Clivage Ethnique

bloquée depuis longtemps * Beaucoup de ressources donc ils y sont attachés * Dès 1960 des troubles grave éclatent qui mènent à l’indépendance * Indépendance acquise mais européens se font massacrer * On voit apparaître des rivalités ethniques mais aussi entre les Deux Grands qui soutiennent leur candidat * Début d’une guerre civile qui finit en 1965 * Coup d’État à Mobutu qui met fin à la guerre civile (-> 1997) C) Les dernières indépendances * Fin des colonies portugaises

L’adaptation aux sociétés étatiques A) les conditions du pouvoir diffus Même rousseau pense que la démocratie directe n’est pas possible, ça suppose des petites nations, ou tout le monde se connait, sociétés où il y a peu de richesse, pas de clivages sociaux, une certaine égalité entre les personnes. Pourtant certaines sociétés indiennes sont nombreuses ( elles sont émiettés pour éviter le despotisme) Nous sommes obligé de désigner des représentants. B) De la démocratie directe à la démocratie

rassemble! Culturellement, cette différence entre nos deux communautés s'exprime clairement par l'emploi de langues différentes. Mais, au fait, pourquoi parle-t-on le néerlandais au Nord du pays et pas le français comme en Wallonie? Pourquoi un tel clivage dans un pays que nos historiens unitaristes nous présentaient jusqu'à il y peu comme ayant toujours virtuellement existé? Comment est-il possible que cette unité, soi-disant séculaire, ne s'est même pas exprimée dans le choix d'une seule et même langue

pensée universaliste marque une continuité. Dans son livre, Le choc des civilisations (Huntington 1998), Samuel Huntington postule que la civilisation représente le niveau d’identification culturelle le plus large après la famille, le groupe ethnique ou encore la nation. La thèse centrale de son analyse affirme que les civilisations1 entrent inévitablement en conflit. Notre propos ne sera pas de discuter de la véracité de cette hypothèse, mais plutôt d’en comprendre les implications épistémologiques

régionale : il est le seul à pouvoir oser l’expansion (au moins économique) quand les autres « Nord » privilégient le limes défensif. De plus, le Japon est difficilement assimilable au Nord sur le plan culturel, dès lors qu’il représente un ensemble ethnique et historique différent des autres centres du Nord. Les Etats-Unis, l’Europe et la Russie seraient les principaux promoteurs du limes Nord / Sud en même temps que les garants de l’identité « Nord » ou Occidentale. Chacun d’eux est confronté à un

multitude d’autres définitions. Dans le cas où l’on prend ce point départ pour mener ensemble notre réflexion on va donc définir la discrimination comme le fait de traiter des individus d’une meilleure façon que d’autres en créant entre ces groupes un clivage. A cette séparation va s’ajouter une stigmatisation de ces groupes non traités d’égale dignité. Cela est considéré comme le résultat d’une manifestation d’une inégalité basée sur des critères prohibés car subjectifs ce qui représente un réel danger

de l’« autre » et de l’exogroupe auquel il appartient. Les individus peuvent être la cible de préjugés à cause de leur appartenance à une catégorie sexuelle ou ethnique, ou à cause de leur âge ou d’un handicap physique ou mental. Il existe donc différents types de préjugés, tels que les préjugés raciaux et ethniques, sexistes, religieux, sociaux ou encore moraux. On peut donc avoir des préjugés envers des membres de n’importe quelle catégorie sociale. Par conséquent, les préjugés se

(dualisme entre Occidentaux et Orientaux) 3. Les relations entre l’Etat et l’Eglise, du point de vue de la question scolaire entre écoles privées et publiques. Partant de l’hypothèse dualiste, on arrive à la conclusion qu’il y a différents clivages en France, mais qui diffèrent en fonction de l’enjeu politique (ex : en économie, on retrouvera à par exemple à gauche le parti dirigiste, le parti socialiste ; tandis qu’à droite on retrouve le parti radical,...). On retrouve alors en France 5 forces

pour la-les société(s) et pas seulement pour la personne qui en est le siège et qui s’autodétruit lentement : • Clivage : barrière étanche que met l’individu entre ce à quoi il se réfère (par ex. « Au nom du dieu miséricordieux ») et l’acte : tuer. Ou entre ce qu’il déclare « libération-bonheur de l’humanité » et ce qu’il met en œuvre « dictature du prolétariat », goulags, etc. Le clivage ou schize se retrouve pareillement dans les distinctions qu’opère le militant entre lui et l’extérieur, (l’aryen

désormais plus facilement accès aux biens de consommation courante : chacun à une voiture, une maison individuelle. Ceci traduit un phénomène de moyennisation social, c’est-à-dire l’émergence d’une vaste classe moyenne, s’accompagnant d’une réduction des clivages sociaux : cette classe moyenne est principalement constituée de professions intermédiaire, de certains cadres, d’employés puis d’ouvrier plus qualifié : c’est la « constellation social » d’Henri Mendras. L’étude de l’Insee sur l’évolution de la