Classe moyenne

véritable classe sociale en France? Introduction À partir des années 1930, l'idée d'un état composé de classes ayant des intérêts sociaux et politiques communs se développe; avec par exemple trois grands courants d'idées politiques: Le corporatisme, le mouvement syndical et le courant technocratique planificateur. Ce n'est que dans les années d'après guerre que l'on verra apparaître une classification proche de celle que l'on connais aujourd'hui, qui constitue les classes par catégories

Séance 3: Stratification et représentation: que reste-t-il des classes sociales dans le monde aujourd'hui? Vilfredo Pareto: → Loi de 80/20: 20% de la population la plus riche concentre 80% des richesses. C'est la première catégorisation scientifique de de la répartition inégale de ressources rares. Stroibiloide : représentation de la répartition des revenus médians (division en 2 partis égale). Ressemble à une poire moisie et desséchée. Haut de la hiérarchie: forme étirée vers le haut. Plus

class » qui regroupe des gens supérieurs de la classe moyenne et avec des besoins considérables. Leur chez-soi est cossu. Ensuite au milieu de la pyramide se situe la « middle class » ou « bonne bourgeoisie » qui rassemble beaucoup de personnes. Cette bourgeoisie comporte les commerçants en gros, les chefs de bureaux, les grands commis... (Patrons d’entreprise, médecins, ingénieurs, notaires…). Leur mode vie est aisée, les personnes appartenant à cette classe gagnent bien leur vie et possèdent tout comme

Introduction : La notion de classe sociale est apparue au XIXème siècle. Avant cela, la société était divisée en trois ordres, à savoir le clergé, la noblesse et le tiers état. Suite à une révolution politique puis industrielle, la société française en ordres va se défaire pour devenir, par la suite, une démocratie, c'est-à-dire une société politique d’égalité entre les individus dans laquelle le pouvoir revient au peuple. A cette époque, l’économie nationale et internationale se met en place

du terrain est désignée par le vocable d’ethnographie sociologique (Stéphane Beaud et Florence weber 1997)   Les études présentées portent sur trois grands thèmes : Celui des classes sociales et du rapport qu’elles entretiennent avec la ville. La grande bourgeoisie, la classe ouvrière et les classes moyennes et supérieures vont être analysés. L’auteur parle alors de territorialité bourgeoise avec un regroupement spatiale volontaire soumis à aucune contrainte économique. Il va alors analyser

9 et 6,5 points. Notamment de par ce constat et sachant que les classes populaires représentent un groupe social dominé au plan professionnel et statutaire, pouvons-nous affirmer que le concept de classe populaire est obsolète, dépassé, pour rendre compte de la réalité sociale en France contemporaine ? Nous mènerons cette étude en montrant premièrement les mesures dans lesquelles il est possible de parler d’un déclin des classes populaires en France, puis, dans une seconde partie, pourquoi cette

Louis CHAUVEL, « Le retour des classes sociales ? » Revue de l’OFCE, octobre 2001 Cet article se pose comme une synthèse empirique sur les 50 dernières années avec une réévaluation de la question des classes sociales. Absente du champ politique, cette notion demeure importante dans le champ sociologique. Un constat historique simple pousse à questionner l'affirmation de la fin des classes sociales. Nous pouvons distinguer deux périodes : L'après-guerre: caractérisé par une croissance rapide

groupes sont appelés des classes sociales. I. L‘étude de la stratification sociale A. Les approches fondatrices 1. Les anciennes approches L’approche marxiste : Marx est un allemand (1805 – 1883) qui a connu l’industrialisation britannique. Il conteste le système capitaliste et voudrait que tout le monde soit communiste. Marx dit que la société est une société de classe et que la base de la société est le déterminisme économique. La classe sociale présente 2 critères : La classe en soi : les individus

l’on peut appeler les classes moyennes, qui sont dans une incertitude relativement forte. Les doutes que l’on peut avoir aujourd’hui s’opposent avec la situation des Trente Glorieuses, caractérisée par le sociologue Henri Mendras comme un mouvement de moyennisation. On peut définir ce terme comme étant un phénomène de réduction d’inégalités (mesurées par des indicateurs quantitatifs), mais également un effacement des frontières sociales (le mode de vie des couches moyennes se diffusant, il y a une

plus grande vulnérabilité à la pauvreté (précarité du travail, monoparentalité, divorce) Mesure du seuil de pauvreté 50 ou 60 % du revenu médian parer unité de consommation C. De nouvelles frontières sociales Doc 18 l’hétérogénéité des classes moyennes L’Observatoire des inégalités (nombreuses données) http://www.inegalites.fr/spip.php?article1308 http://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/revue/9-79.pdf En matière de niveau de vie, ouvriers et cadres supérieurs s’éloignent. Jusqu’au milieu des