Clergé régulier

faire face à cette crise qui est une très vieille institution monarchique : c la réunion de représentants des 3 ordres = la noblesse, le clergé et le tiers état, chaque ordre =une voie. Les tiers états manifestent son mécontentement : le système n’est pas égalitaire ni représentatif. Les tiers états n’ont qu’une voie donc il fait appel à la noblesse et au clergé pour faire une assemblée nationale. Le tiers état se constitue seul en assemblée nationale le 17 Juin 1789 sur motion (proposition) de

avec l’affirmation de la chrétienté constituée par une communauté de fidèles croyant en Jésus-Christ aussi appelée l’Église avec un « É » majuscule. Les chrétiens qui sont au service de l’Église forment le clergé, les autres sont de simples laïcs (c’est-à-dire qu’ils ne font pas partie du clergé). L’adhésion des chrétiens à une même foi et à un même système de valeurs permet non seulement un dépassement des divisions qui marquent cette Europe médiévale mais surtout une prise de conscience d’appartenir

vis-àvis de ses décisions. La nouvelle confédération est toutefois minée par les dissensions internes entre ces deux courants :  Un courant conservateur : les statistes. Ce courant est dirigé par Van der Noot, un avocat bruxellois soutenu par le haut-clergé, l’aristocratie foncière, les oligarchies municipales et provinciales, les corps et métiers. Il souhaite restaurer les privilèges de l’Eglise, des Etats provinciaux. Il défend un programme théocratique, conservateur et 1 1 Qu'est-ce qu'un monarque

qui combattent : les bellatores - Ceux qui travaillent : les laboratores Cette présentation de la société débute aux alentours de l’an 1000 et termine en 1789 au moment de la révolution. Chacun de ces ordres à une fonction bien précise. Le clergé doit prier pour tous, la noblesse doit combattre l’ennemi et le tiers état doit nourrir les deux autres ordres. Aucun d’entre eux ne peut sortir de son rôle. Cette division est née de la noblesse, elle apparait en l’an 1000, sous les carolingiens

au moyen âge : 1. Le prime ordre est le clergé qui prie pour le salut de la France (oratores), qui assume donc une mission spirituelle fondamentale. Ceci lui vaut en contrepartie l’exonération fiscale, à l’exception d’une dotation périodique due à la couronne au terme de négociations sordides : le « don gratuit du clergé », soit un forfait global réparti ensuite entre les différentes composantes du clergé. On distingue traditionnellement le clergé régulier (moines et moniales) vivant dans des monastères

procès-verbaux — ainsi celui du sacre de Philippe Ier en 1059/60 — ou par des rituels liturgiques, les ordines ad consecrandum regis, tel celui de Fulrad. Tous ces textes révèlent une structure tripartite : 1 Hugues Capet ne cessera d’agir en chef de son clergé. Robert le Pieux est homme d’Église chantant au lutrin, présidant les conciles, discutant personnellement contre les hérétiques, entouré de prélats et d’abbés. Louis le Gros chevauche entouré de clercs et de moines et mourra vêtu d’habits religieux

legitimiste. Son existe montre la volonté des intellectuels catholique de ne pas laisser la science seulemet aux rationalistes. Meme si la majorité des noms retenus du 19eme sont libéraux et démocrates. A cette epoque 1 historien sur 6 est membre du clergé catholique et 1 ouvrage historique sur 4 aborde l’hitoire du christianisme. Il interessant d’opposer RQH a la Revue historique fondé en 1876 protestante et republicaine : un des fondateurs Gabriel Monod (famille composé de nombreux pasteurs). Renvoie

ronde. Au Sud Ouest se trouve une approche naturelle défendue par une série de mur et d’une barbacane. La courtine située à l’Est est un mur-bouclier aveugle, d’une épaisseur d’environ 4 m[5]. L’ensemble de la construction est faite d’un appareil régulier avec un léger fruit ( ?) à la base[6]. Le long des courtines se trouvent les bâtiments du corps de logis, entourant la cour intérieure. Le donjon se compose, à l’origine, de trois niveaux. Le rez-de-chaussée se divise en deux parties : une citerne

Brétigny-Calais de 1360. 5 C.T. Allmand, Lancastrian Normandy, 1415-1450. The History of a Medieval Occupation, Oxford, 1983. Cahiers de Recherches Médiévales, 13, 2006 106 Philippe CONTAMINE Pendant des siècles, la société française (clergé régulier et clergé séculier exclus) fut politiquement et socialement dominée par un étroit milieu aristocratique, qu’on peut si l’on veut qualifier de féodal, organisé en lignages patri- ou matrilinéaires, donc en pratique sinon en principe héréditaire, qui

sont appelées des décrétales pontificales. La présence d’une hiérarchie ecclésiastique est également à noter : les évêques représentent le rouage fondamental de la hiérarchie. Chaque évêque dirige un diocèse ou il est souverain. Il existe aussi un clergé inférieur. 2) Eglise et droit Le droit de l’église servira aussi de modèle. Il se fera dés le 1er siècle. Il apparait comme une œuvre de synthèse entre les règles juridiques contenues dans l’ancien testament et tout les écrits qui ont suivi.