Chocs Asymetrique

: Statistiques financières internationales Intégration commerciale Si le commerce est intégré et les structures économiques sont similaires dans un groupe de pays, ces pays sont moins susceptibles de faire face à des chocs asymétriques - ou à des effets asymétriques de chocs similaires - et leurs cycles commerciaux ont davantage de chance d’être synchronisés. Dans ces conditions, une politique monétaire et de taux de change commune est mieux à même de servir les intérêts de tous les pays dans

Le change flexible bouge en fonction des mouvements de capitaux et des mouvements de biens et services. En particulier, le change flexible réagit aux chocs affectant l'économie réelle et permet l'absorption de ces chocs. Description de l'ajustement: Deux pays A et B qui échangent beaucoup entre eux. Hypothèse: occurrence d'un choc asymétrique. C'est un choc d'offre et de demande qui n'affecte qu'un pays ou différemment de l'autre. La demande des produits A s'effondre et donc la demande des produits

et des exportations. 24) La croissance effective évolue de manière irrégulière en raison de chocs de la demande qui peuvent frapper une économie. Ces évènements peuvent être stimulants pour la demande globale, ce qui peut générer une phase d’expansion, ou bien peuvent ralentir la hausse de la demande, voire la faire diminuer. En ce cas l’économie peut être entraînée dans une récession. Les chocs de la demande affectent particulièrement l’activité économique parce que l’investissement surréagit

politiques monétaires au niveau national, en ce sens qu’une seule et unique politique monétaire est à suivre : celle de la BCE. L’euro est aujourd’hui une monnaie commune à des économies qui ne convergent plus, d’où un risque accru de chocs asymétriques, c’est-à-dire de chocs économiques affectant les pays différemment en raison de différences entre leurs structures. Conclusion : En somme, tous les objectifs liés à l’adoption d’une monnaie unique n’ont pas été atteints depuis l’introduction de l’euro

des zones sous-développés, ces transferts contribuent à l'affrontement des chocs régionaux asymétriques. À partir du moment où la monnaie unique est une réalité, les États membres ne peuvent plus modifier les taux de change et d'intérêt, et ne disposent que d'une flexibilité des salaires, d'une mobilité significative de l'emploi où de transferts pour permettre aux économies régionales susceptibles d'être confrontées à des chocs de s'ajuster et de gérer les conséquences sur les revenus et la croissance

réalisé en collaboration avec la DIrection des MAtières premières et des Hydrocarbures (DIMAH) Le poids de l’énergie dans l’économie des pays industrialisés, et leur sensibilité aux variations de prix, est devenu flagrant lors des chocs pétroliers de 1973 et 1979. Ces “chocs d’offre” ont surpris la “synthèse néoclassique”, qui prévalait alors dans l’élaboration des modèles économiques et plus généralement de la politique économique. Les mécanismes mis en jeu par une augmentation des prix de l’énergie

importante des revenus provenant du système tarifaire pour les pays qui dépendent largement des recettes douanières. Puisqu’il y a lieu à une application d’un tarif externe commun. - Une perte de revenu provenant de la taxe d’inflation et le choc asymétrique dû à une différence, très large, des biens exportés par les pays membres et le fait que les prix mondiaux de différents produits ne varient pas ensemble à la fois. Les avantages de l’intégration monétaire. Les avantages de l’intégration monétaire

caractérisé par des taux de change flottants, les autorités monétaires des grands pays n'intervenant systématiquement que quand les parités étaient soumises à des pressions. On s'attendait à ce que cette souplesse aide les pays à s'adapter à des chocs asymétriques. Malheureusement, cette expérience des taux flottants à laquelle s'est livrée la communauté économique mondiale ne s'est pas révélée concluante. Les déséquilibres externes se sont accumulés malgré de considérables fluctuations des taux de change

un plus grand risque de chocs extérieurs; or, les pays pauvres sont moins bien armés que les autres pour faire face à ces difficultés. Tout ceci rend l'ouverture aux échanges relativement délicate pour les PED. Ces coûts d'ajustement sont l'un des principaux facteurs qui suscitent une résistance à la libéralisation des échanges et plus généralement à la mondialisation. Les conditions doivent ainsi être réunies pour permettre aux PED de faire face à ces coûts et ces chocs. En effet, " Ce n'est

inflation maîtrisée. A posteriori, les bons chiffres de l’Irlande, du R.U ou de l’Espagne montrent combien ces économies se sont révélées fragiles avec la crise de 2008. Doc 5: Très intéressant document pour les notions de chocs symétriques ( ensemble des pays euro) et chocs asymétriques (sur des pays en particulier). Pour le devoir, on peut s’en servir pour souligner que la BCE ne peut agir que sur la politique monétaire et pour l’ensemble des pays euro. Ce qui paradoxalement libère ces pays de la contrainte