Civ 1ère 31 Janvier 2006 Mariage Nullité

patrimoine du couple) L'institution : le régime primaire impératif ( art 212 à 226 CC) Mariage = acte juridique auquel on peut librement consentir mais que l'on est pas libre de définir. Ce n'est pas à proprement parler une institution mais un contrat => article 146 CC « il n'y a pas de mariage lorsqu'il n'y a point de consentement » SAUF que le contrat DU mariage (à ne pas confondre avec le contrat DE mariage) est solennel par excellence, les époux vont vivre ensemble et vont avoir des devoirs réciproques

certains biens (sépultures). A priori cette thèse est séduisante, car elle semble confirmer, corroborer par les critères de la personnalité morale admis par la jurisprudence. En effet, la cour de cassation a décidé dans un arrêt de principe du 28 Janvier 1954 de la 2ème chambre civile « La personnalité civile appartient en principe à tout groupement pourvu d'une possibilité d'expression collective pour la défense d'intérêts licites dignes par suite d'être juridiquement reconnus et protégés ». Or,

propriété intellectuelle, le code de commerce, le code des assurances. Toutes les dispositions spéciales se cumulent avec celles du code civil, un contrat reste soumis aux règles générales du code civil. Certaines lois ne sont pas dans le code civil: loi du 31 décembre 1975 sur la sous traitance, loi non codifiée mais appliquée. Le contrat est une forme de loi particulière, a loi que les parties ont choisie n’est pas aussi forte que la Loi. Le contrat est inférieur à la loi. Le contrat doit donc respecter

constitue le droit patrimonial de la famille. Il est composé du droit des régimes patrimoniaux, des successions et des libéralités. Le régime patrimonial concerne les conséquences du mariage sur le patrimoine des époux. Tout couple marié doit avoir un régime matrimonial qui s’impose à lu durant toute la durée du mariage. C’est l’étude du droit du bien des époux. La succession a pour objet la transmission à des personnes dénommées héritiers d’un patrimoine par suite du décès de son titulaire. Les libéralités

désavantage, donc le Danemark a décidé de conclure une convention internationale (on ne connait pas exactement la nature) avec les autorités communautaires, du 19 octobre 2005. Accord qui a été repris par une décision du Conseil de l’UE en date du 27 avril 2006, l’objet est de faire en sorte que le Danemark soit lié par le même régime juridique que les autre Etats de l’UE. Le champ d’application temporel est très vaste, le règlement s’applique à toutes les actions qui sont intentées après le 1er mars 2002

européen : le droit à l’exécution est consacré par la CEDH. La Cour a jugé que la responsabilité de l’Etat pouvait être également engagée devant la CEDH et donnera lieu à condamnation à dommages et intérêts. Le cumul d’indemnisation est possible (CEDH, 31 mars 2005, Matheus c/ France). Les droits subjectifs, dont fait partie le droit à l’exécution, sont divisés en droits discrétionnaires, qui sont insusceptibles d’abus, et en droits susceptibles d’abus, dont l’exercice abusif est sanctionné. Le droit

d'intérêt économique Al. : Alinéa Art. : Article Biblio. : Bibliothèque Bull. : Bulletin Bull. civ. : Bulletin des arrêts de la Cour de cassation (chambre civile) Bull. crim : Bulletin des arrêts de la Cour de cassation (chambre criminelle) Bull. Joly : Bulletin Joly Sociétés BRDA : Bulletin rapide de droit des affaires C/ : Contre CA. : Cour d'Appel Cass. : Cour de Cassation Cass. civ. : Cour de Cassation, chambre civile Cass. com. : Cour de Cassation, chambre commerciale. Cass

deux bénéficiaires. Dans ce cas, la mauvaise foi est évidente, la Cour de Cassation, dans un arrêt du 10 février 1999, refuse la sanction en nature et ne retient que les dommages et intérêts. Un arrêt très remarqué rendu en chambre mixte, le 26 mai 2006, la Cour décide que le bénéficiaire du pacte peut être substitué dans les droits du tiers acquéreur et devenir propriétaire du bien. Elle admet donc la sanction en nature du pacte de préférence, cette sanction prenant la forme d’une substitution du

la procédure civile au sens strict. Les règles de procédure civile sont contenues dans un code appelé jusqu’en 2007 le nouveau code de procédure civile (NCPC). “ Nouveau ”, car il résultait d’un décret du 5 décembre 1975, entré en vigueur le 1er janvier 1976, qui avait abrogé en partie l’ancien code de procédure civile de 1806. Puis la loi du 20 décembre 2007 relative à la simplification du droit a abrogé les quelques dispositions de l’ancien code de procédure civile qui subsistaient ; en conséquence

la vie des individus. La famille est formée sur la base du mariage, en s’assurant que le mariage s’opère dans de bonne condition avec l’autorisation nécessaire des parents, de l’état car le mariage s’opère devant le maire et aussi avec le contrôle des citoyens qui peuvent l’annuler, le divorce est possible mais avec des conditions très restrictives. Le code civil fait tout pour que la famille ne puisse pas s’établir en dehors des mariages. On rétablit la puissance paternelle avec un chef tout puissant