Clonage thérapeutique

embryons.On peut donc dire que le régime juridique de l'enfant conçu varie en fonction du regard qu'on lui porte: qu'il soit issue d'un projet parental et déjà imaginé dans le cadre de la famille ou qu'il soit congelé pour être utilisé à des fins thérapeutiques le regard que l'on porte sur lui va intégralement évoluer.Et, le Droit, va devoir rendre possible toute ces visions dans une législation qui reste la plus logique et évite les exceptions ou les raccourcis.L'embryon n'est donc pas doté d'une personnalité

prise de la pilule RU 486 après avoir effectué les démarches obligatoires (visites médicales, entretien social pour les mineures,…). Certaines femmes doivent avorter pour des raisons médicales, on parlera alors d’Interruption (ou d’avortement) Thérapeutique de Grossesse.) Position du problème Le législateur a eu l’occasion de réfléchir à cette question à différentes reprises -Le législateur a réfléchi à X réponses : Loi sur IVG : délit pénal mais tolérence, répression pénale ne s'applique

pratiqués tous les ans en France. La loi Veil pose un compromis entre le droit de l’embryon à la vie et le droit de la femme de disposer librement de son corps. Il existe deux types d’interruption de grossesse sont autorises par la loi : L’avortement thérapeutique dans le cas où la grossesse met gravement en danger la santé de la femme ou s’il existe une forte probabilité que l’enfant à naître soit atteint d’une maladie incurable. L’interruption volontaire de grossesse ou IVG peut être pratiquée dans le

mutations génétiques à des fins diagnostiques et la médecine prédictive diagnostic prénatal, préimplantatoire... thérapies géniques, thérapies cellulaires, transgénèse, xénogreffes , cellules-souches, clonage. 2. Des questions de sens et de limites : le sens de l'activité médicale, thérapeutique, scientifique... les limites à poser à cette action pour respecter l'humanité en Fhomme. Comment en juger ? Différentes approches possibles : - approche utilitariste - approches déontologiques : quels

en compte les particularités de la personne. B. Au stade de la peine. La peine dépend parfois d'un mobile spécifique. Loi du 6 août 2004, bioéthique, infraction de clonage. La peine varie selon le mobile. Soit il s'agit d'un clonage thérapeutique alors la peine est de 7 ans, soit il s'agit d'un clonage reproductif alors la peine est de 30 ans. Certains mobiles constituent une circonstance aggravante. Mobile raciste concernant des violences, mobile concernant des violences homophobes

L’INFORMATIQUE DE L’ENTREPRISE 1- Organigramme de la direction informatique Ce département dirigé par le PR Patrice Degoulet gère l’informatique médicale (dossiers médicaux de spécialités, compte rendus d’examens, prescriptions, actes thérapeutiques, etc.…), la gestion administrative des patients et de l’hôpital (comptabilité de l’établissement, état civil des patients, facturation) et des services logistiques (achat, transport tortues et valises autoguidées). Au total 49 personnes (ingénieurs

de à ce jour de réponse absolue. Ces questions morales se posent avec encore plus d’acuité dans le domaine des sciences. Les frontières du connu et du possible sont sans cesse repoussées. Que devons-nous en faire ? Le problème du clonage dans une vue thérapeutique est loin d’être réglé. Les données scientifiques ne sont pas stables et à ce jour - semble-t-il - pas totalement fiables. Il est très probable qu’à échéance plus ou moins brève, les scientifiques auront des réponses techniques sures

personne ait été recueilli conformément à la loi. Hors les cas qu'elle excepte, la loi interdit qu'une intervention thérapeutique soit pratiquée sur une personne sans le consentement préalable de celle-ci (article 16 al 1er du Code Civil "il ne pet être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l'intérêt thérapeutique d'autrui"). On trouve également l'article 1111-4 du code de la santé publique qui suppose "qu'aucun acte médical

une info préalable qui par principz doit etre claire complete et loyale autres situations encore + complexes : pers incapable de sexprimer, ds le coma « (…) or le ca sou son etat rend nécessaire une inter thérapeutique a laquelle il n'est pas à même de consentir » article 16-3 therapeutique et pas medical ! Voyons quelles sont les limites du principe dinviolabilité du corps humain Limites subies, limites consenties limites subies ne rentrent pas parfaitement ds larticle 16-3 ds certains cas

dysthanasie 2. L'euthanasie passive ou orthothanasie Section 2. Le droit à la protection de la santé § 1. Le développement des droits des malades A. Le droit à l'égalité des soins B. Droits du malade et obligations du médecin dans la relation thérapeutique 1. Le droit à l'information médicale 2. Le droit de consentir à l'acte médical 3. Le droit au secret médical 4. Le droit à la prise en charge de la douleur et à l'accès aux soins palliatifs Section 3. La protection de la dignité humaine et de