Clergé régulier

Au Moyen-Age, du XIème au XIIIème siècle, en Occident, l'Eglise, qui représente l'ensemble de la communauté des fidèles et des clercs, tient une place importante dans la vie des habitants des ville. Les membres du clergé sont nombreux. Mais comment l'Eglise prend-elle en charge les hommes ? Nous verrons en premier lieu comment l'Eglise affirme son autorité au Moyen Age, avant de nous intéresser au quotidien d'un chrétien à la même époque face à une Eglise de plus en plus intransigeante en second

. Elle dispose de son propre statut , c'est une institution puissante . L'Eglise est une institution qui est stable , depuis le début du Moyen Age . Elle est riche . Il y aura une entreprise de réforme . Ils vont vouloir réformer le clergé . Ils vont faire du clergé un élément de réformation. La plupart des députés de l'assemblée constituante est catholique , ce n'est pas la première décision non étonnante . Cette assemblée au mois d'aout 1789 . ces députés vont supprimer la dîme . Cet impot etait

L’organisation de l’Eglise catholique. Héritage du MA, le clergé constitue le premier ordre du royaume. Le clergé s’oppose aux laïques, c’est donc un ordre et un corps puissant parce qu’il est riche et dispose de nombreux privilèges fiscaux, judiciaires et politiques. Parmi les privilèges politiques, possibilité de tenir une assemblée d’ordre, celle du clergé, existe depuis 1560. L’assemblée du clergé permet de régler problème d’ordre interne et sert aussi à voter un don gratuit au roi, une contribution

que le roi réaffirme que le catholicisme est la religion du royaume et donc celle du roi. Elle doit donc se rétablir dans tous les lieux où elle était présente avant les conquêtes protestantes. On ordonne même de restituer les biens immobiliers au clergé. Par cette article, le roi réinstalle la religion catholique comme la première religion du royaume et redonne au protestantisme sa place de minorité. De plus , ce rapport d'inférieur à supérieur est renforcé par la dénomination de la religion

guerres de religion pour Ronsard, le sacre de Napoléon III pour Victor Hugo, la terreur nazie pour Pierre Emmanuel, les poèmes deviennent des armes de combat. Ronsard, dans les « Discours sur les misères de notre temps » condamne les excès du clergé catholique : “Mais que dirait Saint Paul, s’il revenait ici, De nos jeunes Prélats qui n’ont point de souci De leur pauvre troupeau, dont ils prennent la laine, Et quelquefois le cuir: qui tous vivent sans peine, Sans prêcher sans prier sans

spirituels en particulierles charges ecclésiastiques et le sacrement-> conflit avec Philippe 1er lutte contre l'investiture -> conflit avec Henri IV Destinataire : les personnes cultivées, noblesse + clergé, mais plus particulièrement les grands d'Europe, rois et empereurs, ainsi que les grands du clergé comme les évêques. Contexte : Eglise catholique a beaucoup perdue de sa puissance et de son influence : conflit nombreux avec les rois et empereurs qui tentent d'imposer leur domination et de

opposition au nouveau régime créé par la révolution française. La société française est divisée en 3 ordres mais en fait en 2 groupes sociaux : les privilégiés 2% (noblesse et haut-clergé) et le Tiers-état 98% (le reste). Cette société française est donc hiérarchisée en 3 ordres qui ont des fonctions bien particulières. Le haut-clergé, le plus riche et le moins nombreux, il a la préséance, c’est le premier ordre. Leurs rôles sont de s’occuper de l’instruction, de s’occuper des pauvres et le service du culte

Marquis de Sade Les Infortunes de la Vertu - Collection Romans / Nouvelles - Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.inlibroveritas.net Table des matières Les Infortunes de la Vertu.........................................................................1 Les Infortunes de la Vertu...................................................................2 i Les Infortunes de la Vertu Auteur : Marquis de Sade Catégorie : Romans / Nouvelles Justine, jeune fille

la personne d'Erasme appelé le prince des humanistes, mais aussi des hommes religieux comme le moine allemand Martin Luther, ou des artistes . Même la hiérarchie catholique finit par accepter ces critiques . Ce sont toujours les mêmes. ← Le clergé est accusé de mener un mode de vie trop laïc et d'avoir des moeurs relâchés, ce qui pose la question du rôle du prêtre « impie » dans l'administration des sacrements. (cf. «Comment gagner le paradis?») ← La richesse de l'Eglise catholique est

qu’éclairer la dévotion des asturiens implique d’abord une intensification de la formation culturelle des ecclésiastiques. Il part de l’idée que l’une des obligations les plus importantes de la fonction épiscopale est d’instruire et de former son clergé (…)». (p. 184). N’est-ce pas sensiblement la même situation au Portugal de cette époque ?