Chasse à l'enfant

La chasse à la baleine et ses conséquences sur le monde marin Introduction : Afin de préserver le plus grand mammifère marin menacé d'extinction, la chasse à la baleine est interdite depuis 1986. Pourtant certains pays comme le Japon, l'Islande et la Norvège continuent de chasser les baleines. Certaines espèces ont quasiment disparu et un grand nombre de baleines meurent encore chaque année dans d'atroces souffrances. Nous allons chercher à comprendre l'action de l'homme, son but et

de fourrures et de traineaux à chiens, les personnages devront, comme le titre de la nouvelle l'indique, passer l'hiver emprisonnés dans les glaces. « Jean Cornbutte avait amassé quelque bien dans son état. Après avoir longtemps commandé les navires d’un riche armateur du Havre, il se fixa dans sa ville natale, où il fit construire, pour son propre compte, le brick La Jeune-Hardie. Plusieurs voyages dans le Nord réussirent, et le navire trouva toujours à vendre à bon prix ses chargements de bois

La chasse à l'enfant, par Jacques Prévert Des gamins. Une colonie pénitentiaire. Une révolte et une Chasse à l'enfant. Août 1934, une mutinerie éclate au sein de la colonie pénitentiaire pour mineurs « délinquants » de Belle-Ile-en-Mer. Jacques Prévert écrit alors le poème « la chasse à l'enfant » pour dénoncer ce qui sera tristement nommé « les bagnes d'enfants ».   Belle-Ile-en Mer dans le Morbihan est tristement connu pour son bagne d'enfants. 1934 marque au fer rouge la petite île lorsque

2/2 comprend le titre du texte dont est issu le passage présenté : « Chasse à l’enfant ». « Jacques PREVERT, Paroles, 1934 » nous donne des renseignements concernant l’ouvrage dont est extrait ce texte. Il s’agit de Paroles, écrit par Jacques Prévert et paru en 1934. Le document 1.1/2 représente la préface du texte « Chasse à l’enfant ». Une première partie présente le fait divers dont le texte « Chasse à l’enfant » s’inspire : En août 1934, les jeunes pensionnaires de la maison de

ayant les traits d’un enfant. Le poète joue ici un rôle de spectateur, et nous fait part de son expérience au sein d’un bois. Ce bois, véritable monde à part créé par le verbe, est dépeint au moyen d’une succession d’éléments lui étant inhérents. Déjà, il a été fait mention d’un narrateur ayant les traits d’un enfant ; cette affirmation doit dès à présent être étayée, car de son admission découle un rapport assurément plus pertinent avec le texte. Le titre, Enfance III, est évidemment

paratexte autour du poème « Chasse à l’enfant » nous apprend que ce texte, dédié à une certaine Marianne Oswald, amie de l’auteur comme l’indique la note, a été publié dans le recueil Paroles écrit par Jacques Prévert et édité en 1934. La présentation du poème nous donne plus d’informations sur Jacques Prévert, nous le présentant comme l’un des auteurs les plus populaires de sa génération grâce à ses textes défendant les opprimés. Le paratexte nous décrit d’ailleurs un évènement qui a inspiré Prévert : la

la disposition du texte nous amène à cette conclusion. De plus, le titre de la source Paroles suivi d’un nom d’éditeur nous apprend qu’il s’agit d’une oeuvre complète de Jacques Prévert. L’oeuvre complète est un recueil de poésies du même auteur, et ce poème « Chasse à l’enfant » a été écrit en 1934, soit durant la période d’entre deux guerres. Nous pouvons aussi apercevoir en haut à gauche le nom d’une femme (Marianne Oswald), à qui Jacques Prévert lui a dédié ce poème. L’astérix nous informe

texte il n y a aucun élément autour du texte donc il n y a pas de para texte. 2/2 Le para texte de ce document nous permet d’accompagner la compréhension du vraisemblable poème. Ecrit en 1934 il est extrait du recueil Paroles de Jacques Prévert son auteur. Ce dernier était un poète français né en 1900 et décédé en en 1977, pour son langage familier et ses jeux de mots. Le titre, « Chasse à l’enfant » peut faire référence à un phénomène social qui touche directement l’enfant et qui pourrait

du personnage de Marcel sont étroitement liés à l’espace où ils se déroulent. Par rapport à l’espace dans lequel il vit, on remarque que Marcel a l’expérience de deux enfances différentes ; on parle d’une enfance citadine et d’une autre campagnarde. Bien que distinctes, ces parties de l’enfance trouvent l’unité dans la personne du personnage qui par son innocence, par son naïveté et sa curiosité à l’égard du monde, donne du charme à la ville comme à la campagne. Les deux espaces définissent les deux

enfants a réussi à s'évader, Jacques Prévert en parle dans son poème. Dans le document 1 (2/2), on retrouve en bas de page le nom du poète, Jacques Prévert, l'ouvrage d'où est tiré le poème, Paroles et la date, 1934, qui est l'année de l'événement traité, la poursuite de l'enfant évadé. Le poème a donc était écrit sur le vif. On observe également que le poème est dédié à une amie de Prévert, Marianne Oswald. Le titre, aussi, nous donne quelques informations sur l'événement puis, Chasse à l'enfant, est