Chiisme

qui a donnné son nom au cimetière), ennemis des jansénistes. L’invocation du «grand Hali» (généralement orthographié «Ali»), gendre de Mahomet qui fut assassiné et dont le retour est attendu par les chiites, est tout à fait appropriée puisque le chiisme était la religion de la Perse et est encore la religion officielle de l’Iran actuel. Montesquieu, ou plutôt Rica, plus loin (lettre 29) ira jusqu’à traiter le pape de «vieille idole qu’on encense par habitude». Il est donc très détaché de la religion

les ruines de l’empire romain. Europe occidentale, Romain d’orient et la rive sud de la méditerranée. A – L’Europe de la chrétienté. L’empire d’occident = catholique romains autour du pape. Les peuples orthodoxes et byzantins en seront séparés. Le chiisme (séparation des deux églises) d’orient en 1054 permet de créer l’église orthodoxe. 1 – Le flux et le reflux des relations internationales. Fin de l’antiquité et début du moyen – âge. Période sombre, brutale, on l’on revient à la violence. Choc des

et paix - Les révolutions de couleur Mondes arabes et musulmans Organisations politiques et économiques - L’Afrique du Nord - Le Proche Orient - L’Asie de l’Ouest - L’Asie du Sud Ouest Particularisme et Union arabe - Arabité et islam - Iranité et chiisme - Les conflits identitaires et politiques - Les 3 guerres du Golfe L’Afrique Organisations politiques et économiques - L’Afrique de l’est - L’Afrique de l’ouest - L’Afrique arabo-africaine - L’Afrique du cône sud L’Afrique déchirée - Ingérence et

noirs américains | | | | | | |Chiisme |Écoles | | | |Usulisme dit Jafarisme

Mahdia pour capitales41. En 1046, alors vassaux des Fatimides, les Zirides rompent totalement leurs relations : en reconnaissant les Abbassides de Bagdad comme califes légitimes, les Zirides montrent ouvertement aux Fatimides qu'ils abandonnent le chiisme. Pour réprimer les Zirides, les Fatimides envoient en 1052 les Hilaliens qui détruisent Kairouan en 1057. Mahdia devient alors la nouvelle capitale de l'empire. Les Hilaliens dévastent le pays berbère, ce qui repousse des Zirides en al-Andalus

constitution civile du clergé. Ceux qui refusèrent furent appelés les prêtres réfractaires. Les autres les prêtres constitutionnels. Seulement la moitié des prêtres ont prêté serment et seulement 7 évêques sur les 130 du Royaume. La un véritable chiisme se créa lors l’église de la France, deux églises coexistent alors qu’elles enseignent les mêmes dogmes. Finalement le pape condamna ouvertement en 1791 cette constitution civile du clergé. Il ne fera pas d’excommunication (sortie) tous ceux dont

Aujourd’hui très minoritaire, 1% des musulmans, on le trouve essentiellement dans le sultanat d’Oman, le Mzab en Algérie, dans l’île de Djerba en Tunisie. Ils vivent avec discrétion en pratiquant la kitmân, c’est à dire la dissimulation. Le chiisme concerne 15 à 20 % des musulmans. Il n’accepte d’imam que parmi la descendance du Prophète par sa fille Fatima et son gendre Ali. Il ne reconnaît pas la sunna. Parmi les shi’ites on distingue les imâmites, majoritaires en Iran : Pour

3e siècle de l’Egide il a été interdit par le califat abbasside de créer des écoles nouvelles. La législation musulmane s’est ainsi cristallisée. Aujourd’hui certain Oulémas demande la réouverture des portes de l’effort étant précisé que dans le chiisme ces portes sont restées ouverte. Certain optimiste qu’il y a peut être dans l’ijtihad un moyen d’orienter l’Islam vers la modernité. C- Les sources complémentaires 1- la coutume Ce n’est pas à proprement parler du Fiq, mais la coutume

Invasion hilalienne (Xe-XIe siècle) L'empire arabo-musulman était à cette époque dominait pas les Fatimides sous le règne d'Abū Taṣīm. Ils dominaient également les dynasties berbères locales comme les Zirides, mais se détache d'eux en abandonnant le chiisme et en se proclamant indépendant. Le vizir du calife lui donne l'idée d'envoyé les incontrôlables bédouins qu'il avait autrefois repoussé en Haute-Égypte avec leurs cousins. Il pris l'idée en compte et envoya les Banu Hilal et Sulaym afin de réprimé

(incluant les Vieux-croyants), dont 15 % se disent pratiquants. Article détaillé : Église orthodoxe russe. Musulmans : 7,1 % : entre 10 et 12 millions de musulmans (principalement sunnites, mais aussi avec une forte communauté soufie proche du chiisme au Daguestan). Article détaillé : Islam en Russie. Chrétiens protestants : environ 1,5 % (principalement luthériens et baptistes). Bouddhistes : 0,07 % (essentiellement de tradition tibétaine). Juifs : 0,1 % (incluant les orthodoxes et hassidiques)