinuer le doute dans l'esprit du Pauvre .Chantage, caractère de plus en plus colérique de Dom Juan b) Le jeu dans cette scène .Dom Juan mène le jeu, il possède sa stratégie dès sa première réplique. Il pose une question, amène à la contradiction puis à la conclusion "Voila qui est bien étrange, et tu

repartent ensemble. L’acte premier se termine sur la première rencontre entre Pyrrhus et Andormaque. Il commence par être bon en lui proposant de protéger son fils, mais il perd vite patience face aux désintérêts d’Andormaque. Il va donc lui faire du chantage et menacer son fils. Dans le second acte, Pyrrhus explique son changement de position à Oreste, il va finalement épouser Héléne et livrer Astynax au Grec. Mais on apprend que Pyrrhus cherche uniquement à rendre jalouse Andromaque. Encore une fois

nourriture est donc montrée comme un moyen de chantage. D’un côté, l’un des personnages la possède et nourrit l’autre qui lui est totalement assujetti, de l’autre, les deux protagonistes sont dépendants l’un de l’autre d’où une menace mutuelle interminable entre eux. Par ailleurs, on retrouve également ce chantage chez “le couple” Hamm et Clov. Il veut quitter son maître tout au long de la pièce ; la réplique “je te quitte” devient un refrain représentatif. Le chantage est dans le fait qu’ils sont dépendants

découvre que Nora a falsifié la signature de son père afin d’obtenir un prêt du banquier. Ce délit ayant été commis avant le début de la pièce, le dialogue avec Krogstad a permis au spectateur de connaître la machination sur laquelle reposera le chantage du banquier. Le prologue de Juste la fin du monde met en scène la parole hésitante de Louis : elle annonce ainsi les difficultés, voire l’impossibilité, qu’il rencontrera pour annoncer sa mort à sa famille. B) Parce qu’elle donne la tonalité

C’est une partie de l’acte III, scène 7. Pyrrhus amoureux d’Andromaque, sa captive troyenne, lui impose un chantage odieux : soit elle l’épouse et son fils est sauf, soit elle décline son offre et dans ce cas-là, son fils sera livré aux Grecs (« Il faut ou périr ou régner » l.22). Nous remarquons donc que c’est Pyrrhus, l’homme, qui est à l’origine du conflit notammant à cause de son chantage. C’est ici principalement une question de pouvoir. En effet, sur le plan politique, Pyrrhus a un pouvoir absolu

quatrième scène vient compléter l’exposition. Elle est composée de longues répliques (tirades). Afin d’épouser Andromaque, Pyrrhus utilise le chantage : il fait pression sur elle et lui promet de protéger son fils Astyanax en échange de son amour. Andromaque cherche à obtenir la protection de Pyrrhus sans lui donner en retour. Elle utilise également le chantage en le menaçant de se tuer. Par crainte, Pyrrhus décide de lui laisser du temps pour réfléchir à sa décision. En effet, il est aveuglé par son

Le premier texte Pyrrhus, roi d’Epire, est amoureux de sa captive Andromaque ; il impose à celle-ci un chantage odieux : soit, elle l’épouse et son fils est sauf, soit, elle refuse son offre et dans ce cas-là, son fils sera livré aux Grecs (« Il faut ou périr ou régner » l.22). Nous remarquons donc que c’est Pyrrhus, l’homme, qui est à l’origine du conflit notamment à cause de son chantage ( v30). La seule arme du combat étant le langage, le locuteur agit sur le destinataire, modifier son comportement