Club des Feuillants

l'été 89 commencent à se méfier un peu, volonté de terminer la révolution ( ce qui ne veut pas dire la supprimer mais arrêter la révolution ) → les patriotes : menés par trois hommes : Duport, Barnaves, Lameth . = Triumvirat. Point de ralliement : Club Breton ( auquel appartient Le Chapelier ) Défendent une position assez modérée : partisans d'un véto suspensif de deux ans = veulent bien reconnaître au roi un droit de veto mais un droit qui a ses limites : loi peut être suspendue pendant 2 ans seulement

son état, a participé à l'instigation de la Révolution de 1789 en maintenant une position ferme contre l'Ancien Régime. Défenseur des libertés et porte parole de la bourgeoisie libérale montante, il est dans un premier temps rattaché à la création du Club des Jacobins (anciennement Société des amis de la Constitution et de la Liberté). C'est dans le prolongement de sa pensée post-révolutionnaire qu'Antoine Barnave, le 15 juillet 1791, prononce son dernier discours devant l'Assemblée nationale constituante

nationales. Surtout entre 1793 et 1794, elles ont pris le relais des élections suspendues. Le club emblématique est le club des Jacobins. On pourrait le qualifier de « proto--formation » politique car dans ce club les élus débattent directement avec les citoyens. Mais il n'est pas le seul, pour ne citer que les plus connus : le club des Cordeliers, le club des capucins, la société de 1789, le club des Feuillants... De plus, il faut bien considérer que rien n'avait été prévu matériellement pour les représentants

plus en plus monarchie, déjà affaiblie. Le 17 juillet 1791, la fusillade du champ de Mars (manifestants du club des Cordeliers, demandant la destitution de Louis XVI sont mitraillés par la garde nationale. Rupture entre défenseurs monarchie et ceux qui en sont les adversaires. B . Une Guerre divisant les français. France menacée par souverains étrangers soutenant Louis XVI. Les Feuillants comptent sur une victoire pour consolider la monarchie alors que les Brissotins, veulent profiter de la guerre

juillet : * Une scission Elle a eue lieu au niveau du club des jacobins. Jusqu’à présent il y’avait toujours eu un consensus entre les décisions de la constituante et les décisions prises par le club. Cependant, le 15 juillet, le discours est considéré comme trop radical. On a demandé la mise en accusation de Louis XVI et son remplacement par tous les moyens constitutionnels. La constituante décide de maintenir le Roi contrairement au club des jacobins. Une attitude «  anti légaliste » d’où nait

La Convention est orientée plus à gauche que la Législative : - A droite, les Girondins (Brissot, Pétion, Buzot, Condorcet, Roland, Vergniaud, Isnard...). Ils constituaient la gauche de la Législative. Ils apparaissent après l'élimination des Feuillants comme des révolutionnaires modérés et se méfient des excès du peuple de Paris et surtout de la Commune Insurrectionnelle (après le 10 aôut et les massacres de septembre). - Au centre, la Plaine ou le Marais, 400 députés opportunistes votant tantôt

compétences étatiques, sonnant la fin de la monocratie jusque lors en exercice mais cela n’empêchera pas la chute de la royauté. Barnave qi fut un temps une grande figure oratrice dans l’Assemblée nationale constituante rejoint finalement le club des Feuillants, ce qui lui valut la haine du peuple et la découverte de correspondances compromettantes révélant son rôle de conseiller secret auprès de la cour royale l’amena à la guillotine le 29 novembre 1793. Son discours, dévoué à une monarchie en déclin

dont le but est de peser sur les décisions de la convention se créent. Tous les citoyens peuvent y participer. Ces clubs sont aussi appelés des lobby (en anglais). Ce sont des groupes de pression. Le club des Jacobins soutient les montagnards. De même pour le Club des Cordeliers. Le club des Feuillants lui, est plutôt monarchique ; il soutient le roi. Il y a l’apparition de la presse, même si elle existait déjà un peu avant, avec les gazettes. La vie politique c’est aussi l’émeute, la violence

modèle des clubs parisiens (le club des Jacobins, le club des Cordeliers…). Les journaux se multiplient et les citoyens français se passionnent pour la politique. À Paris, les sans-culottes (artisans, petits commerçants) sont les plus révolutionnaires. • L'affaiblissement des pouvoirs du roi et le contrôle du clergé divisent les Français : * les monarchistes pensent que la Révolution va trop loin, que le roi doit garder plus de pouvoirs ; * les Feuillants, sont modérés ; * les Jacobins

modèle des clubs parisiens (le club des Jacobins, le club des Cordeliers…). Les journaux se multiplient et les citoyens français se passionnent pour la politique. À Paris, les sans-culottes (artisans, petits commerçants) sont les plus révolutionnaires. • L'affaiblissement des pouvoirs du roi et le contrôle du clergé divisent les Français : les monarchistes pensent que la Révolution va trop loin, que le roi doit garder plus de pouvoirs ; les Feuillants, sont modérés ; les Jacobins