Chapitre 4 Dynamique Structurelle Et Changements Organisationnels

PME : focus sur la concurrence influencé par les valeurs des dirigeants (volonté d’indépendance, capitalisation et consolidation de l’existant) ▪ Tendance vers une optimisation du réseau - Multinationales : aspects structurels privilégiés (liens avec filiales), allocations des ressources en fonction des DAS et zones - Biens ou services : avantage concurrentiel lié à des aspects intangibles ? - Secteur public : impact de l’idéologie sur stratégie important

Fabienne, Christiane et Alain. Leur intérêt et leur écoute permanents furent d’un apport considérable. Finalement, je remercie Michèle Saboly, qui a encadré mon mémoire de DEA et qui m’a encouragé à poursuivre mon chemin en thèse. 3 INTRODUCTION 4 « Les chercheurs en sciences de gestion savent que le management est une activité compliquée, à gros enjeux, donc souvent dangereuse et sans corpus simpliste de recettes. Discerner les vraies innovations des fausses, comprendre quand et pourquoi

2009-2010 CHAPITRE IV : FLUCTUATIONS ET CRISES XIXème – XXème siècles Christelle ZENG ANALYSE ECONOMIQUE ET HISTORIQUE DES SOCIETES CONTEMPORAINES CPGE ECE 1 INTRODUCTION Fluctuation : irrégularité des évolutions des grandeurs économiques au cours du temps ( Cycle car les cycles sont des fluctuations régulières.) Cycle : mouvements alternés ascendants et descendants des grandeurs économiques respectant une certaines périodicité. Crise : période de dépression (i.e. lorsque

Moyennes Entreprises OIT : Organisation Internationale du Travail RDC : République Démocratique du Congo SPSS : Statistical Package For the Social Science ASBL : Association Sans But Lucratif MAFIDc : Marketing, Finances et Dynamique commerciale UNIC : Université du CEPROMAD PMI : Petites et Moyennes Industries SONAS : Société Nationale d’Assurance REGIDESO : Régie de Distribution d’Eau INSEE : Institut National de la Statistique et des Études Économiques

un contexte de compétition accrue pour ne pas dire féroce. Cette compétition globale force les organisations à s’adapter et à se réinventer d’une manière presque continuelle. De plus, s’ajoute le développement technologique qui imprime aussi sa dynamique. (Carte voir moodle) Economie en perpétuelle mouvement et évolution 2.1 Une nouvelle organisation du travail La mondialisation a grandement perturbé l’organisation du travail. A la division taylorienne du travail a succédé des concepts comme le

LE CAHIERS LES CA DE LA SÉCURITÉ INDUSTRIELLE S CU DU 2010-02 FACTEURS HUMAINS ET ORGANISATIONNELS DE LA SÉCURITÉ INDUSTRIELLE UN ÉTAT DE L’ART FRANÇOIS DANIELLOU MARCEL SIMARD IVAN BOISSIÈRES Fondation pour une Culture de Sécurité Industrielle (FonCSI) est une Fondation de Recherche reconnue d’utilité publique par décret en date du 18 avril 2005. Elle a pour ambitions de : L • contribuer à l’amélioration de la sécurité dans les entreprises industrielles de toutes tailles, de tous

Chapitre I : le système économique de l’entreprise Introduction L’entreprise est une réalité complexe qui comporte de multiples facettes. Elle regroupe et intéresse en effet de nombreux agents économiques aux motivations diverses et elle s’insère (s’intègre) dans des environnements très variés. Tous ces aspects ne peuvent être appréhendés que par des approches variées correspondant à des points de vue spécifiques. Au delà de leur point commun, les entreprises constituent

D’où l’importance de la dynamique de groupe qui n’est qu’un ensemble de faits sociaux nés de l'interaction de plusieurs individus appartenant à un même groupe. L’expression « dynamique de groupe » a été conçue par Kurt Lewin, en 1944. Elle rend compte du fait qu’un groupe est un organisme vivant : les personnes qui le constituent agissent et réagissent les unes par rapport aux autres, par rapport au groupe, et par rapport au but qui les réunit. Une certaine dynamique se met en place ; elle n’est

va d’un échantillon à un autre, disjoint du premier. 3. L’inférence par analogie va d’un individu à un autre (par exemple, on sait que deux individus X et Y ont en commun p propriétés et on infère que B a donc aussi une propriété p+1 que X possède). 4. L’inférence inverse va d’un échantillon à la population dont il est issu 5. L’inférence universelle va d’un échantillon observé à une hypothèse de forme universelle. [Carnap, Logical Foundations, cité dans Granger, 1995, p. 215-216] Les trois formes

APPRENDRE et COLLABORER EN RÉSEAU GUIDE DE MISE EN PLACE ET D’ANIMATION DE COMMUNAUTÉS DE PRATIQUE INTENTIONNELLES Rédaction Louis Langelier (KLMNOP) Contribution spéciale Etienne Wenger, Nancy White, John D. Smith et Kim Rowe pour la rédaction du chapitre 5 Conseiller scientifique Réal Jacob (HEC Montréal) Comité directeur Andrée Dupéré (Hydro-Québec) Pascal Beaudin (Secrétariat du Conseil du trésor) Normand Gendron (Xerox Canada) Direction de projet Marcel Gilbert, directeur développement de projet