Civ 1er 4 Avril 2001

(sous-section 1), exister au jour de la saisie (sous-section 2), être dans le patrimoine du débiteur (sous-section 3), être saisissable (sous-section 3) et enfin les circonstances doivent être susceptibles d’en menacer le recouvrement (sous-section 4). Sous-section 1 : Une créance de somme d’argent fondée en son principe La créance que détient le débiteur poursuivi sur le tiers saisi doit nécessairement porter sur une somme d’argent et non consacrer une obligation de faire ou de

a) la notion de rupture unilatérale aux risques et périls du créancier b) les faiblesses d’un contrôle a posteriori 2) la sanction problématique de la rupture injustifiée La convention fait la loi des parties. L’article 1134 al. 1er du Code Civil pose le principe de l’effet obligatoire des contrats : « Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites ». En reproduisant cette formule de Domat, les rédacteurs du code civil ont entendu marquer qu’une

Commentaire[1] de l’arrêt Cass. 1ère civ., 3 avril 2002 Sens : Fiche d’arrêt Faits - Mme Kannas était, depuis 1972, collaboratrice puis rédactrice salariée chez Larousse-Bordas. - Après avoir fourni, dans le cadre de son contrat de travail, une activité supplémentaire pour la mise au point d’un dictionnaire « Mini débutants », elle a cédé, par une convention à titre onéreux datée du 21 juin 1984, la propriété de la société sur tous les droits d’exploitation

1996, Chronopost, Bull. civ. IV, n° 261 ; JCP G 1997, I, 4002, n° 1, obs. M. Fabre-Magnan ; Defrénois 1997, 333, obs. D. Mazeaud ; Contrats, conc., consom. 1997, comm. n° 24, obs. L. Leveneur.` -« Faurecia I » Cass. com., 13 févr. 2007, Bull. civ. IV, n° 43 ; JCP G 2007, I, 185, n° 10, obs. P. Stoffel-Munck ; Revue des contrats 2007, p. 707, obs. D. Mazeaud ; Vous présentez en quelques lignes l’apport de ces deux arrêts -« Faurecia II » Cass. com. 29 juin 2010, Bull. civ. IV, n° 115 ; JCP 2011

de bonne foi5. III ÉPOUX MARIÉS SOUS LE RÉGIME DE LA SÉPARATION DE BIENS Lorsque les époux ont stipulé dans leur contrat de mariage vouloir être soumis au régime de la séparation de biens, conformément aux dispositions de l’article 1536 alinéa 1er du Code civil, chacun des époux a en principe toute liberté dans l’administration, la jouissance et la disposition de ses biens personnels, sauf s’il s’agit du logement de la famille. Ainsi, chacun des époux peut disposer seul de son logement, dès lors

bénévolement assistance à autrui. Quelle va ê la source de l’obli de réparation ? 1ère civ 1er décembre 1969 : collusion en vélomoteur et automobile + tiers. Fondement : resp contractuelle : il existait un accord de volonté et le consentement exprès de l’assisté n’était pas nécessaire car l’offre avait été faite ds son intérêt exclusif => accord de volonté factice. Atténuation : 1ère civ 7 avril 1998 : une conv d’assistance bénévole ne peut exister que lorsque l’intervention du sauveteur

la juridiction française saisie, de leur conformité avec les règles françaises de solution des conflits de lois. 1.2 La loi du 11 juillet 1975 En France, le divorce s'est concrétisé par l'adoption de la loi du 11 juillet 1975, entrée en vigueur le 1er janvier 1976, qui consacra le divorce par consentement mutuel. Le législateur réforma par cette même loi le système de conflit de loi applicable au divorce. Ce fut l'un des plus grands changements qu'ait connu le droit international privé durant ces

Flammant et Céline Watrin ; M. Louis Bodet ; Me Lionel Cadière Séance 1 : le raisonnement juridique Séance 2 : introduction au droit civil (commentaire de texte) Séance 3 : l’application de la loi civile dans le temps (cas pratiques) Séance 4 : loi et jurisprudence (commentaire combiné d’articles) Séance 5 : les personnes et les choses (commentaire d’arrêt) Séance 6 : les personnes morales (dissertation) Séance 7 : l’état des personnes (commentaire d’arrêt) Séance 8 : la disparition et

cour d'appel de Versailles ; remet, en conséquence, la cause et les parties dans l'état où elles se trouvaient avant ledit arrêt et, pour être fait droit, les renvoie devant la cour d'appel de Versailles, autrement composée   Arrêt n° 419 du 14 avril 2010 (09-14.335) - Cour de cassation - Première chambre civile   Cassation           Demandeur(s) : M. G... R... X... Y... Défendeur(s) : Procureur de la république près le tribunal de grande instance de Nanterre       Sur le moyen

Tournafond, La nouvelle garantie de conformité des consommateurs, D. 2005, Chron. p. 1557 ; M. Bruschi, Conformité et garantie légale, RDC 2005, p. 710 ; D. Mainguy, JCP E 2005, 630 ; A.-M. Leroyer, Conformité des biens - Transposition de la directive, RTD civ. 2005, p. 483 ; G. Paisant, La transposition de la directive du 25 mai 1999 sur les garanties de la vente de biens de consommation, Contrats, conc., consom., août-sept. 2005, p. 7). Par ailleurs, les décrets n° 2005-972 et n° 2005-973 du 10 août 2005