Chrysippe

serein voire joyeux à l’ordre divin. Les stoïciens enseignent l’amor fati ou amour du destin.         Pour figurer le rapport de l’homme et du destin, les stoïciens utilisaient l’image d’un chien attaché sous une charrette. « Eux aussi Zénon et  Chrysippe, affirmaient que tout est destin avec l’exemple suivant. Quand un chien est attaché à une charrette, s’il veut la suivre, il est tiré et il la suit, faisant coïncider son acte spontané avec la nécessité ; mais s’il ne veut pas la suivre, il y sera

Le stoïcisme est une école philosophique de la Grèce antique, fondée par Zénon de Citium en 301 av. J.-C. C'est par la suite un courant philosophique hellénistique (grecque) qui a traversé les siècles, subi des transformations (notamment avec Chrysippe en Grèce et à Rome avec Cicéron, Sénèque, Épictète, Marc Aurèle) II-Histoire de la rhétorique Les Grecs, « inventeurs » de la Rhétorique : La rhétorique grecque est, directement ou indirectement par le biais de la rhétorique latine, à la base

jugement, contre la mort, contre la maladie, contre un rêve, contre une déception. Cette notion de la philosophie est familière à tous et elle suffit » (Alain, Eléments de philosophies). « Bien penser » relève ainsi, pour Epictète, d'un vieil adage que Chrysippe lui-même avait annoncé : « agir conformément à la nature ». Dès lors, si l'individu comprend sa position dans l'échelle des êtres, dans le Cosmos (réalité harmonique), alors il ne peut que vivre en vertu d'une loi de la Providence. L'homme ne saurait

naturels non-nécessaires comme le désir du beau ou le désir sexuel. Pour les Épicuriens, la conscience nous sert donc, si l'on sait comment faire et en pratiquant la philosophie, à atteindre le bonheur. Pour les Stoïciens comme Zénon de critium, Chrysippe, Epictète ou Marc-Aurèle, il faut, pour soigner son âme, faire une distinction fondamentale entre ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. D'après eux, la source du malheur des Hommes est de chercher à acquérir ce que l'on ne peut pas

césar en la ville d’Alésia […] combat. » « Salamine », « platées », « Mycale », « le roi Léonidas » ; ou bien lorsqu’il narre le combat que mena le « capitaine Ischclas » pour défendre le passage du Péloponnèse contre les Arcadiens ;il cite aussi «  Chrysippe et Zénon », qui étaient des stoïciens grecs. Montaigne fait aussi beaucoup d’allusions à des auteurs ayant appartenu à la civilisation gréco-romaine, comme Platon, qu’il évoque à de multiples reprises (« Platon introduit Solon… » ; « Toutes choses

(comme nous l'avons non seulement lu, mais vu de fraîche mémoire, non entre des ennemis anciens, mais entré des voisins et concitoyens, et, qui pis est, sous prétexte de piété et de religion), que de le rôtir et manger après qu'il est trépassé.       Chrysippe et Zénon, chefs de la secte stoïque ; ont bien pensé qu'il n'y avait aucun mal de se servir de notre charogne à quoi que ce fut pour notre besoin, et d'en tirer de la nourriture ; comme nos ancêtres, étant assiégés par César en la ville de Alésia

il est emmené en haut d’une montagne par des bergers pour être sacrifiés (Cf : pieds attachés=>œdipe= pieds enflés). Ayant pitié, les bergers vont « sauver » œdipe et il sera recueilli par Pélops et Mérops. Laïos avait agressé sexuellement Chrysippe, fils de Pélops, celui-ci va donc le condamner à la stérilité et/ ou la conception monstrueuse ; d’où Œdipe. Œdipe est alors condamné dès sa naissance :· Il est monstrueux· Il est voué à tuer sa mère et son pèrePerception donc tragique de ce point

œuvre d’art n’est pas la représentation d’une chose belle, mais la belle représentation d’une chose. C’est en admirant et en imitant les maîtres de l’art qu’on aura peut-être la chance d’en devenir un… Le temps ; « Seul le présent existe ». Chrysippe. Qu’est-ce que le temps ? Le temps est une évidence et un mystère à la fois. Tout le monde l’expérimente ; nul ne peut le saisir. S’il s’arrêtait un instant, tout s’arrêterait et il n’y aurait plus de temps. Selon Kant, le temps est la condition

au mythe d’Oedipe. Sources : CNRTL , Cairn.info ,Le Robert.12/ Le mythe des Labdacides :Le mythe des Labdacides est un mythe issu de la mythologie grecque. Le fatum est démarré par L’Até (erreur fatale) de Laïos (roi de Thèbes), l’enlèvement de Chrysippe. La femme de Laïos, Jocaste tombe enceinte, et, comme le veut la tradition, ils décident d’aller voir un oracle pour connaître l’avenir de leur enfant. L’oracle leur annonce que si Jocaste accouche d’un fils celui-ci sera destiné à tuer son père

que la faculté elle-même, le résultat de l’exercice de celle-ci dans la première enfance, jusqu’à “ l’âge de raison ” (7 ans). Une définition qui remonte peut-être à Zénon la présente comme “ un assemblage de certaines notions et prénotions ” (Chrysippe, SVF, II, 841), ou “ un ensemble cohérent (systema) de représentations d’un genre déterminé ” (Épictète, Entretiens, I, 20, 6). On pourrait dire, en termes modernes, que la raison est pour les Stoïciens constituée plutôt que constituante. Car