Club des Feuillants

et du Citoyen qui s'appuie sur les idées des Lumières. C'est une révolution politique: la monarchie absolue n'existe plus. Ces libertés permettent à la vie politique de s'organiser autour des clubs (associations politiques: Les jacobins, les feuillants, les cordeliers), et de journaux ( "L'ami du peuple" de Marat, " le père duschène " de Hébert, " le patriote français " de Brissot) qui permettent de faire connaître les idées des révolutionnaires. C) Une révolution sociale violente. Le roi

division en deux camps au sein de l'Eglise: les prêtres “réfractaires” et les prêtres “jureurs”. En 1791, l'Assemblée législative succéde à la constituante et l'on voit apparaître la division en différents “partis” au sein des députés: les Feuillants, à la droite, sont favorables au roi, les Constitutionnels siègent au centre et les démocrates, minoritaires, sont à la gauche. Ces derniers se regroupent en clubs dont les plus connus sont les Jacobins et les Cordeliers. La monarchie constitutionnelle

que cela limite les candidats avec une forte expérience politique. De plus, l’assemblée législative est une assemblée divisée. On retrouve ainsi 3 tendances : 
  A droite : le "club des feuillants", monarchistes conservateurs qui soutiennent le roi et regrettent que ces pouvoirs ne soient pas plus forts. 
  A gauche : le "club des jacobins" qui regrettent que les pouvoirs du roi ne soient pas plus faibles. Ils sont prêts à franchir le cap de la monarchie à une république 
  Au centre : les "indépendants

entend imposer ses droits par la force comme les sans-culottes sous la Révolution. Ces idées politiques sont celles de la droite monarchiste orléaniste libérale qui s’organise en parti politique, dès 1791, en créant le club des Feuillants, et qui fonde, plus tard, alors que ce club n’existe plus, une monarchie constitutionnelle parlementaire en France, en 1830, après la Révolution libérale de Juillet. Les monarchistes orléanistes sont libéraux mais pas pour une démocratie pure, c’est pourquoi ils

sur le modèle des clubs parisiens (le club des Jacobins, le club des Cordeliers…). Les journaux se multiplient et les citoyens français se passionnent pour la politique. À Paris, les sans-culottes (artisans, petits commerçants) sont les plus révolutionnaires. • L'affaiblissement des pouvoirs du roi et le contrôle du clergé divisent les Français : les monarchistes pensent que la Révolution va trop loin, que le roi doit garder plus de pouvoirs ; les Feuillants, sont modérés ; les Jacobins pensent

d’ordre. Elles sont le cadre d’apprentissage d’une forme de démocratie directe en même temps qu’un lieu de sociabilité pour les sans-culottes. Le club principal est celui des Jacobins ou autrement appelés « amis de la Constitution » mais plus la révolution évolue plus le club se scissionne, ainsi d’autres clubs se mettent en place comme : les Feuillants, les Montagnards, et les Girondins. 3) A quoi reconnaît-on un sans-culotte ? Le sans-culotte est d’abord un homme du peuple sans que ce mot

Girondins font voter des mesures contre les prêtres réfractaires. Veto du roi. 29 mai Licenciement de la garde soldée. 8 juin Vote de la formation d'un camp de 20 000 fédérés à Paris. 13 juin Renvoi du ministère girondin. Formation d'un ministère feuillant. 20 juin Journée de pression contre le roi et son droit de veto. 11 juillet Décret déclarant la patrie en danger. 14 juillet Camps fédérés à Paris. 25 juillet Manifeste de Brunswick. 9 août Une Commune insurrectionnelle se substitue à la Commune

villes. Le club des Cordelier, où Danton brille par ses talents d’orateur, est proche des milieux populaires parisiens, qu’on commence à désigner comme des « sans-culottes » (la culotte, serrée au dessus du genou, est un habit d’aristocrate, alors que le pantalon large et tombant jusqu’aux pieds est une tenue d’ouvrier ou d’artisan). Mais le plus important de ces clubs, rendez-vous des patriotes de toutes tendances qui y débattent avec passion devant un public nombreux, c’est le club des Jacobins

la Révolution s’arrête et ceux qui ne possèdent rien ou presque » ? A présent il y a deux camps chez les Révolutionnaires, les monarchistes et les républicains. Cette fracture s’exprime au sein des clubs à l’image des Feuillants, aile conservatrice des Jacobins qui abandonnent le club afin de rester dans la légalité. L’épisode de Varennes alimente les tensions entre un mouvement sectionnaire déjà en lutte contre le suffrage censitaire, qui ne se bat plus seulement contre le projet politique

royale, et son arrestation à Varennes. 25 juin Le roi est démis de ses fonctions par l’AN 13-16 juillet A l'Assemblée, débat sur la fuite du roi et décrets sur la réinstallation royale. 16 juillet Les « Feuillants » se séparent du club des Jacobins. 17 juillet Massacre du Champ-de-Mars. fin juillet Répression du mouvement démocratique. 4 août Levée des premiers bataillons de volontaires. 5 août « Déclaration de paix