Civ 1ère 13 Juin 2006 Quasi Contrat

Droit civil 26/09/13 1. La disparition de l’élément subjectif 2. C. Distinction des fautes de commission et d’abstention Œuvre de la doctrine : Faute de commission consiste pour celui qui a causé le dommage, à faire ce qu’il n’aurait pas dû faire Faute d’abstention : ne pas avoir fait ce qu’il aurait dû faire, faute de commission résulte de la violation d’une obligation de ne pas faire (Tun/Unterlassen) Conséquence juridique ? Une partie de la doctrine a souhaité attaché a cette distinction

réglementaire selon le cas" (décision des 25-26 juin 1986 - privatisations - ). Jusqu'à présent, le Conseil s'est efforcé d'éviter de préciser quelles sont les activités à caractère de service public dont la constitution implique qu'elles deviennent ou qu'elles demeurent propriété publique. Pour l'instant il impose une seule restriction au législateur : l'interdiction de "déléguer à une personne privée l'exercice d'une mission de souveraineté " (décision du 26 juin 2003). En revanche, il semble

contractuelles (qui naissent d’un contrat), - Délictuelle aussi appelés extracontractuelles (qui naissent d’une faute qui a causer un dommage), - Légales (celle qui sont imposées exclusivement par la loi) Pendant très longtemps, cette classification était très utile à cause de la prescription extinctive. Aujourd’hui cet intérêt a disparu, suite a la réforme de la prescription de 2008. En revanche demeure un enjeu important, quand un dommage a été causé dans l’exécution d’un contrat, seul le dommage prévisible

l'on ne peut pas déterminer le sexe de l'enfant ( malformation) → arrêt de la cour d'appel de Versailles du 22 juin 2000 : enfant opéré a la naissance comme homme alors que plus tard l'enfant se sens femme changement de sexe et donc changement d’État civil. → au départ, les juge du fond, on dit non, puis une sorte de résistance de la jurisprudence, la cour de cassation ce prononce la 1ere fois le 16 décembre 1975, mis en principe de l'indisponibilité de l'état des personnes ( on ne peut pas distinguer

Semestre3 Lecourt Année 2006 - 2007 Droit commercial Examen : 4 Questions de cours durée 1H Lecture éventuelle Yves Guyon, droit des affaires chez Economica, 2003 Introduction : L’histoire du droit des affaires Les sources du droit commercial sont grecques. Elles remontent au milieu du 7ème siècle avant JC, avant l’apparition de la monnaie. Le fonctionnement des affaires à Athènes était connu, tel que le montre les textes d’Isocrate. Demorthène décrit également l’opération

Sommaire Sommaire 1 Section 1 : Définition de la famille 11 I.la parenté et l’alliance 11 A.la parenté 11 B.l’alliance 12 II.la diversité des modèles familiaux 12 A.les figures classiques 13 B.les figures contemporaines 13 Section 2 : l’objet du droit de la famille 13 I. la dualité du droit de la famille 13 III.les limites du droit de la famille 14 Section 3 : l’évolution du droit de la famille 15 I.le code napoléon 15 A.l’inégalité 15 B.La réduction des libertés 16 II.le droit contemporain

Ordonnance du 21 avril 2006 relative à la partie législative du code général de la propriété des personnes publiques (CGPPP). Cette ordonnance a été modifiée à multiple reprises (ce qui montre que c’est un droit mouvant). Elle a été ratifiée dans son ensemble par une loi du 12 mai 2009. On y voit l’impact du droit communautaire et de la convention européenne des droits de l’homme, notamment pour les marchés publics où l’on a refait un code en 2001 puis en 2004 et le 1er aout 2006 (CMP = code des marchés

république la plus dégradée est celle qui a le plus de lois). L'inflation législative est un phénomène très français, Montaigne, au 16 ème siècle, disait « Nous avons en France plus de lois que tout le reste du monde ensemble » Essai livre 13ème chapitre 13. En France, il y aurait 10500 lois et 120000 décrets. Cela s'explique surtout par une demande de lois émanant du public qui est alimenté par une croyance un peu puérile en l'effet magique de la loi. Il suffit que des événements suscitent un battage

PARTICIPATION ACTIVE DE LA FRANCE A L'ACTION INTERNATIONALE.........................................................12 1.2.1. Les Nations Unies ..............................................................................................................13 1.2.2. Le Conseil de l’Europe .......................................................................................................15 1.2.3. L’OSCE...................................................................................................

constitutionnelles: Il y a un contrôle de constitutionalité et depuis cette été il peut être exercé postérieurement a l’adoption du texte. Les contribuables peuvent donc s’appuyer pour contester la constitutionalité sur le fondement de l’article 13 de la DDHC = égalité des charges publiques + principe de respect des capacités contributives. CC 30/12/1991 les donations passés devant notaire avait un sort plus favorable loi rejetée sur le fondement de l’article 6 DDHC (=principe égalité en générale)