Chasteté

d'Aphrodite. C'est le dieu de la guerre. Ses attributs sont le casque, les armes et les armures Artmis (déesse): Son symbole est un arc avec des flèches. C'est la déesse de la chasse. C'est la Jumelle d'Apollon. Ses attributs sont la Chasse, la chasteté et la nature sauvage. Asclépios ou Asklepios (dieu): Son symbole est un un baton ailé entouré de deux serpents. C'est le dieu de la médecine. C'est le fils d'Apollon. Ses attributs sont le Serpent et le Baton. Athéna (déesse): Son symbole est

SONNET XIX Louise Labé lecture analytique (Plusieurs traductions possible du vieux français au français courant ..) Scène classique, paisible, tableau de chasse Déesse nature forêt et chasteté, chp lex nature Diane étant en l'épaisseur d'un bois, A Après avoir mainte bête assénée, B Prenait le frais, de Nymphes couronnées. B J'allais rêvant, comme fais maintes fois, A rêvant = errant Sans y penser, ELLIPSE quand j'ouïs une voix A Qui m'appela, disant : Nymphe étonnée, B hébétée Que ne t'es-tu

trouve à travers cela « l’apologie paradoxale d’une audace qui doit aller jusqu’à contraindre par la force l’objet du désir amoureux ». L’honneur des femmes est totalement différent : il a pour fondement la douceur, la patience et la chasteté, cf. N5. La chasteté correspond en fait à la hardiesse pour les hommes. La vertu est commune à toutes les femmes : la grande dame, la bourgeoise , la plus pauvre (cf. N5). Les hommes ont le droit de se venger, imposent des châtiment cruels à leur femme ; mais

de nombreuses doctrines se côtoieront, la religion chrétienne ne se manifestant pas à-travers une morale unique5, et que les domaines relatifs à la magie et à l’astrologie ne manqueront pas d’adeptes6. Les questions concernant la sexualité et la chasteté, dont nous parlerons plus tard, prennent, quant à elles, une importance non négligeable7. 1.2 Le monachisme féminin et la condition féminine dans l’Antiquité tardive et au Moyen Âge Très peu d’articles abordent la question du monachisme dans

qu'on y recevrait sortiraient quand bon leur semblerait ", la description d'un univers idéal, contrairement à l'église qui a des règles strictes comme celle dénoncer par Rabelais dans cet extrait : "les religieux faisaient trois voeux, à savoir de chasteté, de pauvreté et d'obéissance " mais il oppose ses règle à la sienne, donc celle de Thélème " on pourrait être marié, en tout bien tout honneur, que tous seraient riches et vivraient en liberté." Pour conclure ce texte répond bien à la définition

Actéon surprend un jour, au cours d’une chasse, Artémis prenant son bain. Furieuse, elle le transforme en cerf. Impuissant, Actéon meurt déchiré par ses propres chiens qui ne le reconnaissent pas Artémis exigeait de ses compagnes une parfaite chasteté pareille à celle qu'elle pratiquait elle-même. Zeus, ayant séduit l'une d'elles, Callisto, fille de Lycaon, Artémis s'aperçut qu'elle était enceinte. Elle la changea alors en ours et appela sa meute. Callisto aurait été certainement tuée par ses

l’homme possède en lui dès sa naissance et qu’il dépense selon sa fantaisie. Elle peut se dissiper et se consommer par les excès (débauche, travail, maladies, passion…) ou se rassembler et s’économiser (par le silence, la solitude, la sobriété, la chasteté…). Elle ne peut pas être augmentée mais elle peut être restaurée. Certains sont avares de leur énergie comme l’antiquaire, d’autres la dépensent sans ménagement, comme les débauchés ou les penseurs et les artistes qui s’épuisent à la recherche de

dans lequel les Thélémites vivent est également parfaite, « Une magnifique fontaine de bel albâtre (...) ouverture du corps. » (p.415). Rabelais fait une allégorie avec le bel albâtre qui représente un oiseau blanc, c'est un signe de pureté et de chasteté. Cependant c'est une contradiction à cette représentation car les Thélémites sont libres de se marier et de procréer. Il joue beaucoup avec la symbolique des chiffres « les trois Grâces, (...), merveilleux bains à trois étages. » (p.415) Le chiffre

intervient de manière brutale, dans les trois premiers vers de la tirade, introduit par un alexandrin brisé qui marque l’urgence, renforcée par l’impératif.  Chiasme des adjectifs « chaste et respectueux »/ « Profane, incestueux » (v 2-3). La chasteté, rejet de l’amour, s’oppose en effet directement à l’idée d’inceste, d’amour interdit, comme le terme « respectueux », qui renvoie au sacré, s’oppose à profane, symbole d’impureté.  Reconnaissance de la faute : Hippolyte innocenté, Phèdre coupable

hommes et des femmes : voués à la luxure C/ Une discours anti-religieux : le couvent comme anti-modèle Cet extrait de la fin de l’Acte II est donc un certain point de vue délivré sur l’amour par Perdican, et au-delà par Musset. Du libertinage à la chasteté caricaturale des nonnes, ce discours brasse de multiples potentialités de l’amour, tel qu’on le conçoit en ce début du XIX°s. Mais ce discours reste également un discours adressé à un autre personnage, Camille : comment se fait dans cet extrait la