Ciel de traîne

Cantique à Elsa « Ce que dit Elsa » SEQUENCE I : QUAND LE POETE COMBAT LA GUERRE… Lectures analytiques : Texte 1 : Arthur RIMBAUD, « Le Mal », Poésies, 1870 Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts ! dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie

le mensonge de Séverine à propos de la bague qu'elle porte? Quel est l'aveu de Séverine? Quel sentiment Roubaud a-t-il besoin de satisfaire après avoir découvert l'histoire de Séverine et du président? Qui est le dernier passager à monter dans le train avant de partir pour le Havre? --Ch. II: Où le deuxième chapitre a-t-il lieu? Qu'est-ce qui le distingue du premier? Qui est le personnage qui vient rendre visite à la famille qui habite la maison du garde-barrière à la Croix-de-Maufras? Qu'est-ce

prolifique un romancier de premier ordre. Au diable vauvert, une tornade déploie sa robe à falbalas dans la danse grand-guignolesque d’une sorcière en transe ; son hystérie ne parvient même pas à épousseter les deux palmiers calcifiés dressés dans le ciel comme les bras d’un supplicié. Une chaleur caniculaire a résorbé les hypothétiques bouffées d’air que la nuit, dans la débâcle de sa retraite, avait omis d’emporter. Depuis la fin de la matinée, pas un rapace n’a rassemblé assez de motivation pour

au rêve. 4. Éléments qui renvoient au réel : la fenêtre, le bouquet de fleurs sur une chaise, la tour Eiffel, les immeubles. Éléments imaginaires : le train avance à l’envers, dans l’air, le chat est un animal hybride avec une tête d’homme qui rappelle celle du personnage représenté dans le coin. Un petit personnage descend du ciel. Un couple est allongé dans l’air – motif récurrent dans l’œuvre de Chagall. Le personnage dans l’angle droit du tableau – figure du peintre – a un visage

C’était un samedi soir, chez Tommy à la campagne. Tommy était assis sur son canapé en train de regarder Koh-Lanta. Il eut faim et décida d’aller chercher du pop-corn. Il alla dans sa cuisine ouvrit un placard, sortit un paquet de pop-corn et le mis au micro-onde. Le temps de la cuisson, il décida d’aller prendre l’air il admirait les étoiles et soudain dans le ciel près d’un arbre, il vu une boule de feu rouge. Il s’interrogea. Qu’-est-ce-que-c’est ? Un Soukounyan !

« Vois ! » : Les aveugles sont dépourvus de la vision et pourtant ce texte leur étant dédié, utilise les verbes : contempler, regarder, voir. Tout ce que leur est impossible. b) Comparaison avec les aveugles « je me traîne aussi ! » : « aussi » = comme donc comparaison avec les aveugles « traîne » -> le poète erre sans but comme les aveugles « plus qu’eux hébété » : Le poète perdu son intelligence, sa volonté La situation du poète est pire que celle des aveugles Poète = aveugles en pire c) La solitude

Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des nuées  Qui hante la tempête et se rit de l'archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Charles Baudelaire Spleen : Quand le ciel bas et lourd pèse

par nos sens, car nous ne devons pas toujours se fier à ce que disent nos sens puisqu’ils peuvent être trompeurs. Par exemple, la vue est l’un des sens le plus trompeur, car si nous regardons le ciel, nous le voyons bleu. Par contre, il n’est pas de couleur bleu mais bien de couleur noire. Les couleurs du ciel que nous voyons sont dues au fait que les rayons lumineux du Soleil sont réfléchis par les nombreuses particules qui composent notre atmosphère. De plus, il y a les mirages qui causent beaucoup

victimes) Éruption volcanique cataclysmique (ne reste plus de l’île que le sommet du cratère du volcan) L'artiste a associé une note dans un de ses journaux a propos de cette œuvre: un soir, je marchais […]. le soleil se couchait - soudain le ciel devint rouge sang . Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. J'ai entendu un cri infini déchirer la Nature. J’ai peint ce tableau, peint les nuages comme du véritable sang. Les couleurs hurlaient.

-La femme dans les flammes : Elle a levé ses bras au ciel, comme pour être secouru. -La femme qui fuit : A droite, en bas, une femme se traine un genou presque à terre. Tout son corps mais surtout son visage et son corps, son entièrement tendu vers la lampe. 4. Mettre en relation avec d'autres œuvres La femme à l'enfant ressemble à la vierge pleurant la mort Christ qui s'appelle la pieta. La femme dans les flammes qui lève ses bras au ciel fait penser a la peinture Goya « El tres de mayo ».