Clercs Et Laics

médiévale, nous allons montrer leur façon de vie. Au Moyen-âge en Occident, presque toute la population est chrétienne catholique. Elle croit en Dieu, en Jésus-Christ et son message. Elle croit au jugement dernier. Elle est composée de clercs et de laïcs. Le chrétien a des obligations et respecte les sacrements ; la messe est au coeur des pratiques catholiques. - Le chrétien doit gagner son paradis : il craint l’enfer. Le chrétien multiplie donc les actes pour le pardon de ses pêchés : Il

l’évêque est le représentant local de l’Église. Il est chargé de participer aux différents conciles qui organisent la vie religieuse et ecclésiastique de l’empire et du monde chrétien. ( Nicée 325 ). Ceux-ci conduisent certains laïcs de haut-rang à prendre un engagement devant Dieu en renonçant au monde et à leurs biens, il se retirent dans leurs domaines ruraux et se promettent de vivre dans la chasteté pour servir Dieu, dans l’action ou la

(supra), se constitue véritablement en discipline autonome, indépendante cette fois de la théologie. On peut maintenant définir ce droit comme l’ « ensemble des règles régissant l’Église, relatives à son organisation, aux droits et obligations des clercs, à la condition des biens ecclésiastiques, à sa juridiction. Ces règles sont tirées des Écritures saintes, des écrits des premiers Pères de l’Église, des décisions des conciles ou canons, des dispositions des papes dans leurs lettres ou instructions

hérétique : interrogatoire à l’Inquisition de Bologne (9 décembre 1303) Accroche : Le texte présenté est le parfait exemple d’un interrogatoire mené par l’Inquisition au XIIIe siècle. Il expose alors la vision de l’Eglise et du clergé qu’ont certains laïcs adeptes de la pauvreté évangélique. Nature du texte : Ce document est un compte-rendu de la première injonction (convocation) de l’interrogatoire de Bologne du 9 décembre 1303. Il fut mené par le Frère Guido de Vicence, dominicain de l’Ordre des

porté son corps au monastère, mais qu’il ne l’avait ni reçu ni enseveli et qu’il n’avait point fait d’office pour lui, et qu’au contraire il avait fait reporter le corps au delà de l’eau, où les soldats eux-mêmes l’avaient enterré, sans qu’aucun des clercs y assistât comme on le voit à la ligne 9 « le vicomte excommunié fut porté au monastère par ses vassaux à mon insu » et ligne 11 «  nous ne l’avons ni reçu ni enterré ». Dans le principe, les grands abbés ne peuvent ni excommunier ni absoudre, mais

- Le pouvoir renvoie aux rapports de domination qui existe sur les territoires, les hommes et les institutions. Toutes les formes et tous les acteurs du pouvoir doivent être pris en compte : le pouvoir royal, le pourvoir des aristocrates laïcs (princes, comtes mais aussi seigneurs châtelains), mais aussi celui du pape et des évêques ou encore des monastères et des abbés. Certain ont parlé de potestas et d’auctoritas. → Analyse de la formulation de l’énoncé et du « et » [à faire

une province. L'évêque dirige une diocèse. Le prêtre dirige une paroisse. L'abbé qui a une autorité sur les moines ils se retire du monde pour pouvoir prier ensemble SENOBITE ou alors tout seul c'est alors un ERMITE. Les clercs eux vivent des dîmes ils se distingues des laïcs. Toute cette institution se bat contre la Simonie et le Nicolaïsme. La puissance de l'église se caractérisait aussi par ses pouvoir exercés sur les croyants comme le mariage limiter au 4 degré de parenté elle condamne aussi

Ambroise, St Augustin …). Le droit canonique va puiser ces idées chez ces penseurs. Les coutumes conforment au droit canonique écrit, les constitutions impériales qui peuvent être relative au patrimoine de l’Eglise, au statut, à la discipline des clercs. Chapitre 3 : L’administration de la justice. L’organisation judiciaire est très étroitement calquée sur l’organisation administrative. Les deux fonctions administré et jugé d’autre part sont remises entre les mêmes mains ce qui signifie que l’administrateur

religieux : c’est une force politique et sociale. B – L’AUTORITE SOCIALE DE L’EGLISE L’Eglise en rivale de l’ordre féodal à cette époque à cause de sa force et sa cohérence. C’est une force sociale qui va réguler la vie quotidienne des laïcs (pas membres du clergé) = l’Eglise va être un rempart contre les désordres et la violence que la féodalité entraine dans la société, mais elle veut aussi réguler les désordres que la féodalité entraine dans l’Eglise. Pour cela, les autorités ecclésiastiques

domaines laïcs Ils appartiennent à des propriétaires laïcs : emp, rois ou gds laïcs. Le Roi s'est approprié tout les domaines qui appartenaient autrefois au fisc impérial Romain et toutes les terres confisquées pour trahison. Le Roi n'a pas de capital fixe, il se déplace de gds domaine en gd domaine et consomme la prod° de l'exploitation. Il peut également aller dans un domaine dont il a fait donation à l'un de ses fidèles et dont il s'est réservé la jouissance : droit de gîte. Les gds laïcs : ducs