Chômage Approche Classique Et Keynésienne

soit consommé (Dépenses de consommation finale = DCF) soit épargné (épargne brut = EB). Il y a deux approches de la consommation : Approche micro économique. On suppose que la consommation est un acte individuel et que le consommateur est rationnel. Il va faire un choix de consommation en fonction du prix  théorie néo classique. L’Etat ne peut pas changer ce choix (car il est individuel). Approche macro économique. L’Etat peut influencer le niveau de consommation parce que justement le niveau de

de stratégie, de développement, d'orientation des entreprises 1/Les politiques économiques Les objectifs:Concept de base le « carré magique » KALDOR -Croissance économique (mesurée par le PIB) -l 'emploi(plein emploi)mesurée par le taux de chômage -stabilité des prix(mesurée par le taux d'inflation)qu'elle soit le plus bas possible -équilibre des échanges extérieurs (balance des paiement courants)mvt de capitaux a CT LT et MT En Europe,la France et le R Unis attirent les capitaux Les

Partie I : L’ANALYSE économique Chapitre I : L’économie classique Le courant de pensée dominant au 18ème siècle est le libéralisme. L’Europe occidentale connait des modifications mentales, techniques et institutionnelles. L’influence du libéralisme s’inscrit dans le courant philosophique de l’époque (exemple : naissance de la manufacture). Niveau mental -> individualisme Eco classique : Adam Smith, Ricardo Smith dit : chacun améliorerait son sort s’il y avait une meilleure organisation économique

et
de
lettres
(fréquentation
des
artistes
de
son
temps)
==
pensée
riche.
 
 
 Sa
pensée
 Mots
 clés
:
 Demande
 effective,
 taux
 de
 salaire
 réel
 et
 nominal,
 chômage
 involontaire,
 Prolongements
:
causes
du
chômage,
rôle
de
la
demande
et
des
salaires.
 
 Keynes
est
un
auteur
entre
continuité
et
rupture.
 Continuité
 car
 il
 partage
 avec
 ses
 prédécesseurs,
 les
 classiques,
 l’opinion
 que
 l’organisation
économique
la
plus
performante
est
l’économie
de
marché.
 Rupture
 car
 il
 n’est
 pas
 libéral,
 le
 marché


toujours en construction. Beaucoup d’économistes se spécialisent dans une branche particulière de la science économique. On peut classer les branches de l’économie selon l’approche d’analyse utilisée. Ce cours est une introduction à l’ensemble des approches d’analyse économique. Il s’agit de donner une idée générale de ce qu’est l’économie en tant que discipline. L’objectif est aussi de faire comprendre que l’économie est une discipline en construction, vivante mais aussi contradictoire. Elle se caractérise

monnaie dans l'économie. On dis que la monnaie n'a pas d'influence dans l'économie réelle. Les classiques ignorer la monaie qu'il n'on pas analyser car le phénomène ne les intéresser pas. Il parler d'une monnaie neutre ou monnaie passive. I. L'approche classique : La monnaie neutre, la théorie quantitative. A. Les principes classiques. a. Le principe de dichotomie. Pour les classiques la sphère réelle est l'essentiel car tout les phénomène réel vont s'influencer entre eux mais la

 PARTIE 1 -La notion d’équilibre : approches économiques et comptable Chapitre 1- La conception classique de l’équilibre (1770-1870) Les deux idées majeures : le libéralisme économique et principe d’économie politique. Les théoriciens ont cherché comment l’équilibre peut être maintenu, quels sont les moyens et quelles sont les contraintes ? Mise en évidence du marché (moyen) libre et autorégulé. Section 1- Les fondements de l’analyse classique Comment les marchés peuvent-ils s’autoréguler 

plus haut point l’interdépendance entre les objectifs de la politique économique puisqu’il cristallise une opposition centrale entre activité et stabilité. A la suite de la crise de 1929, John Maynard Keynes dénonce les postulats de la théorie classique en insistant sur les quatre points suivants : - La monnaie peut être désirée pour elle-même. A côté du motif de transaction, il existe une demande de monnaie de spéculation et de précaution. Keynes introduit ce qu’il appelle la «préférence pour

taux d'inflation, qui reste positif. Par exemple, si pendant des années l'inflation s'est située à 10 % en moyenne et que l'inflation des années suivantes baisse à 7 %, puis 5 %, puis 2 %, on parlera de phénomène désinflatoire. Lorsque l'inflation approche de zéro, on risque un passage en déflation. La stagflation consiste en la concommittance d'une croissance faible voire négative, avec un niveau élevé d'inflation. La définition de l'inflation comme la hausse des prix est relativement récente en

Document Attac18 : http://www.local.attac.org/18/ L’ECONOMIE ET LES THEORIES ECONOMIQUES. Deuxième séance. C) Keynes et les théories keynésiennes. Keynes :(1883-1946) Keynes est un pur produit de la haute société britannique de son époque, après des études à Eton puis à Cambridge, il travaille deux ans en Inde dans la haute administration à l'Indian Office puis devient professeur à Cambridge. C'est un mondain qui mène joyeuse vie, passionné de jeu, très lié à un milieu d'artistes. Pendant