Clown maléfique

Les clowns. Par François Cervantes Nous sommes le 6 janvier 2012, en route pour Arles voir un spectacle nommé Les Clowns. J'attendais depuis longtemps cette pièce car tous ce qui se rapporte au cirque en général m’intéresse particulièrement. François Cervantes, metteur en scène du théâtre moderne,a écrit ses premières pièces en 1981 et monta sa propre compagnie baptisée L’Entreprise en 1986. Il a déjà, au paravent, travaillé avec des clowns, notamment un, en particulier, dénommé Arletti

et qu’il ne soigne pas, le clown à l'hôpital a des vertus thérapeutiques. Il pourrait bien être lui-même une sorte de remède, une pilule du bonheur. En l'emmenant dans un monde imaginaire, le clown va permettre à l'enfant hospitalisé de continuer d'exister et de se développer. Par le jeu, la stimulation de l'imaginaire, la mise en scène des émotions, la parodie des pouvoirs, les nez rouges du Rire Médecin permettent à l'enfant de rejoindre son monde. L'« effet-clown » n'agit pas que sur l'enfant

des pièces classiques, le spectacle est total. Le maquillage des personnages (teint très rouge pour Hamm et Clov et très blanc pour Nagg et Nell) rappelle l’univers du cirque et clownesque (le teint très rouge pour l’auguste et très blanc pour le clown blanc) ainsi que le tour de piste que fait faire Clov à Hamm à la demande de ce dernier ou encore les exagérations de gestes (saupoudrage frénétique de pantalon avec la poudre que fait Clov pour tuer la puce) et de paroles. Des passages comme le dressage

des spectacles pour le cirque du soleil et autres grands accomplissement, Daniele Finzo Pasca était le compositeur et metteur en scène par excellence pour rendre hommage au grand Tchekhov. « Je viens d'un théâtre profondément imprégné du langage des clowns, des jongleurs du monde délicat et magique de l'acrobatie. C'est ainsi que je raconterai Tchekhov. » C'est ainsi que commence la présentation, dans un calme total, seulement deux personnages sur scène, grandement excité à rendre hommage à un homme

». Bertrand Siffritt. COLLECTIF MASQUE 5 George Dandin MARIO GONZALEZ Metteur en scène Au lendemain de 1968, Mario Gonzalez entrait dans la troupe d’Ariane Mnouchkine, il y restera huit ans. Son premier rôle : « Pépé la moquette » dans Les Clowns, une création collective à partir d’improvisations. Il participe ensuite à 1789 et L’âge d’or, avant de prendre son envol et de jouer dans plusieurs spectacles mis en scène par Benno Besson, Petrika Ionesco, Jérôme Savary, Jean Pierre Vincent etc

inachevés ? Les Fratellini sont une famille d’artistes de crique d’origine italienne. A l’origine, les Fratellini étaient quatre frères : Louis, Paul, François et Albert. À partir de 1894, les aînés travaillèrent ensemble : Louis comme clown et Paul comme auguste ; ils exécutaient ce que l'on appelle en terme de métier des « reprises », c'est-à-dire des intermèdes comiques entre les numéros. François, qui fut d'abord écuyer, avait monté avec Albert un numéro acrobatique burlesque en gentleman

aliénants. Le rire est source de divertissement pour des personnes malades, se battant pour vivre et permet le temps d’un instant de se sentir « normal ». Comme par exemple l’association fondée à Lyon en 1995 Docteur Clown qui consiste à envoyer auprès des enfants malades des clowns, afin de les faire rire, pour oublier leur maladie. Bien que le rire semble naturel il y a des situations qui le favorisent. Pour échapper au stress, à la fatigue on recherche le divertissement sous toutes ces

Notre corpus est composé d’une imageiconographique, couverture n°3 de la revue Humoresques Corhum, Association pour le Comique, le Rire et l’HUMour 1998 ; Un texte de Boris Vian intitulé « J’suis snob » paru en 1955 ; Un texte de Tristan Rémy « Le Clown » tiré d’une Encyclopédie Universalis, enfin, un texte écrit par Eric Perrin-Saminadayar nommé « Rire d’Héraklès hier et aujourd’hui ». Nous allons ainsi nous interroger sur les causes que peuvent provoquer le rire chez l’individu, puis nous analyserons

visages et sa gestuelle à l’italienne. * Physique et apparences Malgré son apparence physique qui n’est pas à son avantage, Coluche a réussi à ce que le public puisse s’identifier à lui. Par ses costumes farfelus (salopette rayée, costume de clown) il réussit à capter l’attention du public grâce à son décalage entre son allure et les propos qu’il tient. * Intonation Sa voix qui est souvent utilisé de manière comique donnait plus de charme à ses sketchs. Il savait jongler entre différentes

Il apparaît au début du livre en caractères italiques dans un récit à la troisième personne, apparemment réduit à la fonction de témoignage détaché et objectif. En fait, parce qu’elles mettent en scène la présence mystérieuse et fascinante d’un clown au procès Papon, ces premières lignes sont une énigme, que le fil de la narration éclairera progressivement, jusqu’aux dernières pages qui apporteront une réponse définitive. Dans cette optique, Effroyables jardins reprend certains traits communs des