Chapitre 7 Du Souverain Contrat Social

Chapitre 4 Première partie COMPRENDRE LA DEMOCRATIE I DEFINIR LA DEMOCRATIE A] Les principes démocratiques Docs 1, 2, 3, 4 p. 55 B] Démocratie et totalitarisme 1. Définition docs 7, 8, 11 p. 59 2. Comparaison de 2 systèmes (poly) II ETUDIER LES FONDEMENTS DE LA DEMOCRATIE A] Le peuple, acteur politique 1. La souveraineté populaire docs 15, 16, 17 p. 63 2. Le contrat social doc 13 p. 61 B] Une fragilisation de la démocratie ? 1.

Chapitre I qu’est-ce qu’une théorie politique ? L’articulation science/ philosophie/ politique. Qu’est qu’on entend par théorie ? A quel moment on a fixé la signification fondamentale du mot théorie ? Dans l’Antiquité. Platon et Aristote. La racine théorique et étymologique de théorie c’est la vision théoricienne grec c’est la vue la vision. Référence à la vue ou à la vision, c’est voir quelque chose. L’allégorie de la caverne, de Platon. La plupart des hommes se trouverait dans la situation

Sujet : Le peuple peut-il être souverain ? Le « peuple » est l’invité permanent de tous les discours et comme tel l’objet de toutes les injonctions paradoxales et contradictoires. En effet, le « peuple » est invoqué pour légitimer des décisions et des actions, pour déprécier des pratiques et porter des jugements hâtifs, etc. Bref, le « peuple » est un objet de discours si omniprésent que la saturation de son emploi et la multiplicité des revendications formulées par ses porte-paroles consacrés

Émile DURKHEIM (1918) « Le « CONTRAT SOCIAL » de Rousseau » Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet

Du contrat social Ou principes de droit politique Par Jean-Jacques Rousseau Citoyen de Genève (Ed. 1762, orthographe modernisée) Table des matières AVERTISSEMENT....................................................................5 LIVRE PREMIER......................................................................6 Chapitre I : Sujet de ce premier Livre ..........................................6 Chapitre II : Des premières sociétés ............................................ 7 Chapitre

Le critère du pouvoir légitime La tâche principale du souverain d’après Rousseau est de décider des règles sous lesquelles il veut vivre, c’est-à-dire de voter les lois14. Comment la mener à bien ? Tout citoyen qui fait partie du souverain doit se renseigner sur le critère qui lui permet d’accepter ou de refuser une loi. C’est le sens de la question liminaire de Rousseau : y a-t-il dans l’ordre civil une « règle d’administration légitime et sûre » sur laquelle on puisse s’appuyer pour voter

l’être comme le signe de son indétermination mais comme une illusion : réification de l’ignorance par l’imagination. Si je ne peux prévoir c’est que c’est imprévisible, ça veut dire que l’être est indéterminé, ou qu’il est conduit selon la volonté souveraine et imprévisible de dieu. En réalité, le hasard provient du fait que l’homme ne peut penser que selon sa puissance propre en tant que cette puissance est déterminée comme toute individualité naturelle. L’expérience réelle des événements est prise

Théorie générale de la démocratie. TITRE PREMIER/ LA PARTICIPATION DU CITOYEN AU POUVOIR. Quel est l'origine de ce pouvoir d’état souverain ? Cette question c'est aussi discerner qu'est ce qui va légitimer le pouvoir d'état. S'agissant de l'identification de la source d'identité, deux explications ont été mise en place dans différents systèmes politiques : on aura le modèle anglais et le modèle français. Modèle anglais : Dès la fin du 17e, après la révolution de 1688, appairait

sur l’histoire. Une histoire entre coupé de doctrines qui ont établi différentes visions de la souveraineté où le détenteur du pouvoir change selon le régime. En effet, dictée par une essence divine dans ses premiers pas aujourd’hui l’instance souveraine ne tire sa légitimité que d’elle-même. D’ailleurs le père fondateur de la souveraineté, Jean Bodin, écrit dans son œuvre Les six livres de la République « Si la souveraineté gît en un seul prince alors la forme de gouvernement est monarchique

le droit de « récupérer sur le délinquant de quoi réparer de manière acceptable le préjudice subi (sect. 10). « Chacun est habilité à punir ceux qui enfreignent... le droit de la nature... de peines suffisantes pour prévenir les infractions » (sect. 7); chaque personne a « uniquement le pouvoir d'...infliger [au criminel] autant que le sang-froid, la raison et la conscience l'exigent, un mal proportionnel à l'infraction, c'est-à-dire suffisant pour assurer la réparation et la prévention » (sect. 8)