Chapitre 7 Au Bonheur Des Dames

gradation des termes qui désignent le dehors : « tous, le dehors, les méchants du dehors, les salauds, ils mordent »), termes de plus en plus enfantins et familiers jusqu’à la métaphore de l’animalité. Le bonheur se traduit par une métaphore de la transgression : « quel étrange petit bonheur, doux comme un péché ou une boisson clandestine » qui ne peut se comprendre qu’en référence à la fin du texte (« sujet interdit dans la nuit ») et à la culpabilité que révèle l’ensemble du Livre de ma mère :

Au bonheur des dames Émile Zola Publication: 1883 Source : Livres & Ebooks Chapitre 1 Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l’avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus, au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans

1883 : Au bonheur des dames 1884 : Naïs Micoulin et la joie de vivre 1885 : Germinal 1886 : L’œuvre 1887 : La terre 1888 : Le rêve 1890 : La bête humaine 1891 : L’argent 1892 : la Débâcle 1893 : Docteur Pascal, dernier volume des Rougons Macquart 1894 : Lourdes 1896 : Rome 1898 : Paris 1899 : Fécondité 1900 : Travail 1901 : La vérité en marche 1903 : Publication posthume de vérité L’ŒUVRE GERMINAL est un roman de 503 pages constitué de 7 parties formées chacune de 5 à 7 chapitres

réalisme épique d'Emile Zola   1- Les premiers principes   2- Le projet des "Rougon-Macquart"   3- La construction des "Rougon-Macquart"   4- L'"Histoire naturelle d'une famille"   5- La peinture d'un âge social   6- Le succès de "L'Assommoir"    7- La doctrine naturaliste   8- "L'Assommoir ", oeuvre de vérité   9- La genèse de "Germinal" et la méthode du romancier 10- La structure de "Germinal" 11- L'univers de "Germinal" 12- Le réel et les mythes 13- Du naturalisme au messianisme   Les

Zadig ou la Destinée est un roman[->0] mais aussi un conte philosophique[->1] de Voltaire[->2], publié pour la première fois en 1747[->3] sous le nom de Memnon. Allongé de quelques chapitres, il fut publié une nouvelle fois en 1748[->4] sous son titre actuel. D’après Longchamp, secrétaire de Voltaire, c’est au cours des soirées mondaines données à Sceaux[->5], chez la duchesse du Maine[->6], que l’idée d’écrire des contes inspire à Voltaire ce petit roman, qualifié aussi de conte philosophique,

Le rouge et le noir Stendhal Julien Sorel : 1. Le paysan : Au début du Roman (chapitre 4) nous découvrons Julien Sorel, un jeune homme de dix-huit ans. ‘’Au lieu de surveiller attentivement l’action de tout le mécanisme, Julien lisait. Rien n’était plus antipathique au vieux Sorel ; il eut peut-être pardonné à Julien sa taille mince, peu propre aux travaux de force, et si différente de celle de ses aînés ; mais cette manie de lecture lui était odieuse, il ne savait pas lire lui-même

Dubocage : maître de l’étude dans laquelle travaille Léon à Rouen. *Maître Hareng : huissier venant établir le procès-verbal de la saisie au III, 7 *L’Aveugle : vagabond sur la route de Bois-Guillaume. Véritable bataille avec Homais à la fin du roman. Trois Parties I. = 9 chap. II. = 15 chap. III. = 11 chap. Première Partie (9 chap.) Rq : dès les premiers chapitres, subtilité de l’écriture de Flaubert fondée sur l’ironie par le jeu de la distance et de la dérision. Chap. 1 : -Arrivée de Charles Bovary

LIVRE PREMIER Chapitre 1 : Description de la petite ville de Verrières. Portrait du maire, M. de Rênal, qui pour agrandir ses jardins, a dû négocier avec le propriétaire de la scierie : M. Sorel, père de Julien. Tyrannie de l’opinion à Verrières. Chapitre 2 :La déambulation des Rênal sur la promenade de Verrières enclenche une rêverie poétique de l’auteur. Dans cette ville, l’utilité et l’argent règnent en maîtres. Chapitre 3 :Pour soutenir son rang, M. de Rênal songe à engager Julien Sorel comme

hommes peuvent tromper leurs femmes, celles-ci doivent rester vertueuses. Et d’après Madame de Châtelet, dans son livre « Discours sur le bonheur », la seule façon pour une femme d’être heureuse est à travers les études, le mérite. Par ailleurs, elle critique un système qui pousse plus facilement les hommes à aller vers le haut que les femmes. Néanmoins, certaines dames de l’époque, par exemple la marquise de Lambert tiennent des salons qui permettent notamment aux idéaux des Lumières de se répandre.

.. Ici, plus à droite, voilà la Madeleine… Un beau quartier où il y a beaucoup à faire… Ah ! cette fois, tout va brûler ! Vois-tu ?... On dirait que le quartier bout dans l’alambic de quelque chimiste. » […] Émile Zola, La Curée, chapitre II (extrait) ÉTUDE ANALYTIQUE Introduction Après la grande entreprise réaliste qu’est La Condition humaine de Balzac (désignant une œuvre comme un modèle fictif grâce auquel le romancier pénètre les mécanismes et les dévoile), Zola se propose