Charles III de Naples

Charles Quint est parvenu à rassembler sous une même couronne une partie de l’Europe grâce aux différents territoires dont il était l’héritier. Il est le plus grand empereur que son temps ait connu. Cependant, ses ambitions se heurtent à de nombreuses crises comme l’opposition de François Ier allié aux Ottomans, la lutte contre les Turcs et les protestants ou encore les révoltes aux Pays-Bas. Le 25 octobre 1555, affaiblit par ses différents voyages sur tous ses territoires et par la maladie, il décide

corps de Louis XVIII (mais démissionne après Waterloo). 1816 : rencontre avec Julie Charles, femme mariée atteinte de tuberculose. Un amour naît entre eux, mais Julie meurt en 1818 : le poète est profondément marqué par cette perte. 1820 : Les Méditations, ouvrage inspiré de sa relation avec Julie Charles. Ce dernier le propulse socialement : il peut épouser Mar-Ann Birch et devient attaché d'ambassade à Naples. Puis publication de : Les nouvelles méditations, La mort de Socrate, Le dernier chant

depuis 1806 3 – Caroline Bonaparte épouse du maréchal Murat, future reine de Naples (1808) 4 - Pauline (future princesse Borghèse) et Elisa Bonaparte (future grande duchesse de Toscane) 5 – Hortense de Beauharnais, fille de l’impératrice et épouse de Louis, reine de Hollande 6 – Julie Clary, épouse de Joseph ; future reine d’Espagne (1808) 7 – Napoléon Charles Louis, fils d’Hortense et de Louis, futur Napoléon III 8 – Eugène de Beauharnais, fils de l’impératrice et vice roi du royaume d’Italie

artistiques dont elle regorge. Stendhal a d’ailleurs évoqué cette Florence mythique : « J’étais arrivé à ce point d’émotion où se rencontrent les sensations célestes données par les Beaux-Arts et les sentiments passionnés », déclare-t-il dans Rome, Naples, et Florence.  Il faut souligner que l’importance des arts est indissociable de la ville pour des raisons historiques et culturelles : Florence a été le berceau d’un mécénat sans précédent, les artistes étant protégés et encouragés par la famille

La France au temps 1494-1655 I) La France des Valois S’arrête après Henri III. A) La copiosité du populaire Le philosophe du XVIe Jean Bodin, « Il n’y a de richesses que d’hommes », quand il n’y a que l’hu et l’animal comme énergie. Donc + de travailleurs ; + d’impôts à prélever ; + de soldats. La France est donc la mieux dotée en €p, avec 15 M d’habitants. Au XVIe, la Fr retrouve le niveau qu’elle avait au XIIIe, après les grandes maladies (la peste noire) au XIVe ; c’est donc une

|composite | II.3. Le baroque en architecture Vers 1565, l’église catholique décide, à la fin du Concile de Trente (importante réforme de l’église provoquée par Paul III à la demande de Charles Quint), d’instaurer un nouvel art dans ses églises, dans le cadre de la Contre Reforme (ensemble des mesures prises par l'Eglise catholique pour réformer les abus dénoncés par la Réforme protestante). Cette décision marque le début

carbonari, veut une Italie unie et républicaine par le biais de la Révolution ou de la guerre pour renvoyer les Autrichiens. Suite à la révolution en Espagne en 1820, les officiers carboneri sous la direction du général Pepe, imposent une Constitution à Naples. La révolution s’étend à Turin mais la contre attaque autrichienne en 1821 écrase Pepe. De nombreux membres des carboneri furent condamnés. Puis suite aux révolutions française et belge de juillet 1830, les monarchies de droit divin cèdent leur

héréditaire de la mairie. Charles Martel consista surtout à rétablir l'unité du royaume franc, il avait le titre de maire du Palais (réel chef politique). Il meurt en 741 ses deux fils Carloman et Pépin lui succédèrent. Carloman ayant abdiqué en 747, Pépin se trouvait seul maître du royaume et préparait son avènement à la royauté. Les carolingiens s’emparent de la royauté en 751 à la suite d’un coup d’état qui permit à Pépin Le Bref de renverser le dernier mérovingiens Childéric III. Il meurt en 768

militaire avec le château qui domine la colline du même nom, Nice est parfaitement intégrée à la Provence. La ville jouit d’une période de paix jusqu’à la guerre civile (1382-1388) entre les partisans de Louis d’Anjou et ceux de Charles de Duras. Ils se disputent le royaume de Naples et la Provence, héritage de la fameuse reine Jeanne. Les principales familles niçoises et en particulier les Grimaldi de Beuil, sont adversaires des Anjou, qui cependant l’emportent dans le reste de la Provence. Les Duras ne

Vénitiens proclament la République. En Piémont, les nationalistes réclament une guerre de libération pour chasser les Autrichiens. Charles-Albert de Savoie , roi de Sardaigne , libéral, mobilise son armée et entre en Lombardie où il est accueilli en libérateur. Mais les Piémontais sont écrasés par les Autrichiens et le Piémont doit renoncer à la Lombardie. Charles Albert abdique en faveur de son fil Victor Emmanuel II. B. Le Piémont- Sardaigne pivot de l’unité : Le Royaume de Piémont-Sardaigne