Civ 1ère 28 Mars 2000

qu’il figure en bonne place dans l’organigramme général de l’Etat puisque a été créé un conseil particulier directement dédiée au secteur associatif qui se nommait le conseil national de la vie associative remplacé le 28 juin dernier par le haut conseil à la vie associative (décret du 28 juin 2011). Les attributions de ce Haut Conseil à la vie associative : Il doit être saisi de tous les projets de loi et de décret comportant des dispositions spécifiques relatives au fonctionnement au financement

(2) CE 24 février 1978 n°2372, RJF 78 n°161, Chron. Hagelsteen p.146, DF 30/78 n°1212 concl. Rivière (3) CE 6 juin 1984 n°35415 et 36733, RJF 84 n°940, c. Verny (4) CE 3 mars 1989 n°77581, RJF 89 n°538 (5) Cozian “Le devoir d’entraide des centres Leclerc : est-ce un acte anormal de gestion ?” BF 7/02 Etude p.523 et se (6) CE 28 avril 2006 n°275147, Sté financière Agache, RJF 06 n°825 CE 10 juillet 1992 n°110213, Sté Musel SBP, RJF 92 n°1249 concl. O. Fouquet p.673, chron. Goulard RJF 93 p.623 TA

Commentaire d'arrêt Civ 1ère, 3 juin 2010 Alfred Sauvy a un jour écrit « Bien informés, les hommes sont des citoyens ; mal informés ils deviennent des sujets». Cette citation reflète l'obligation d'information d'un médecin auprès de son patient. Ainsi ce devoir qui a toujours été au coeur de sa déontologie a connu diverses exploitations et reste au coeur de nombreuses jurisprudences et doctrines. C'est par un arrêt de la première chambre civile du 3 juin 2010 que la Cour de Cassation a opéré

Étant précisé que si le bail n’est signé que par un seul des occupants il ne peut en aucun cas y avoir solidarité entre tous les occupants. La Cour de cass demeure vigilante sur ce point Civ 3eme 26 janvier 2017 n°15-28.020 ou bien encore CIV 3 eme 5 avril 2018 n17-13.960. Dans le même ordre d'idée en matière de bien immeuble à usage d’habitation l’article 1751 du Code civil vient attribuer la qualité de locataire au conjoint du signataire du bail ainsi qu’au

mercatoria. Le droit positif a été assez timide pour la juridicité de la lex mercatoria. On soulève souvent la jurisprudence rendue en matière d'arbitrage. On s'est demandé si l'arbitre statut en droit ou en équité. Cass Valenciana 22 octobre 1991 Civ 1ère : l'arbitre qui appliquait la lex mercatoria avait statué en droit. Contre la lex mercatoria : la convention de Rome prévoit les règles en matière de loi applicable au contrat empêche le choix de la lex mercatoria. Les arbitres tenus d'appliquer

Cour européenne, voir les interprétations possibles d’une telle méthode dans le cas en cause par Pascale Deumier, chr. « Sources du droit en droit interne », Rev. trim. dt. civ. 2007, p. 536. 11 voir par exemple, Cass., civ. 1ère 21 mars 2000, Bull. civ. 1, n° 97, p. 65, D. 2000, p. 593, note C. ATIAS, ou encore Cass., civ., 1ère, 9 octobre 2001, Franck Y c. X et autres, CJEG,n° 583, janvier 2002, p. 10 avec le rapport de Pierre SARGOS. 12 C’est ce que reconnaît Pierre Sargos dans son article « L’horreur

époux (contribution aux charges du mariage art 214, ou solidarité des dettes ménagère art 220) elles n’en sont en fait qu'une copie imparfaite. La jurisprudence continue de refuser aux concubins l'application des obligations du mariage (Civ 1ère 11 janvier 1984; civ 1ère 2 mai 2003). De nombreux palliatifs tempère l'absence de régime ils sont conventionnel, légaux, ou jurisprudence tel les convention de concubinage proposée par le notariat qui organise les relation patrimoniale, mais également les libéralité

famille Ce droit n’est plus aussi impératif qu’autre fois. On a mis en avant les accords entre époux favorisés lors de la rupture du lien conjugal : loi par consentement mutuel. Il y a aussi les accords entre parents qui sont favorisés avec la loi du 4 mars 2002. La médiation familiale est encouragée. On assiste à une idéologie du consensualisme. 2. Le pluralisme du droit de la famille « A chacun sa famille, à chacun son droit » (Carbonnier). La loi ne doit pas proposer un modèle de famille mais

cette conception à défaut de stipulation des parties sur le cautionnement réel. Cela a été fait dans 3 arrêts du 15 mai 2002, Civ 1ère ch civ : à défaut de stipulations contraires des parties, la caution réelle est tenue personnellement dans la limite de la valeur des biens engagés. Cependant, cette conception du cautionnement réelle était contraire à l'art 2292 du c civ car cet art dit qu'un engagement personnel de caution ne peut pas se présumer, il doit être exprès. D'où revirement de JP :

réparer les dommages nés du manquement à une obligation contractuelle. Cela présuppose l’existence d’un contrat entre la victime du dommage et le responsable. Le dommage doit également résulter de l’inexécution d’une obligation née du contrat. Art 1147 c civ. Les responsabilités délictuelles et quasi délictuelles : Leur trait commun est de résulter d’un fait illicite, dommageable, indépendant de tout contrat. Traditionnellement, on considérait que la responsabilité délictuelle résulte