Chiisme

peu, ils sont les premier opposants aux sunnites, ils sont partisans d’un califat électif confié au plus digne et sont par ailleurs fondamentalistes et rigoristes, ils sont en quelque sorte comme les puritains de l’Islam. 9. Gnose D’après le chiisme, Dieu révèle aux prophètes et aux Imams les significations secrètes du Coran et de la Sunna. Autrement dit grâce aux Imams les fidèles sont initiés au mystère divin. C’est dire d’une autre façon que la révélation n’est pas achevé et qu’elle s’actualise

religieuse sont devant un dilemme : comment invoquer un asch’arisme proche d’une évolution hanbalite mais nécessaire pour accentuer le particularisme de l’Islam marocain et le rendre capable de se protéger contre l’islam d’orient et particulièrement le chiisme, sans renoncer en même temps au malikisme historique amazg_ifié La solution n’est pas évidente même si le discours est clair le choix d’un rite dont l’interprétation part du vécu de la société marocaine et privilégie al maqassid sur al oussoul, le

importante avec la création du mouvement suleymaniste, implanté à l’étranger depuis 1974, et du mouvement Kaplan, regroupant des ultra-orthodoxes sunnites pro-iraniens, également implanté en Europe. L’alévisme qui est lointainement apparenté au chiisme regroupe un quart de la population turque. Cette école n’est pas encore officiellement reconnue par le gouvernement turc mais est actuellement dans une phase de légitimation par les autorités. De toutes les communautés musulmanes installées en

l‘obtient par la grâce de Dieu, elle est indépendante des œuvres]. PARAGRAPHE 2 : LA LEGISLATION CANONIQUE. I°/ Les décrets des conciles. Conciles = réunions d’évêques. Les +imp. = conciles œcuménique. 1er de ces conciles : NICEE, 325. Ap le Chiisme d’orient en 1054 [sep° eglise orthodoxe et église catho], tous les conciles œcuméniques se trouvent en occident. L’orient fait bande à part et ne reconnait pas l’autorité du Pape. Il y aura une 20aine de conciles œcuméniques. II°/ Les décrétales

Hammadides reconnaissent comme califes légitimes les Abbassides sunnites de Bagdad, ils fondent ainsi la dynastie des Hammadides. Les Zirides reconnaîtront, à leur tour, en 1046, les califes Abbassides, montrant ouvertement aux Fatimides leur abandon du chiisme. Alors que les Ifrenides et les Maghraouides gouverneront dans l'Ouest algérien et sur une partie du sud d'Algérie et au Maroc actuel. Ces derniers rejettent l'autorité des Fatimides et des Omeyyades à la fois, selon l'historien Ibn Khaldoun. Minaret

poèmes directement en persan. Les relations entre les deux pays étaient fusionnelles (« persanisation » culturelle des souverains turcs, turquisation politique de l’espace iranien), si ce n’est sur le plan religieux où l’Empire iranien a adopté le chiisme tandis que l’Empire ottoman choisissait le sunnisme orthodoxe. De cette fusion est né l’Azerbaïdjan qui parle une langue turque (l’azéri est au turc ce que le québécois est au français), mais qui appartient à la sphère historique iranienne et lui

(en médecine, en astronomie, en architecture, en art, en mathématiques – les chiffres arabes vont bientôt supplanter les chiffres romains). Quelques caractéristiques de la religion Les deux branches principales de l’Islam sont le sunnisme et chiisme. A la mort de Mohammed, les musulmans ne furent pas tous d’accord au sujet de sa succession et pensèrent qu’il fallait désigner le plus digne d’entre eux pour le remplacer. Abu Bakr, fidèle compagnon de Mohammed, prit sa suite. Les sunnites se réclament

les chrétiens de l’occident qui dépendent du pape et de l’autre coté les chrétiens de l’empire d’orient dépendant du patriarche : l’évêque de Constantinople. Après des excommunications réciproques, finalement, la rupture est consommée au 11e par le chiisme de 1054 qui sépare désormais la religion catholique sous l’autorité du pape de la religion orthodoxe dirigée par le patriarche. La fracture va se renforcer au cours du M.A, la plupart des pays de l’Est se convertissent à la religion orthodoxe et non

vassaux des Fatimides, les Zirides rompent totalement leurs relations ; en reconnaissant les Abbassides de Bagdad comme califes légitimes, les Zirides Extansion maximale de la dynastie Ziride montrent ouvertement aux Fatimides qu'ils abandonnent le chiisme. Pour réprimer les Zirides, les Fatimides envoient en 1052 les Hilaliens qui détruisent Kairouan en 1057. Mahdia devient alors la nouvelle capitale de l'empire. Les Hilaliens dévastaient le pays berbère, ce qui poussa des Zirides en al-Andalus qui

en Irak la situation empire. Dans l'atroce litanie des attentats quotidiens, les suicidaires d'Al- Qaeda et les séides de Saddam Hussein sont désormais relayés par une triple guerre civile larvée : celle que se livrent, entre elles, les milices du chiisme majoritaire et de la dissidence chiite de Moqtada al-Sadr. Et celle que l'une et l'autre livrent aux milices sunnites. A l'écart de ces fureurs, le Nord kurde travaille, commerce et grandit en paix. Mais s'il lui arrive de rêver en secret à une