Clonage thérapeutique

familiale. L'enjeu de la bioéthique est tout d'abord de faire la part des choses , entre ce qui est médicalement possible ou scientifiquement envisageable et ce qui n’est pas toujours moralement et humainement acceptable, quand bien même l’argument thérapeutique serait mis en avant. La dignité de la personne humaine doit rester au centre des débats. On peut se la posée par exemple a propos de la gestation pour autrui ( les mères porteuses) ,des dons d’organes ou encore de la recherche sur l’embryon.

l’embryon. (Ex : loi du 17/01/1975 dite loi Veille qui met, l’IVG ss certaines conditions lorsqu’une femme se trouve en détresse, depuis elle a été assouplie, le délai d’avortement est passé de 10 à 12 semaines). L’IVG pr considérations d’ordre thérapeutique tt au long de la grossesse.Autoriser l’IVG laisse penser que l’embryon n’est pas une pers. puisque sinon on parlerait d’homicide s/ enft à naitre (arrêt de la Cour de Cassa, chbre criminelle du 30/06/1999, n° de pourvoit 97-82351). La cour de cassa

plus, il faut purifier la population cellulaire des cellules souches restantes, qui pourraient dans le cas contraire entraîner des tumeurs. De plus, des chercheurs Australiens ont annoncé avoir réussi à créer des lentilles de contact à visées thérapeutiques. En effet, ces lentilles portent des cellules souches permettant la réparation de la surface oculaire ainsi que l’amélioration de l’acuité visuelle des patients. Deux des patients étaient atteints de mélanome de la surface oculaire et un des patients

et de les répertorier. Son principe consiste à insérer des gènes qui fonctionnent correctement dans des cellules malades ce qui permet de compenser la défaillance du gène responsable de la maladie. Son rôle est d'apporter le transgène (vaccins thérapeutiques ou produits d'immunothérapie) nécessaire aux cellules. Grâce à ces nouvelles techniques, de nouveaux espoirs naissent pour soigner des maladies jusqu'à aujourd'hui incurable. Pour cela, on va partir de l'origine de ces maladies: le gène. C'est

autrui, de ne pas lui porter préjudice et rejoint, dans leurs grandes lignes, les positions libérales et libertariennes. La vie, la mort, l’Etat, plonge alors cette éthique dans le domaine de la bioéthique : l’euthanasie, la gestation pour autrui, le clonage, l’assistance médicale à la procréation, etc., est-ce des pratiques qui nuisent à autrui ? Si la réponse est affirmative, on comprend pourquoi l’encadrement coercitif est justifié, alors que si elle est négative, celui-ci devient moins intuitif…

très stricte. Ces recherches ne sont autorisées que si elles sont « susceptibles de permettre des progrès thérapeutiques majeurs » et s’il n’existe pas de « méthode alternative d’efficacité comparable ». En tout état de cause, il est interdit de créer des embryons à des fins de recherche. De plus, le clonage est interdit en France que ce soit pour la mise au point de traitements thérapeutiques ou pour la création d’un être humain à l’identique. Le dernier grand apport de loi dans les textes législatifs

exemple la vente d'organes, n'autorisant que le don. Avec la loi du 6 août 2004 modifiant celles de 1994, le terme de « bioéthique » apparaîtra pour la première fois en droit positif français. Elles traitent de deux thèmes majeurs : la question du clonage de l'embryon et des prélèvements d'organes. L'article 40 de la loi prévoyait une révision en 2009. Elle a été repoussée à 2010, et doit s'appuyer sur un rapport 12, qui contient 95 propositions (dont le maintien de l'interdiction de gestation pour

santé publique, mais on peut trouver un extrait de ce code dans le code civil art. 311-20 d’après l’art L.2151-3 « Un embryon humain ne peut être ni conçu, ni constitué par clonage ni utilisé, à des fins commerciales ou industrielle. » D’après l’article 2151-2, « la conception in vitro d’embryon ou la constitution par clonage d’embryon humain à des fin de recherche est interdite. » L’expérimentation d’embryon est possible lorsqu’un couple est passé par une PMA à abandonné tout projets parental

enfant représente pour autrui. Reste interdite la conception d’embryon cloner pour faire naitre un enfant identique à la personne existante. On interdit le clonage reproductif, crime contre l’espèce humaine, il vise à réaliser la copie d’un être humain et à faire naitre un être humain identique à un autre. Ce clonage se distingue du clonage thérapeutique qui vise à créer des embryons non pas pour les faire naitre mais pour produire des cellules servant à réparer des tissus. Les cellules embryonnaires sont

Protection de l’intégrité physique de la personne. Pbl du statut du corps humain, pris en compte par le législateur qu’en 1994. Depuis 1994 un corps de règles consacre un lien très fort entre le corps humain et la personne. Art 16-4 : interdit le clonage La loi du 29 juillet 1994 a crée un nouveau titre au code civil : du respect du corps humain. Création d’un statut juridique du corps humain. L’art 16-1 et une autre loi forme un ensemble connu sous le nom de lois bioéthiques. La loi du 6 aout