Civ 1er 26 Janvier 1972

application de l’article 39-1 du (1) CE 16 février 1996 n°139789, DF 14/96 n°442 concl. Bachelier CE 31 janvier 1990 n°51403, RJF 90 n°257 CE 18 novembre 1988 n°58811, RJF 89 n°37 CE 24 juillet 1987 n°64511, RJF 87 n°966, DF 49/87 n°2185 (2) CE 24 mai 2006 n°274471, Genestar, RJF 06 n°994, DF 43/06 n°688, concl. Glaser DF 48/06 n°746 (3) CE Plén. 26 avril 1985 n°40799, RJF 85 n°873 (4) CE 26 janvier 1990 n°58314, SA Jean Fabre, RJF 90 n°254 concl. O. Fouquet p.169 CE 23 mai 1990 n°64274, Colibri-France

1316-4, alinéa 1er, du Code civil montrent, que la solennité essentielle dans la confection d'un acte authentique consiste en la signature par l'officier public. Le code civil a ainsi attribué une fonction "authentifiante" à la signature au sens juridique strict du terme : c'est-à-dire la forme qui confère à l'acte sa solennité. 2. La signature La question de la signature électronique a été également réglée par l’article 1316-4, alinéa 2.  L'article 1316-4 du Code civil, alinéa 1er précise que “la

photographe par trois décisions du 16 octobre 2012. Le photographe s'est pourvu en cassation devant le Conseil d’État contre ces décisions. Le Conseil d’État, par une décision du 10 février 2014 et faisant application de l'article 35 du décret du 26 octobre 1946, a renvoyé au Tribunal des Conflits le soin de décider sur la question de la compétence de la juridiction pour régler le litige. Quelle juridiction est compétente pour régler un conflit reposant sur la violation des droits d'auteur

prononcé, le Tribunal des conflits statuait que c’est « en les conciliant avec les principes généraux du droit » que les textes spéciaux régissant l’administration devaient être interprétés et appliqués (T.C. 8 février 1873, Dugave et Bransiet, Rec. 1er supplément, p. 70). Avant 1944, lorsque le Conseil d’Etat français se référait à un principe général du droit, il ne le formulait pas et n’employait pas cette expression (C.E.F. Section 28 février 1930, Bertier, Rec. p. 237, S. 1930 – III – 105,

déterminante. Si le langage courant vise, par le terme contrat, un écrit, en principe il n’est pas nécessaire que le negotium prenne corps dans un instrumentum. ¤ La force obligatoire du contrat : Ce principe est visé à l’article 1134 alinéa 1er du Code civil : « Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites ». La formule consacre donc la force de l’engagement, scellé par le cadre légal. Chaque partie peut exiger l’exécution du contrat dans les termes convenus

peuvent s’appliquer aux relations internationales que si celles-ci présentent un lien étroit avec le territoire français. Ex. CA Paris, arrêt rendu le 21 janvier 1994. Un français a conclu un contrat de mandat avec un agent immobilier situé à Monaco pour un immeuble situé à Monaco. La question était de déterminer si la loi du 2 janvier 1970, régissant les contrats avec les agences immobilières, devait s’appliquer. La CA a considérée que cette loi était une loi de police, mais

possibilité de faire constater en justice qu’il y a présomption d’absence (art. 112 C. civ.). Lorsqu’il se sera écoulé dix ans depuis le jugement qui a constaté la présomption d’absence, l’absence pourra être déclarée par le Tribunal de grande instance à la requête de toute partie intéressée ou du ministère public. Il en sera de même lorsque vingt ans se seront écoulés sans que l’on ait de nouvelles (art. 122 C. civ). La personne sera, là aussi, présumée décédée. 1B. La date d’ouverture de la succession

François TERRE et Dominique FENOUILLET, Droit civil, Les personnes, la famille, les incapacités, Dalloz, 7e éd. 2005. Bernard TEYSSIE, Droit civil, Les personnes, Litec, coll. Manuels, 12e éd. 2010. 1 Page 2 Textes utiles ­ Constitution du Sénégal du 7 janvier 2001 ­ Code de la famille du Sénégal ­ Code civil français Séance 1 Thème: La personnalité juridique Sous­thème: L’existence de la personnalité juridique Sujet : cas pratiques Travail à faire : Lire les documents  / Traitez les cas pratiques suivants

véritable cause. La causalité adéquate appele donc un jugement de valeur rétrospectif, se remettre en situation. Un événement est la cause d'un autre lorsqu'on peut prévoir cet enchainement en se fondant sur le déroulement habituel des choses. Cass civ 2ème 8 novembre 2007 écarte la théorie de l'équivalence des conditions dans les faits. Une femme reproche à l'employeur de son mari décédé le licenciement préalable de celui-ci, ce qui l'a empêché de prétendre de pouvoir bénéficier de l'assurance-décès

opération consistant à prendre un élément particulier et à le faire entrer dans une catégorie juridique pré-existante en reconnaissant en lui les caractéristiques essentielles de cette catégorie. La qualification repose sur une double démarche : 1er temps : déterminer de manière abstraite les éléments juridiques caractéristiques d'un type de contrat (ex : pour le vente il faut le remise d'une chose en échange du paiement d'un prix). 2° temps : relever concrètement dans le contrat conclu par