Civ 1er 4 Avril 2001

D’un côté, par le travail, on entend l’industrie personnelle ainsi que toute richesse qui découle de la force du travail des époux, ce qui comprend les gains et salaires (Cass., civ. 1e, 8 février 1978) et les éléments du patrimoine professionnel qui se sont réalisés au cours du mariage (Indemnités de licenciement : Cass., civ. 1e, 29 juin 2011). De l’autre côté, le capital entre en communauté, bien qu’il faille distinguer les transformations des accroissements. Tout bien acquis à titre onéreux est

terrestres, Paris, Gallimard, Folio, 1897 COOPER (D.), Mort de la famille, Seuil, 1975 3 BACH-IGNASSE (G.), Familles et homosexualités, in Homosexualités et droit sous la direction de Daniel Borrillo, PUF, Les voies du droit, 1998 3 solidarité (PACS)4. Mais récemment, certains de ces couples ont revendiqué le droit de consacrer leur union dans un cadre plus stable et plus protecteur : le mariage. Militant depuis une dizaine d’années pour le droit à être parents, les homosexuels sont désormais loin

commission des clauses abusives à pour mission de rechercher dans les contrats entre les professionnels et les consommateurs, les clauses qui pourraient être abusive, les dénoncer ou prévenir et demander leurs modification. Il existe une directive du 5 avril 1993 et des listes de clauses expressément déclarées abusives alors que d’autres ne sont que présumées abusives. A - CONTROLE DES CLAUSES ABUSIVES 1. L'article 35 de la loi du 10 janvier 1978 sur la protection et l'information des consommateurs

L’APPLICATION DE LA LOI DANS LE TEMPS- Analyse des arrêts suivants : Cass. civ. 1ère, 4 décembre 2001 et Cass. com., 16 février 2022Analyse de l'arrêt : Cass. Civ. 1ère, 4 décembre 2001 I. Analyse A. Les faits 1. Les faits matérielsEn 1942, Jean Rameau, éditeur de la société Imprimerie LACOSTE, décède.Madame SARTHOU est légataire universelle des œuvres de Jean. 2. Les faits judiciairesA une date inconnue, Madame SARTHOU assigne

................................. 113 PARTIE I : LES PERSONNES PHYSIQUES....................................................................................................................... 113 _________________ Copyright © 2013 Pré-Barreau 4 TITRE I - LA PERSONNE .......................................................................................................................................... 113 CHAPITRE I - LA PERSONNALITE JURIDIQUE ........................................

au préposé => incompatibilité entre gardien et préposé CA Bruxelles, 18 avril 2007 : “les éboueurs n'ont pas la qualité de gardien mais sont responsables de la garde des sacs de poubelle car ils sont préposés de Bruxelles-propreté”. => déclin de la responsabilité personnelle du préposé => immunité civile du préposé établi notamment par l'arrêt “Costedoat” : Assemblée plénière 25 février 2000/ Cass Ass plén, 14 décembre 2001, Cousin : quand le préposé commet une infraction pénale, même sur l'ordre

que le manquement contractuel est désormais invocable par le tiers au titre de faute délictuelle. 1 Com 5 avril 2005. Civ 1, 13 fév. 2001 ; civ 2, 23 oct 2003. 3 Com. 2 avril 1996. 4 Sur la question et commenntaires de l’arrêt Ass. Plen. 6 oct 2006, voir: D. 2006, p. 2825, note G. Viney ; RDC 2007, p. 179, obs. S. Carval et p. 259, obs. D. Mazeaud ; LPA 22 janv. 2007, note C. Lacroix ; RTD civ. 2007, p. 123, obs. P. Jourdain. 2 3 L’assimilation réalisée par la jurisprudence caractérise une atteinte

d'autres entreprises ; 2° Faire obstacle à la fixation des prix par le libre jeu du marché en favorisant artificiellement leur hausse ou leur baisse ;3° Limiter ou contrôler la production, les débouchés, les investissements ou le progrès technique ;4° Répartir les marchés ou les sources d'approvisionnement. » - article L. 420-2 : « Est prohibée, dans les conditions prévues à l'article L. 420-1, l'exploitation abusive par une entreprise ou un groupe d'entreprises d'une position dominante sur le

l’Association nationale des juristes de banque sur : La centralisation automatique de trésorerie David ROBINE Maître de conférences à l’Université de Rouen sur : La sécurité des marchés financiers Alain CERLES a collaboré aux éditions 2000 et 2001 de l’ouvrage, sur le Coût du crédit bancaire, en sa qualité de directeur du droit du crédit à la Direction des affaires juridiques de la Société générale Liquidité : contrepartie et prêts de titres ; Réméré et pension de titres ; Swaps, FRA, caps

Correction du commentaire : Civ. 1ère, 4 décembre 2001 I. Analyser l’arrêt A. Les faits 1/ Les faits matériels - A une date inconnue, Jean X, auteur, conclut avec la société Imprimerie Lacoste, un contrat d’édition. - En 1942, Jean X décède. Mme Y est légataire universelle. - Le 11 mars 1957, la loi tendant à la protection des intérêts des auteurs entre en vigueur - A une date inconnue, la société Imprimerie Lacoste n’applique pas cette loi au contrat d’édition. 2/ Les faits judiciaires