Civ 1ère 20 Janvier 1964

lorsqu’on a deux personnes qui sont mutuellement créancière l’une de l’autre. Ex : A doit 10 à B qui lui doit 20  Compensation à concurrence de la somme la plus faible. Seul B devra 10 à A. Attention la compensation doit avoir lieu entre deux personnes distinctes mais il n’est pas obligatoire de s’inscrire dans un rapport de dettes connexes. Ex : A a acheté à B 10 de bonbons alors que B lui a acheté 20 de crayons. L’argent est une chose fongible par excellence. / Le transfert de propriété : S’il est solo

coutume est, à ce titre, profondément ancrée dans les mentalités ; ce qui a pour conséquence dans bien des cas, la résistance de la coutume à la loi. En effet, on remarque que certaines lois s’opposent à la coutume. Il en va ainsi de la loi ivoirienne de 1964 relative aux successions qui est en contradiction avec certaines coutumes ivoiriennes ; car cette loi établit la succession de père en fils, contrairement à la coutume Akan qui fait du neveu l’héritier de son oncle. La loi dans ce cas est édictée dans

La distinction de la règle de droit et des autres règles Droit et Religion. A ceux qui lui demandaient s’il devait payer l’impôt exigé des Romains, Jésus leur répondit : Rendez à César, ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu (V. par ex. Luc 20, 2026, spéc. v. 25). La réponse troublait. A Pilate, qui lui demandait es-tu le Roi des juifs ? Jésus répondit : Ma royauté ne vient pas de ce monde (Jean, 18, 36). L’obéissance est due au droit tant que le droit reste dans ces limites. Ce qui suppose

1ère PARTIE : LES SOURCES DES OBLIGATIONS L’obligation ne peut naître que de deux façons. Soit on est créancier ou débiteur parce qu’on l’a voulu par un contrat (manifestation de volonté génératrice de d’obligations) ; soit on est créancier ou débiteur parce que la loi l’a imposé : il s’agit des obligations légales. Chapitre 1 : LE CONTRAT Le contrat permet à des particuliers de créer volontairement entre eux des obligations juridiques. Sa place dans la vie en société n’est plus à démontrer

internationales bilatérales 2. les conventions internationales multilatérales Paragraphe 2 : La montée des sources privées. Chapitre 2 : L’évolution des conceptions méthodologiques PARTIE 1 : LA PLURALITE DES METHODES DE CONFLITS DE LOI 1ère sous partie : la règle de conflit bilatérale CHAPITRE 1 : Le choix de la règle de conflit Section 1 : L’effectivité des règles de conflits  Section 2 : La question de la qualification Paragraphe 1 : Le ou les moments de la qualification Paragraphe

de l'Université de Liège Conseiller à la cour d'appel de Liège Elodie JACQUES Assistante à la Faculté de droit de l'Université de Liège Avocate au Barreau de Bruxelles Master en criminologie, à finalité approfondie, 1ère année. Master en criminologie, à finalité spécialisée, 1ère année. Master en droit, à finalité spécialisée en droit et gestion, 2e année Année académique 2014-2015 Titre Premier : Les principes CHAPITRE PREMIER : DÉFINITION DU DROIT PÉNAL a) Définitions proposées Le droit pénal

exemple le concubinage juvénile. Depuis 99, il y a eu un essor considérable des familles homosexuelles qui ont aujourd’hui accès au PACS et au mariage. Il y a eu aussi un développement des familles monoparentales qui représentent aujourd’hui environ 20% des familles, et des familles recomposées. Le taux de fécondité demeure un taux relativement élevé contrairement à nos voisins, il est d’environ 2.1 en France. On estime aujourd’hui, qu’environ un enfant sur 2 nait hors mariage. B – L’approche juridique

La période révolutionnaire. Elle se caractérise par la suppression des corporations et cette période est florissante en ce qui concerne la propriété littéraire. Pour les inventions, la loi du 7 janvier 1791 accorde à l’inventeur un droit de propriété sur son invention. - Loi du 17 janvier 1791 : droit des auteurs sur la représentation de leurs œuvres de leur vivant et 5 ans post mortem au profit de leurs héritiers. - Loi du 24 juillet 1793 consacre le droit de reproduction au

d’abandonner les discussions en cours, ils ne répondent que d’éventuels abus. Ex : le fait de modifier «soudainement et substantiellement ses exigences après plusieurs mois de dialogue ayant abouti à un protocole qui aplanissait toutes les difficultés», Com. 20 février 2007 (Bulletin Joly 2007 p.985). Si les pourparlers sont brisés avec une légèreté blâmable, une telle faute justifie la condamnation à des dommages et intérêts pour compenser les dépenses inhérentes à la négociation rompue (ex : frais de

vigueur. Jusqu’en 1964, la seule cause de resp était le mandat, un assuré qui était victime d’une faute de l’agent, il n’avait pas recours, il n’y avait pas support juridique. Le courtier devait prouver la faute, le courtier est le mandataire de personne, c'est un prof. cdc cassation du 12 mai 1954 la resp d’un courtier à été retenu en dehors de tt mandat, mais personne n’a fait attention a cette JP. C'est avec un arrêt post qu’on a prit en compte le changement Cdc 10 nov 1964 : procède par une