Ciel de traîne

suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à coté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poête est semblable au prince des nuées

en uniformes, avec des drapeaux, saluant en levant le bras droit et en hurlant d’une seule et même voix « Heil Hitler », en hommage à leur chef. Arrière plan :Un aigle, les ailes déployées, symbole de l’Allemagne depuis le Moyen-âge, surgit d’un ciel sombre et nuageux au milieu des rayons du soleil dans un paysage brumeux. Impressions et compréhension :Hitler est présenté avec le regard dur, le poing serré, avec une allure volontaire et fière pour montrer sa détermination à mener son projet

02/02/2015 Maëva 1ère L GUIDE DE LECTURE Note : Observation(s) : PRIMO LEVI : Si c’est un homme 1) Primo Levi est un chimiste italien arrêté comme résistant à l’âge de 25ans. 2) Le voyage en train se fait dans le noir (aucune ouverture), les hommes et les femmes sont entassés les uns sur les autres dans les wagons de marchandises allemandes vidés pour l’occasion. Les personnes ont froid, font de l’insomnie, sont battues, privés d’eau et de

2) Le rapport au Ciel - Dieu est sourd aux prières de Des Grieux : « O Dieu ! Que mes vœux étaient vifs et sincères ! Et quel rigoureux jugement aviez-vous résolu de ne les pas exaucer ! » - Le corps de Des Grieux fait office de prière et de protection quand il s’étend sur la tombe de Manon : « Je me couchai ensuite sur la fosse ». - Le Ciel poursuit le jeune homme de sa colère : « Le Ciel, ne me trouva point, sans doute, assez rigoureusement puni. Il a voulu que j’aie trainé, depuis, une vie languissante

31.  UN LEVER DE SOLEIL   (Alphonse Lamartine) L'Orient jaillit comme un fleuve, La lumière coule à long flot, La terre lui sourit et le ciel s'en abreuve Et de ces cieux vieillis, l'aube sort aussi neuve Que l'aurore du jour, qui sortit du Très Haut. Et des pleurs de la nuit, le sillon boit la pluie, Et les lèvres de fleurs distillent leur encens, Et d'un sein plus léger l'homme aspire à la vie Quand un esprit divin vient englober ses sens. Notre terre éblouie du rayon qui

: on passe de « une promesse de pluie » au « pavé mouillé ». Il a donc plu mais ce n'est jamais vraiment mentionné. Le temps ne semble visible que dans les aléas climatiques et les changements du ciel rythment le passage : « le ciel était pur mais sans éclat », « le ciel s'est assombri », « le ciel est devenu rougeâtre », « les premières étoiles qui montaient ». Ces changements deviennent une sorte de péripétie naturelle. 2. Des péripéties triviales Le récit est chronologique, il suit précisément

Cette opposition illustre la confusion de Verlaine. Il n’arrive pas à vivre des émotions agréables sans en vivre de désagréable. Vue : « vermeil » Ouïe : « crie » Vocabulaire connotatif Instabilité : «À tous les vents du ciel balancée / Et biaisant quand la marée oblique » Vol erratique : Le vol erratique symbolise la difficulté de l’auteur à contrôler ce qu’il vit. Il exprime qu’il n’a d’autres choix que de se soumettre à ce qu’il vit. Symbolique de la mouette

Avec leurs diverses effigies, L’horloge défile, les aiguilles tournent, Les secondes défilent, les minutes défilent, les heures défilent, La Terre tourne en leur rythme, Les étoiles brillent & la lune veille sur elles, Elles étincellent le ciel, l’espace, l’Univers par leur blanc transparent, Nord Sud Est Ouest, et pourtant je n’ai qu’une seule direction à mes yeux, On peut aller dans un pays froid, pour ressentir la glace sur notre peau, On peut aller dans un pays chaud, pour ressentir

Lancelot, Les Yeux d’Elsa, Louis Aragon On peut me harceler que suis-je qu’ai-je été Je me souviens d’un ciel d’un seul et d’une reine Et pauvre qu’elle soit je porterai sa traîne Je n’ai pas d’autre azur que ma fidélité Je suis ce chevalier qu’on dit de la charrette Qui si l’amour le mène ignore ce qu’il craint Et devant tous s’assit parmi les malandrins Comme choisit mourir Jésus de Nazareth Ma Dame veut savoir que rien ne m’humilie Par elle demandé tout s’en métamorphose Elle

croit Et qu’on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. La vérité c’est ce qu’on croit En la nature c’est toi-même. George Sand Automne malade Automne malade et adoré Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs Au fond du ciel Des éperviers planent Sur les nixes nicettes aux cheveux