Club des Feuillants

Danton, Maximilien Robespierre et Jean-Paul Marat. Certains comme Condorcet demandent même l'instauration d'une République. Par méfiance envers le peuple, Bailly et La Fayette, suivis par la majorité des députés, quittent le club des Jacobins pour fonder le club des Feuillants. Pour eux la Révolution est finie et il convient de stabiliser le régime en soutenant la monarchie constitutionnelle. La Fayette Dans une partie de l'opinion publique, le roi a perdu toute estime. De nombreux journaux révolutionnaires

le roi : le club des Feuillants, ce sont des modérés. Exemple : La Fayette : il est partisan de garder le roi, il est pour une évolution modérée. * ceux qui estiment que le roi est un traitre et qu’il faut le condamner : le club des Jacobins (ceux qui sont pour une évolution). C’est le début d’une division droite/gauche. Un événement va creuser le fossé : la fusillade du Champ de Mars en juillet 1791. Un club encore plus à gauche que les Jacobins est celui des Cordeliers (club très populaire)

états, apprennent qu’à partir du 6 mai, chaque ordre doit mettre en commun de son coté. Il y a beaucoup de députés que ça énervent, et vont s’organiser à versailles des clubs politiques où les députés discutent, le + célèbre est le « Le Club des Bretons ». Dans ce club, on trouve des députés du tiers, partisan des réformes, et c’est là que va émerger des figures, des leaders politiques, Mirabeau se démarque avec sa voix et affirme « Ne vous parait-il pas absurde de mettre en opposition les intérêts

avait violemment attaqué la bourgeoisie marchande et les grands principes révolutionnaires qui n'étaient que de vains mots, les montagnards avaient déclenché contre lui une campagne visant à le faire passer pour un contre-révolutionnaire. Exclu du club des Cordeliers puis des sections par la Commune, Jacques Roux fut arrêté le 5 septembre 1793 et se donna la mort plutôt que d'accepter la guillotine. Les autres enragés comprirent la leçon et à l'automne 1793, la faction des enragés n'existait plus

tout pas dépossédée de tout moyen d’info politique.  clubs politiques (Paris essentiellement) pouvaient participer à la vie politique, discutait, critiquait lois, économie, politique… Club des cordeliers avec grands orateurs RF MARRAT, DANTON). Milite pour le suffrage universel. Club des Jacobins : le plus grand club de la RF (payer doit d’entrée pour être admis, Robespierre etc…) A côté s’organisaient des tas de sociétés fraternelles. + Catégorie spécifique de pauvres : esclaves sont exclus. Esclavage

Danton, Maximilien Robespierre et Jean-Paul Marat. Certains comme Condorcet demandent même l'instauration d'une République. Par méfiance envers le peuple, Bailly et La Fayette, suivis par la majorité des députés, quittent le club des Jacobins pour fonder le club des Feuillants. Pour eux la Révolution est finie et il convient de stabiliser le régime en soutenant la monarchie constitutionnelle. La FayetteDans une partie de l'opinion publique, le roi a perdu toute estime. De nombreux journaux révolutionnaires

des clubs politiques qui vont se transformer en tendance idéologique (le club des Bretons, des Girondins, des Montagnards, etc...). L’idée est de définir une position par rapport aux états généraux et qui dépend du caractère plus ou moins radical que l’on veut donner à la Révolution. Le club des Jacobins est radical avec notamment Robespierre mais on voit d’autres clubs plus modérés apparaitre, notamment le club des Feuillants avec Sieyès. Comment les clubs vont-ils se transformer

partie de l’Assemblée constituante et son activité s’exerce d'abord sur la scène plus restreinte que sont les clubs et assemblées de district. Il est élu président du district des Cordeliers (dans le quartier de l’École de Médecine), qui devient le Club des Cordeliers quand les districts sont supprimés. Il y gagne tellement l’affection et la confiance qu’il est indéfiniment réélu à tel point que les journaux accusent les Cordeliers de lui être vendus. Malgré sa laideur, bien que brutal, effronté

salle des menus plaisirs et ne voulant pas se mettre dans l'inégalité, ils attendent que les autres députés les rejoignent pour une vérification en commun. Cette inaction dure un mois. Pendant cette période, les députés se rejoignent par groupes: le club breton.... Sur une suggestion de Sieyes, les députés du Tiers décident de passer à l'action. Le 10 juin, le Tiers Etat met les autres ordres en demeure pour qu'il le rejoigne. Dès le 12, le Tiers Etat commence la procédure de vérification. L'appel

déborder les forces modérés de l’AN à partir de la fuite du Roi. Ces forces extérieures sont le peuple de Paris, les journalistes (Desmoulins, Marat, Brissot) et les clubs (dont les plus célèbres furent le club des Jacobins (parti démocrate intransigeant), le club des feuillants ou encore le club des cordeliers). Avec la fuite du roi et l’échec des réformes constitutionnelles, la monarchie constitutionnelle de la constituante n’apparaît pas viable. Il faut réviser la Constitution. Le 3-14 septembre